Beau Travail

esthétique s’oppose au beau ; mais le laid est ce qui est désagrable et ce qui inspire le mépris ou la désapprobation (selon l’Histoire de la laideur ). Ce thème n’a pas empêché Baudelaire d’en être inspiré : la laideur de la charogne est d’autant plus repoussante qu’elle s’oppose à la beauté de la femme. Le contraste entre l’angélisme de la femme et la laideur de la carcasse est violent. Ainsi, la laideur est-elle mise en valeur par ces oppositions manichéennes. I/ c) Le laid et le beau indissociables 

l'état naturel). Dans cette optique, la production de l'artiste, de l'artisan, du technicien, et de l'industriel ne semble pas différer. Néanmoins pourquoi séparons-nous ces termes? Quand l'homme crée, quelles caractéristiques font qu'une fois le travail achevé, il rende compte d'une oeuvre d'art ou d'un objet quelconque? Si nous approfondissons il semblerait y avoir des différences : la manière de faire, le savoir-faire seraient différents. La technique, la maîtrise avec lesquelles est conçue l'oeuvre

Puis je suis partie à l’aéroport acheté le billet le moins chère qui était la Turquie. Un des plus beau pays que j’ai visité par la suite j’ai fait de l’auto stop jusqu’au bord de la mers puis j’ai traversé la mer en bateau et je me suis rendu en Grèce. Mais je ne suis pas resté longtemps car il y avait une guerre civile. Enocre une fois j’ai embarqué dans un navire pour travailler car il me restait plu un sous. C’est à ce moment là que j’ai fais le tour du monde sur ce navire cargo.

dans ses compositions picturals. Il était attiré nottament par le goût à l'antique, avec lequel il associait la nature et l'art. Son trait vif et précis avait pour but de faire ressortir la beauté expressive de ses personnages. Il aimait rechercher le beau intellectuel, idéal et moral. Les principaux thêmes qu'il abordait dans ses peintures était essentiellement des sujets historiques qu'il interprêtait par un développement noble et expressif de la compositoin et du style. Son excursion, jadis à Rome

L'art doit il s'interesser à la laideur? La laideur est un terme qui est le plus souvent utilisé dans le langage courant pour évoquer ce qui est inesthétique, désagréable à la vue, et donc opposé au beau. Il peut également s'appliquer dans un sens moral pour désigner la bassesse, l'horreur. Le terme art quant à lui, possède un sens plutot vague. En effet il est difficile de trouver une définition exacte, on peut pourtant s'en approcher en disant que l'art est l'expression de la créativé. Cette

TPE, troisième partie. III- Le Beau, une notion omniprésente. Nous pouvons nous demander si le Beau est une fonction vitale, naturelle, innée, chez l’homme, et qui n’existe que chez l’homme ou si c’est une notion culturelle, une valeur ajoutée que l’homme apporte à ses créations, à ses regards sur l’art, sur la nature. Nous allons nous appuyer sur trois grands critères : La Nature, l’art et les cultures. III, 1- Le Beau, présent dans la nature. Si nous posons un regard sur les créations

Là je vis, un matin, à l'heure où sous les cieux Froids et clairs le Travail s'éveille, où la voirie Pousse un sombre ouragan dans l'air silencieux, Un cygne qui s'était évadé de sa cage, Et, de ses pieds palmés frottant le pavé sec, Sur le sol raboteux traînait son blanc plumage. Près d'un ruisseau sans eau la bête ouvrant le bec Baignait nerveusement ses ailes dans la poudre, Et disait, le coeur plein de son beau lac natal : « Eau, quand donc pleuvras-tu? quand tonneras-tu, foudre

d'attente, on ne sait pas de suite que l'on va parler d’enfant, en effet, dans le premier paragraphe, le sujet est inversé et dans le second, le poète emploie un présentatif : « il y avait » (l.9). De nouveau la beauté de l'enfant riche «joli» (l.1), «beau et frais» (l.2) « coquetterie» (l.3) s'oppose aux termes péjoratifs désignant l'enfant pauvre «sale», «marmots-parias» (l.10), «souillon» (l.16). L'emploi du superlatif à la ligne 3 «si pleins de coquetterie» révèle une osmose entre le milieu et son

souvent infondées. Les cuisiniers représentent eux aussi des critiques d’art qu’Ensor ne supportait pas : Maus et Picard. Leurs visages ne reflètent pas d’expressions et ils semblent dénués d’intelligence et d’esprit critique comme si leur seul travail consistait à « tuer » ces peintres, à les « cuisiner ». Ce côté gauche est marqué par une couleur bleu pâle froide représentant la tristesse, le laxisme et la mélancolie en contraste avec la couleur rouge du sol et des rideaux. En effet alors que

succèdent, se superposent et le plus souvent s'affrontent ; ainsi réalisme et romantisme ont des visions opposées de ce que doit être la littérature. Dès 1835, la naissance du Parnasse pose les fondations d'un nouvel art, seulement voué à être beau et par lequel le travail de l'écriture même donnerait à l'œuvre toute sa dimension artistique : c'est l'Art pour l'Art. On retrouve bien les aspirations de Wilde : l'œuvre littéraire doit être « bien écrite », rien de plus. Pourtant, les œuvres d'art semblent ne