Béatitudes

vie terrestre aux plaisirs et aux satisfactions qui nous attendent au paradis. En gros ce passage signifie : Si Dieu n’existe pas, le croyant et le non croyant ne perdent rien. Si Dieu existe, le croyant gagne tout, c'est-à-dire le paradis, la béatitude, le non croyant va en enfer, donc perd tout. Il est donc plus avantageux de croire en Dieu. | Dieu existe : | Dieu n'existe pas : | Vous pariez sur l'existence de Dieu | l'existence de Dieu Vous allez au paradis=vous gagnez tou | Vous retournez

mêlant constamment. Le vocabulaire de la pitié est détourné au profit de la galanterie. Le glissement se fait à partir de mots qui peuvent, suivant le contexte, appartenir aux deux domaines : transport de zèle, excès de zèle, ferveur, offrande, béatitude. Ce mélange est typique de la poésie courtoise. L’amant voue un amour quasiment religieux à celle qu’il aime. Il voit celle-ci comme une divinité. Son langage devient blasphématoire car Tartuffe passe de la galanterie au blasphème. La métaphore galante

l’appel au grand changement dont la beauté ressemble à la naissance »· Révérend père,· Chers séminaristes,· Chers famille et ami(e)s de la défunte,· Vous tous ici présents, « La fin de l'homme, nous dit saint Thomas d'Aquin, est la béatitude ». Sainte Thérèse de Lisieux de sa part avance pour dire « je ne meurs pas, j’entre dans la vie  ». La compréhension de ces deux phrases nous donne de quoi à dire que notre présence ici au cœur de cette église ne consiste

à l’accouchement de Gargamelle (par l’oreille) « Et » conjonction de coordination -> on rajoute encore une idée « Ne pensez pas » L19 impératif -> Gargantua s’oppose à des idées préconçus -> contre l’opinion commune sur la mythologie « Béatitude » L19 -> renvoie au bonheur de l’esprit « Héros et demi-dieux » L19 à 20 ->référence à la mythologie antique grecque et romaine -> référence à la nourriture de l’époque antique -> va interpréter sa propre opinion sur la mythologie « Comme

de mort Mais ce désir d’éternité est fou, démesuré, insatiable : l’homme est condamné à mourir. D’ailleurs, le désir d’éternité est en un sens opposé à la vie : car la vie est changement, mouvement, tracas et fracas, et non ce calme serein de la béatitude éternelle. Le désir d’éternité ne cache-t-il pas au fond de lui un obscur désir de mort ? 1. La structure kamikaze du désir Commençons par remarquer une particularité importante du désir : si le désir vise la satisfaction, son propre assouvissement

Et lorsqu'on vient à voir vos célestes appas, Un coeur se laisse prendre, et ne raisonne pas." V.966...968. Le vocabulaire amoureux se mêle comiquement au vocabulaire religieux : "beautés éternelles", "Ciel", "salut", "confesse", "offrande", "béatitude", "tribulations", Loin de sanctifier une passion profane, Tartuffe au contraire transfère ses habitudes religieuses ! La foi n'est-elle chez lui qu'un tic de langage ? Mais cette dévotion de façade cache mal une vraie sensualité, qui explose et

rien, après avoir été détruit, n’y retourne. » Il y a ainsi toujours du plein, c'est à dire de l’être, et le non-être est le vide. « Le bonheur ne consiste pas dans la possession de troupeaux et de l'or. C'est dans l'âme qui est le siège de la béatitude. » « Il n'y a rien de véritable, l'opinion de tous fait l'opinion de chacun. » Platon (427-347 avant J.C) Philosophe appartenant à une des plus illustres familles d'Athènes. Son nom d'Aristoclès est très tôt changé en celui de Platon (de platus

audace bien grande Que d’oser de ce cœur vous adresser l’offrande ; 955Mais j’attends en mes vœux tout de votre bonté, Et rien des vains efforts de mon infirmité. En vous est mon espoir, mon bien, ma quiétude : De vous dépend ma peine ou ma béatitude, Et je vais être enfin, par votre seul arrêt, 960Heureux, si vous voulez, malheureux, s’il vous plaît. Elmire La déclaration est tout à fait galante ; Mais elle est, à vrai dire, un peu bien surprenante. Vous deviez, ce me semble, armer mieux

qui l’a hante. Baudelaire prétend donc que la mort est aussi paisible que le sommeil lui-même. Il fait également référence à des « rêves extatiques » signifiant l’extase éternelle. On peut en déduire que ces rêves nous transporte dans un monde de béatitude irréversible, d’où le sentiment de joie éternelle. D’ailleurs, ce sont les plus démunis qui mériteront cette vie digne de leurs plus grands souhaits. Enfin, lorsque Charles mentionne « refait le lit des gens pauvres et nus », il fait allusion à un

mis au tombeau mais pour monter vers le ciel et l’élévation spirituelle finale de son âme. Le deuxième détail qui me conforte également dans cette hypothèse c’est le visage du Christ, le regard tourné vers le haut, sourire aux lèvres, presque en béatitude, la joie de quitter une vie de souffrance et de douleur humaine peut-être ? Pour moi, Fiorentino tente ici de faire une synthèse, voir même une passerelle entre les représentations religieuse Médiévale et la représentation plus moderne de la