Belleville

« beaux yeux bruns ». Sa santé est particulièrement mauvaise, et on peut penser que tout ce qu’elle a vécu a contribué à cette dégradation. Son âge précis n’est cependant pas mentionné. Elle vit au sixième étage d’un immeuble dans le quartier de Belleville, à Paris. Sa vie en revanche est bien connue. Elle est née en Pologne. La beauté de Mme Rosa lors de sa jeunesse est évoquée par Momo (chapitre 16) : « Elle a une photo où elle avait 15 ans…Madame Rosa à 15 ans avait une belle chevelure rousse

défendre les journaux, mais aussi pour le suffrage universel, pour les libertés en général. Un second auteur faisait parti des précurseurs, il s'agit de Gambetta (1838-1882). Il s'est présenté aux élections législatives de 1869 avec « Le Programme de Belleville» qui deviendra ensuite la Charte du radicalisme. Dans ce texte, Gambetta exprime sa volonté de voir appliquer le suffrage universel; d'affermir les libertés publiques fondamentales; de mettre en place une instruction primaire, gratuite et obligatoire;

d’argent[20]. » Le 18 novembre 1853, Baudelaire écrit à sa mère : « Ma chère mère, j’ai eu avant-hier quelqu’un à enterrer. » Il pourrait s’agir de la mère de Jeanne. Jacques Crépet a en effet découvert l’acte de décès d’une Jeanne Lemaire, décédée à Belleville le 15 novembre 1853, veuve, née à Nantes, âgée de 63 ans[21]. Les frais de son inhumation vaudront à Baudelaire de cruelles difficultés financières : « J’ai payé les frais de l’exhumation et de la réinhumation : 86 francs le terrain, 10 francs pour

son père4. Étant perplexe face aux études, il obtient tout de même sa maîtrise de lettres à Nice et opte finalement pour l’enseignement. En 1970, l’auteur obtient son premier poste d’enseignant à Soissons, avant de s’installer définitivement à Belleville, quartier populaire et cosmopolite de Paris. En 1973, il publie son premier essai nommé Le Service militaire au service de qui? : un pamphlet sur le service national. Son talent fut reconnu à sa juste valeur avec La petite marchande de prose,

littéralement « bout du mille » et fait référence au Golden Square Mile adjacent, le « mille carré doré » qui était au 19e siècle le quartier le plus riche de Montréal (et même du Canada) et qui formait un carré d'un mille (1,6 km) de côté. Le quartier de "Belleville" du Paris des années 30-40 était comparable à ce Mile-End à la même époque. Il est l'un des romanciers canadiens les plus en vues du canada anglophone. Il a grandi dans les quartiers juifs de Montréal avant de s'exile en Europe à l'âge de 19

se passe l’action. On peut dès lors supposer qu’elle est contemporaine de la publication, c’est-à-dire les années 1970. 2) Les lieux A l’inverse, la localisation spatiale est très précise: « Il y avait beaucoup d’autres Juifs, Arabes et Noirs à Belleville ». Plus précisément, l’action se centre dans l’immeuble qu’habitent Momo et Madame Rosa: tous deux habitent le sixième, tandis que le rez de chaussée est occupé par un café, celui de M. Driss: « Je suis descendu au café de M. Driss en bas ». Le

L'assommoir, selon la définition de Denis Poulot, est "le distillateur, débitant de liquide, ainsi nommé à cause de l'excellence de ses produits qui vous assomment rapidement un individu", et selon Alfred Delvau, son nom vient d'un "cabaret de Belleville qui est devenu celui de tous les cabarets de bas étage, où le peuple boit des liquides frelatés qui le tuent". Mais c'est aussi un instrument qui assomme, une sorte de matraque, sens attesté dans le texte, à travers ces paroles de Gervaise : "La

suite que c’est pour aguicher et que c’est une « pute ». Les élèves hommes ont un comportement machiste face à leur professeur comme dans la scène ou Mouss menace Sonia Bergerac de viol. Il lui montre qu’il connaît son adresse (« 22, boulevard de Belleville, 4e étage droite »), et il ajoute : « Deux belles bites de bamboulas » ou par exemple lorsque l’enseignante arrive il ne la respecte pas, ils ont une attitude provocatrice ils lui font des remarques sur sa façon de s’habiller par exemple un élève

l’essentiel de l’œuvreSeul l’amour donne du sens à la vie et permet de surmonter les difficultés de l’existence.3. Fiche sur la narration et les personnages · Où l’intrigue se situe-t-elle ?L’action se déroule à Paris, à Belleville, un quartier populaire du 20ème arrondissement, dans un immeuble au 6ème étage sans ascenseur. · Quel ordre suit le récit ?« La vie devant soi » décrit Mme Rosa, une femme âgée, qui après une longue période de prostitution

Le gouvernement fait un procès au journal et c'est le jeune avocat Gambetta qui le défend. B/ Les origines du programme républicain Le parti radical considère Ledru-Rollin comme l'un des précurseurs du radicalisme; d'autre part le programme de Belleville en 1869 reprend les grands principes républicains qui s'étaient dégagés sous la seconde République : suffrage universel, libertés, séparation de l'église et de l'État en particulier. Pour les fondateurs de la IIIe République de façon générale, il