Belle-Île-en-Mer

et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas. Sa femme va criant sur les places publiques: « Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer, Je ferai le métier des idoles antiques, Et comme elles je veux me faire redorer; Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe, De génuflexions, de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un cœur qui m'admire Usurper en riant

peuplées de dauphins, l’univers utérin où se réfugie son personnage, il toucha le cœur d’adolescents angoissés à l’idée de devenir adulte, dans un monde miné par le sida et le chômage. » Durée : 132 mn (version courte), 168 mn (version longue). Une île grecque dans les années 60. Deux enfants, le français Jacques Mayol (Jean-Marc Barr) et l’italien Enzo Molinari (Jean Reno), passionnés de plongée, se chamaillent pour la possession d’une pièce d’or. Le lendemain, le père de Jacques se noie sous les

monde. Hermès C’est le messager des dieux Ino Déesse marine La Muse Fille de Zeus. Phaétuse Déesse qui garde le troupeau du dieu Soleil Lampétie Déesse qui garde le troupeau du dieu Soleil L’ODYSEE 5 (HOMERE) Le dieu Soleil Il a une île avec des troupeaux de vaches et de brebis qui ne se reproduisent pas mais ne meurent jamais Circé Elle a la voix d’une femme. C’est la sœur d’AEètès. C’est la fille du soleil et de Persé. Sa demeure est construite en pierres polies. AEètès C’est

noces de Pélée et de Thétis. Thétis est une divinité de la mer, l’une des cinquante Néréides (filles de Nérée, "le vieillard de la mer") ; les dieux lui ont imposé d’épouser un mortel, Pélée, roi de Phthie (Thessalie). Lors du mariage, qui réunit sur le mont Pélion tous les dieux descendus de l’Olympe, Éris, déesse de la discorde, mécontente de n’avoir pas été invitée, se venge en jetant une pomme d’or portant l’inscription "À la plus belle". À laquelle des trois déesses présentes – Athéna, Héra et

le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats ; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas. Sa femme va criant sur les places publiques : «« Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer, Je ferai le métier des idoles antiques, Et comme elles je veux me faire redorer ; Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe, De génuflexions, de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire Usurper en riant

l’expression d’un idéal (cf. les voluptés calmes de La Vie antérieure, v. 9) : cette île qui invite à la douceur de vivre est bien l’île paresseuse de Parfum exotique (v. 5). 2) L’invitation à aller en France Dans les tercets, pourtant, Baud. suggère que Mme Autard n’est pas dans un cadre qui convient à son rang, et qu’elle serait bien plus à sa place en France. Pour lui en effet, ce n’est pas cette petite île perdue de l’océan Indien, mais la France seule (désignée par la périphrase vrai pays

qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre côté de la rivière, la clarté de la lune dormait sans mouvement sur les gazons : des bouleaux agités par les brises et dispersés çà et là formaient des îles d'ombres flottantes sur cette mer immobile de lumière. Auprès, tout aurait été silence et repos, sans la chute de quelques feuilles, le passage d'un vent subit, le gémissement de la hulotte ; au loin, par intervalles, on entendait les sourds mugissements de la cataracte du Niagara,

père ». Un animal des mers Sur une île appelée Bardabadosa vivait une petite tribu qui n’était pas si heureuse car il y avait une créature qui mangeait tous les poissons ce qui apporta famine sur l’île. Donc deux enfants très curieux partis en rencontre du fameux monstre Un jour Josh et sa sœur était partis dans leur petite pirogue pour attraper des poissons. Quelques instants plus tard une énorme tempête se déchaîna sur la mer, les enfants étaient effrayés, un énorme monstre apparut

BIEN VIEILLE (Pierre de Ronsard, Sonnets pour Helene, 1587) Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant : Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle. Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle, Déjà sous le labeur à demi sommeillant, Qui au bruit de mon nom ne s’aille réveillant, Bénissant votre nom de louange immortelle. Je serai sous la terre et fantôme sans os : Par les ombres myrteux

en faisait une corde neuve | | |à son arc ; puis il posait sur cet arc une de ces flèches qui traversèrent le monde, et s’en furent tomber dans une petite| | |vallée d’une île déserte, sous un saule pleureur. |Il s’agit de Napoléon Bonaparte. | |Jamais il n’y eut tant de nuits sans sommeil que du temps de cet homme ; jamais on ne vit se pencher