Bel Ami Scène Finale

LES BONS BOURGEOIS De René de Obaldia Cette pièce a été écrite en hommage à Molière. Depuis longtemps, je rêvais de produire à la scène une comédie qui emprunterait le style, les ressorts, les modes, la combustion de notre grand classique comique, tout de même qu'elle serait en prise directe sur notre époque. Non point en recourant au pastiche – c'eût été gratuit et vite fastidieux – mais en m'essayant à une véritable re-création. Et si les Bons Bourgeois s'ouvrent

précédent. De ce fait, le cinquième Acte peut donc paraître moins complet et plus insignifiant que les autres, bien qu’en réalité il porte les marques d’un véritable dénouement. Il a d’ailleurs souvent été supprimé des versions contemporaines de mise en scène, et atrophié voire dénaturé dans certaines rééditions modernes. Mais si Alexandre de Médicis est tué à la fin de l’Acte IV, Lorenzo, lui, meurt mis en pièces par le peuple durant cet acte. Le couple Cibo se reforme pour faire bonne figure, le cardinal

mais sans succès. C’est en 1886 que Jules David lègue le tableau au musée de Bruxelles où il y est exposé encore aujourd’hui. Dessin d’après la toile de David, Lepeletier de Saint-Fargeau Cette toile est tout de même imposante, et pourtant la scène ne se passe que dans la moitié basse du tableau, en effet la partie haute n’est qu’un fond vert noir à l’exception du coin supérieur droit où on aperçoit un reflet lumineux. Ce reflet lumineux crée avec la tête de Marat une diagonale lumineuse très

et pourriture, concentre en lui la tension centrale qui traverse toute la pièce et les autres personnages : d'un coté la corruption omniprésente, de l'autre l'angélisme étouffé qui anime tous ceux qui voudraient ' faire quelque chose". la réponse finale de Musset n'est pas optimiste, mais avons-nous besoin d'optimisme, ou bien de franchise ? Et avons-nous besoin de théâtre bien ficelé, ou de ce genre de monstre qui file dans plusieurs directions à la fois, qui se fiche pas mal des unités de temps

dont les frasque défraient la chronique. Son père l'envoie en voyage pour le remettre sur le droit chemin. A 26 ans il hérite à la mort de son père de sa fortune et se consacre entièrement à sa vie de rentier. C'est un dandy séducteur, amant des plus belles femmes de Paris. Il est surnommé le Beau Sue. Il tente de se faire admettre dans les différents salons parisiens, il adhère au Jockey Club. Très vite, en sept ans, la fortune est dilapidée. C'est un auteur prolifique quoique méconnu. On dénombre sept

et pourriture, concentre en lui la tension centrale qui traverse toute la pièce et les autres personnages : d'un coté la corruption omniprésente, de l'autre l'angélisme étouffé qui anime tous ceux qui voudraient ' faire quelque chose". la réponse finale de Musset n'est pas optimiste, mais avons-nous besoin d'optimisme, ou bien de franchise ? Et avons-nous besoin de théâtre bien ficelé, ou de ce genre de monstre qui file dans plusieurs directions à la fois, qui se fiche pas mal des unités de temps

Stendhal, Maupassant qui a écrit environ 300 nouvelles. II- La nouvelle: Emprunté au mot italien novella qui désigne au XV ème siècle un récit imaginaire, le terme désigne en français moderne un récit bref de construction dramatique et mettant en scène des personnages peu nombreux. Par extension, elle désigne un genre littéraire regroupant des récits de ce type. Le XIX ème siècle a connu l'épanouissement de la nouvelle. Tous les grands romanciers s'adonnent au genre: Balzac, Stendhal, Zola, Maupassant

aux Confessions de Jean-Jacques Rousseau...), il reste rare en bande dessinée.
En projetant son autobiographie dessinée sur grand écran, Marjane Satrapi doit trouver un point de départ narratif fort. Persépolis est ainsi construit en flash-back. La scène d’ouverture qui se déroule à l’aéroport d’Orly pose d’emblée l’image de l’exilée, de celle qui aimerait (re)partir. Ce point de départ aimerait finalement être également un retour, et un retour aux sources. C’est donc l’image de l’aéroport, lieu des

enfants, il s’agit d’une première opportunité pour le héros d’échapper à sa condition première. Malgré ses réticences à l’idée de devenir simple domestique, Julien se rend chez Monsieur de Rênal et rencontre alors l’épouse du maire, Louise de Rênal. La scène de leur rencontre traduit un véritable coup de foudre entre les deux personnages qui noueront peu à peu une relation amoureuse. La découverte de celle-ci par l’abbé Chélan, le curé de Verrières oblige ensuite Julien à partir pour le séminaire de Besançon

l’estran, les ciels brouillés offrent de multiples plans qui évoquent la prédilection de certains peintres impressionnistes pour cette région alors en vogue. Scénario et dialogues : Françoise Verny, Michel Favart, d’après Guy de Maupassant Mise en scène et réalisation : Michel Favart, 1972 Durée totale : 1 h 30 min DISTRIBUTION – Blanchette BRUNOY : madame Roland – Pierre DORIS : monsieur Roland – François MARTHOURET : Pierre – Jean-Pierre DUPERRAY : Jean – Henri VIRLOJEUX : Marowsko –