Baudelaire Quand Le Ciel Est Bas Et Lourd

rsque, par un décret des puissances suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : - « Ah ! que n'ai-je mis bas tout un noeud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes

Victor Hugo est un grand écrivain français. Il a écrit différents styles d'écriture comme la poésie, le roman. Sur ce poème, il décrit un paysage, c’est pourquoi j’ai choisi la peinture de Friedrich qui montre la contemplation d’un homme. Charles Baudelaire commence par le romantisme puis se tourne vers le classicisme, il se fait un nom dans l'histoire de la littérature française du 19e siècle. Dans son poème, il raconte le passage de l’été à l’automne avec ses sentiments qui changent en fonction des

Anadyomène", Les Cahiers de Douai, A. RIMBAUD, 1870 TEXTE 3 : "L'huître", Le Parti-pris des choses, F. PONGE, 1942. Œuvre intégrale : Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE, 1861 Textes ayant fait l’objet d’une étude détaillée : TEXTE 4 : “ Parfum exotique”, Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE, 1861 TEXTE 5 : “ Spleen ”, Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE, 1861 Œuvres proposées aux élèves. L’élève surligne celle(s) qu’il aura lue(s). Une œuvre au choix parmi les trois suivantes : • Le parti pris des choses

poètes de la vie transforment la laideur en poésie. Baudelaire arrive en première place en transformant en or la boue du quotidien dans les Fleurs du Mal. N'hésitant pas à « plonger au fond de l'inconnu pour y trouver du nouveau », il aborde tous les aspects de la vie. Dans la sections « Tableaux parisiens », des scènes modestes, du quotidien, sont célébrées : « Tu portes plus galamment / Qu'une reine de roman / Ses cothurnes de velours / Tes sabots lourds » écrit-il dans « A une mendiante rousse ». Il

me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. 5 J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées, 10 Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées

impassibles, Je ne me sentis plus guid par les haleurs Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant clous nus aux poteaux de couleurs. 5 Jtais insoucieux de tous les quipages, Porteur de bls flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves mont laiss descendre o je voulais. Dans les clapotements furieux des mares, 10 Moi, lautre hiver, plus sourd que les cerveaux denfants, Je courus Et les Pninsules dmarres Nont pas subi

me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. 5 J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais. Dans les clapotements furieux des marées, 10 Moi, l'autre hiver, plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées

Bellay et de Guillaume de Lorris. Certains encore, tels que Guillaume Apollinaire ou le chanteur Léo Ferré nous parlent de la mémoire qui s’estompe irrémédiablement, emportant autant les êtres chéris que de précieux souvenirs. Le poète maudit Charles Baudelaire et Corneille, quant à eux, préfèrent décrire les effets dévastateurs du temps sur la chair et les os, tandis que Raymond Queneau semble défier la mort elle-même, et la rejette. Entrer dans cet ouvrage, ou plutôt, le vivre pleinement, signifierait

sensations que nous nommons « amour » ou « ennui », mais il a fallu Baudelaire pour que nous sachions que nous pouvons ressentir cet état où la mélancolie et l'ennui existentiel, paralysant, se mêlent et qu'il nomme spleen (« Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle / Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, / Et que de l'horizon embrassant tout le cercle / Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; // Quand la terre est changée en un cachot humide, / Où l'Espérance, comme

qu’il doive mentir ou faire une bêtise, il le fera. Le problème est souvent la mauvaise volonté. Comme si l’être humain avait besoin de ses malheurs pour exister ou pour avoir une raison d’être celui que nous sommes. Alors que ce n’est pas le cas, quand on peut régler nos problèmes, parce que c’est le cas, à tout problèmes, il y a sa solution, qu’elle soit conséquentes ou non, on ne peut rester immobile sur le chemin de la vie. Ce ne sont pas nos malheurs qui font qu’on est celui que nous sommes,