Belzébuth

de la mort, comme dans la «  Charogne » de Baudelaire, qui est moins violente, cru mais qui est aussi une poésie macabre avec un tableau réaliste de corps décharnés, ballotés n’importe où au grès du vent, participant au bal monstrueux de Messire Belzébuth. Ces deux poèmes très choquants à l’époque invitent les lecteurs à voir le monde autrement qu’ils ne le voulaient.

Sa majesté des mouches Le titre : Lord of the flies, le titre original de ce chef d'œuvre de Sir William Golding fait référence à Belzebuth. Qui en Hébreu signifie « seigneur des mouches » et dans l'ancien testament apparaît comme le dieu des mouches. Ensuite les chrétiens vont le considérer comme Satan. Mais la disposition des mots dans le titre vient aussi du traducteur qui a préféré « Sa majesté des mouches » au « seigneur des mouches pour son côtés « incantatoires ». A travers cette référence

de beaucoup ; la mentalité et l’esprit même de la ville. Beaucoup de choses peuvent etres dites sur ce monstre… Premièrement sa nature qui est il ? Que représente-t-il ? un etre a la posture et a la carrure douteuse venu tout droit du monde de belzebuth… Deuxième point il est fait de déchet et d’autres matériaux dit de récupération et represente Douala, voila qui dit tout… Troisièmement qui a autoriser son implantation la ou il est ? qui en a fait la commande ? Quel commentaires en sont fait 

voyant. Ainsi le poème « Le bal des pendus » propose, de même que « Une charogne », un tableau réaliste, macabre, mais aussi poétique, de corps décharnés, suspendus au gibet, ballottés ça et là au gré du vent, participant au bal monstrueux de Messire Belzébuth. Ces poèmes, choquants à l'époque, invitent le lecteur à voir le monde autrement qu'il n'est.  

pas un Moustier ici, les trépassés ! » On peut déceler ici toute l’importance de la mort présente dans ce poème avec son champ lexical : «  funèbres » « les trépasses » ou encore des références au diable comme dans le poème précédent, « Messire Belzebuth » dans le 2eme extrait du Bal des pendus. La mort et l’Enfer sont deux sujets qui ne sont ni joyeux ni enchanteurs. La mort surprend et plus particulièrement, elle effraie. La lecture de ces textes entraine la peur du lecteur et lui fait ressentir

champ lexical de l’amour est présent a travers les mots : « amour » présent sur de multiples vers il y a aussi « enlacent » vers 9 et il y a « dansent » vers deux. Pour le champ lexical de la mort il se trouve vers 3 « paladins du diable »;vers 5 « belzébuth » et vers 25 « squelettes » Pour la rage des césars :le chant lexical de la violence se trouve au vers 10 « mord » et « tressaille » et au vers 11 « mort ». Le champ lexical de la mort se manifeste au vers 2 et 3 « noir » et « pale », au vers 11

façon de se cultiver était l’église. L’invention du Diable est en lien avec les combats cosmiques pères-fils. Ici, le Diable recluse la puissance de Dieu et veut étendre son empire, autour de lui il y a des anges déchus qui sont : Satan, Asmodée, Belzebuth, Lucifer et Méphisto. B) Bons ou mauvais diables.Autour de l’an 1000, il y a une grande peur liée au passage du millénaire, les causes sont la peste, la famine, les épidémies, les mauvaises récoltes… La science du diable

feuillets imprimés, souvent ornés de gravures suggestives. Le thème de Dracula, Prince Maudit, est réactivé au XIXème siècle. Victor Hugo, dans sa “Légende des Siècles” publiée en 1859, évoque le Prince valaque : "Vlad, boyard de Tarvis, appelé Belzébuth Refuse de payer au sultan son tribut, Prend l'ambassade turque et la fait périr toute Sur trente pals plantés aux bords d'une route." Un écrivain irlandais Bram Stoker a démarré la saga…le début d’une longue très longue série ! En effet son fils

Beh ! L’art sec n’a si peu qu’algèbre s’élabore de l’or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié,| |l’os nu. Si, à la gêne secrète verbe nul à l’instar de cinq occis-, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir | |Belzébuth, oeil offensé, tire ! | |L’écho fit (à désert) : Salut, sang, robe et été.

à la flamme des lustres! Allume le désir dans les regards des rustres! Tout de toi m'est plaisir, morbide ou pétulant; Sois ce que tu voudras, nuit noire, rouge aurore; Il n'est pas une fibre en tout mon corps tremblant Qui ne crie : ô mon cher Belzébuth, je t'adore! Spleen -2 J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, De vers, de billets doux, de procès, de romances, Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, Cache moins de secrets que