Bear Stearns

En effet, le tableau 5 récapitule les difficultés des banques et site les origines de leurs problèmes. Tableau 5 : les difficultés des banques Les banques et des difficultés vécus | Cause des difficultés | La banque d’investissement Bear Stearns, la cinquième banque d’affaires américaines : en juin 2007, elle a annoncé l’effondrement de la valeur de ses fonds qui ont investi dans des subprimes.En 2008, la concurrente Jp Morgan l’achète avec l’aide de trésor américain. | Elle a négligé

spécifiquement aux banques d'investissement (Bear Stearns, Lehman Brothers, Goldman Sachs, Merrill Lynch, Morgan Stanley). N’étant pas des banques de depôt, elles n’avaient normalement pas accès aux facilités de refinancement mais seulement aux opérations d'open market et aux repos. Le Term Securities Lending Facility (TSLF), puis le Primary Dealer Credit Facility (PDCF) destinés aux banques d’investissement ont été créé en mars 2008. En mars 2008, Bear Stearns s'est fait racheter par JP Morgan avec le

le système). Malgré ces efforts, La crise de liquidité est renforcée par l'asymétrie d'information entre banques, qui sont donc réticentes à se prêter entre elles, causant la faillite des plusieurs établissements financiers et bancaires tels que Bear Stearns, Fanny Mae et Freddy Mac. 2- Conséquences sur les marchés financiers internationaux Les marchés financiers, qui avaient subi une première crise de confiance au début 2007 ont chuté à partir du 18 juillet[37], un mouvement accentué avec l'annonce

hypothécaires. On pouvait s'en douter d'autant plus que, nous l'avons vu, le marché immobilier s'effondrait et le nombre de défauts sur les prêts immobiliers explosait. Fin juin 2007 : effondrement de deux hedge funds [15] de la banque d'affaires Bear Stearns [176] [178], fonds qui avaient lourdement investi en CDOs [13] contenant des prêts hypothécaires subprime. Cet effondrement fut à l'origine de la panique des marchés financiers [23] d'août 2007, en même temps que le nombre de défauts sur des échéances

Aucun superlatif n'est assez fort pour qualifier la crise financière qui s'est abattue sur les Etats-Unis, avant de se propager comme une tornade dans le reste du monde. Ce drame économique s'est déroulé en trois actes. Mars 2007 : la banque Bear Stearns, pilier de Wall Street, est la première à trébucher à cause de la crise des subprimes, ces créances douteuses qui s'accumulent avec le retournement du marché immobilier. En catastrophe, la Réserve fédérale éponge ses dettes et l'adosse à JPMorgan

en dernier ressort un prêteur (appelé PDR) qui assure les retraits non anticipés et qui évite les faillites bancaires. Les banques centrales et les états vont remplir ce rôle. A travers les exemples des nationalisations de Northern Rocks et de Bear Stearns, les banques centrales interviennent pour éviter une crise systémique10. On peut aussi observer que le sauvetage de Lehman Brothers par le gouvernement américain est nécessaire pour éviter toute crise systémique. Malgré tout, il y a eu plus de

de la finance, les pdg anciens et actuels de la compagnie d'assurance American International Group, des banques Goldman Sachs, Lehman Brothers, Merrill Lynch, Halifax-Bank of Scotland, Royal Bank of Scotland, Bradford & Bingley, Northern Rock, Bear Stearns, Bank of England et des personnalités telles que le financier George Soros, le milliardaire Warren Buffett et le président d’un fonds d’investissement US John Paulson Lors de la récession qui a suivi l'éclatement de la bulle Internet en

du monde entier. Lorsque le marché immobilier américain s’est mis à chuter, ces crédits n’ont plus été remboursés, provoquant des pertes très considérables pour les acheteurs de produits subprimes. Le 18 Juillet 2007, lorsque le banque d’affaires Bear Steams annonce la faillite de ses deux fonds d’investissement, la planète prend soudain conscience de la dangerosité des subprimes. Le 16 Mars 2008, la banque tout entière sera engloutie, rachetée par sa concurrente JP Morgan avec l’aide des autorités

products (or pay commissions) to them at a level that assures them a stable operating margin. In other cases, the distributors may have more responsibility for developing their local markets and, therefore, may have a greater opportunity for profit and bear a greater risk of loss. As discussed in the next section, the actual legal and economic relationship between the central entrepreneur and its affiliates will help to determine the potential range of appropriate responses to an economic downturn. The

grâce à la crise, le nombre de ses acteurs diminuer. En Europe, BNP Paribas a avalé Fortis, Natixis s’est retiré du marché, et Halifax-Bank of Scotland s’est fait racheter par Lloyds TSB. Aux Etats-Unis, la faillite de Lehman Brothers, le rachat de Bear Stearns par JPMorgan Chase et celui de Merrill Lynch par Bank of America, ont ouvert une avenue pour Goldman Sachs. La banque, qui compte de nombreux relais au sein de l’establishment politique - Henry Paulson, le secrétaire au Trésor de l’administration