Beau Malheur

est  lui  aussi  provocateur  notamment  par  le  thème  choisi.  Le  pou  est  évoqué  de  façon  précise  et  le  poète  insiste  sur  ses  attributs  répugnants :  « leur  pompe » (l. 2) ; « extraire…votre sang »  sur sa force destructrice :  « Malheur au cachalot  qui se battrait contre un pou », « les poux sont incapables de commettre autant de mal que  leur  imagination  en  médite ».  Cet  éloge  du  mal  ne  peut  manquer  d’être  provocateur  d’autant  plus  que  le  poète  souhaite  « davantage » 

Les Yeux d'Elsa Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boireJ'ai vu tous les soleils y venir se mirerS'y jeter à mourir tous les désespérésTes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoireÀ l'ombre des oiseaux c'est l'océan troubléPuis le beau temps soudain se lève et tes yeux changentL'été taille la nue au tablier des angesLe ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blésLes vents chassent en vain les chagrins de l'azurTes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luitTes yeux rendent

choses de la vie quotidienne. L’art est alors la révélation d’une réalité. L’art peut également être une consolation du malheur en embellissant la réalité. Il permet le repos de l’âme en adoucissant une situation pénible. L’artiste fait surgir le beau où on ne l’attend pas ; par exemple, la mort est un phénomène naturel que seul l’artiste parvient à hisser au rang du beau. Pour un temps, le conflit cesse et laisse place à l’espérance. Nietzsche disait que «  l’art doit avant tout embellir la vie

sur son origine et lui attribue des bienfaits agréables car il échappe au Temps, à l'ennui et au spleen. La Beauté exerce alors un rôle de consolatrice. Personnellement je pense que la beauté est du côté du bien car quand nous voyons quelque chose de beau nous ressentons un sentiment de bonheur, d'émerveillement et nous voulons être capable de faire de tel chose. Cependant chacun à sa propre notion de la beauté et heureusement d'ailleurs car cette notion permet de créer des liens, de trouver des points

« douceur qui fascine et le plaisir qui tue » = alexandrin régulier, la césure souligne la dangerosité de la femme. La douceur de cette femme n’apporterait pas la sécurité ni le bonheur mais la fascination= marque d’infériorité ! L’antithèse évoque le malheur qui naît de tout l’amour de B. La beauté de la femme fait signe vers un idéal de beauté que l’on croit accessible à travers elle, mais seule la déception s’ensuit et l’amertume d’avoir cru à la promesse de la beauté. Regard = symbole de renaissance

mêle l'ouïe, harmonieuse, avec la vue de l'armée de telle sorte que nous imaginons un très beau tableau d’entrée pour le chapitre trois. 4. Voici quelques euphémismes «ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix milles coquins», «trente mille âmes» et «renversèrent». Tous désignent une atténuation de la mort. 5. Selon moi, il utilise des euphémismes pour banaliser et atténuer l’atrocité des malheurs qui arrivent dans une guerre. De plus, s’il n’en utilisait point, l’histoire serait très crue

qu’il expose dans Le mendiant il y a de la beauté. Hugo expose une situation très misérable. Le pauvre n’a pas d’abri, il fait très froid, et ça pleut aussi. Malgré tout cela, en regardant le manteau plein de trous, il ne parle pas du froid ou des malheurs du pauvre, mais plutôt de la beauté qui y aura pour le pauvre dans la prochaine vie- une référence biblique au moment où ça dit que les pauvres de la vie terrestre seront les riches de la vie du Ciel. (Matthew 5.3-11) Les réflexions que fait Hugo

innocents qui sont morts sans avoir reçu le sacrement du baptême. « Les Fleurs du mal », le projet poétique de Baudelaire : extraire la beauté du mal, transfigurer par le travail poétique l'expérience douloureuse de l'âme humaine en proie aux malheurs de l'existence. Le mot « mal » quant à lui, fait référence à quatre types de mal, à savoir le mal social, le mal moral, le mal physique, ainsi que le mal métaphysique. Résumé Au travers de son œuvre, Baudelaire a tenté de tisser et

époque les gens ne tentaient pas de vivre tout comme nous partisans du XXI ème siècle mais bien sûr de seulement survivre, la faim, les malheurs naturels, le travail et la famille étaient les occupations primordiales des esprits. Depuis que Freud s'est interessé au conscient, à l'inconscient, et a réelement défini l'état de dépression alors la littérature à suivi. Quel beau sujet que l'Ennui pour les poètes issus du symbolisme et du décadentisme, Baudelaire nous a d'ailleurs très bien (métaphoriquement)

poètes maudits. Il avait en effet eut beaucoup de malheur dans sa vie, comme par exemple la syphilis qui avait été un des évènements majeurs de sa vie. Il se sentait comme exclu de la société étant « en avance sur son temps » et parlant de sujets inhabituels pour l’époque, et jugés comme choquant, comme les femmes, les prostituées, le rapport qu’il avait avec les femmes… Il a tout de même réussit à parler de quelque chose de laid et le rendre beau (La Charogne) et vice versas avec tous ses poèmes