Bénédictine

et décide en 1720 de se réfugier chez les Bénédictins où il fera ses vœux en 1721. Il vit par la suite dans différents monastères qui sont pour la plupart de tendance janséniste. Prévost se consacre alors à l’étude de la théologie, est ordonné prêtre et prononce des sermons. En 1727, il est envoyé au monastère parisien de Saint-Germain-des-Prés où il contribuera à la Gallia Christiana, ouvrage historiographique collectif en plusieurs volumes des Bénédictins. C’est au cours de cette période que Prévost

père avocat. Il se passionne très tôt pour l'érudition et suit une scolarité franciscaine. Il étudie des ouvrages hellénistiques puis adhère à l'ordre des bénédictins dès 1524. Vie monacale : Rabelais rejoint plus tard le couvent franciscain du Puy-Saint-Martin à Fontenay-le-Comte, où il devient moine vers octobre 1520. Devenu bénédictin, Rabelais s'attache à la personne de Geoffroy d'Estissac, et devient son secrétaire. Il l'accompagne ainsi au cours des tournées d'inspection de ses terres

monastique s’agit-il ? Ce sont des moines bénédictins de l’ordre de Saint Benoit. L’ordre des bénédictins, a été fondé en 529 par saint Benoît de Nursie. Le premier monastère fut établi au mont Cassin vers 529 par Benoît de Nursie. Ils se répandirent bientôt dans toute l'Europe et donnèrent naissance à plusieurs congrégations devenues célèbres. Ils portent un scapulaire noir à capuchon, et une ceinture noire autour de la taille. Il existe des religieuses bénédictines. Ce sont des moniales qui suivent

par Saint-Benoît qui règlent la vie des moines bénédictins. Celles-ci sont basée sur trois piliers, qui sont trois activités, dont une activité manuelle effectuée en commun, activité dénommée travail, destinée à la fois à œuvrer pour permettre la subsistance de la communauté, pour le bien commun (défrichages), mais aussi pour expier le péché originel (trois piliers pour trois piétés). Indice concordant, il existe l'expression un travail de bénédictin qui signifie Produit d'un labeur considérable

ascétique puis il fonde son propre monastère sur son domaine d’Aniane. Exigeant une ascèse stricte il est abandonné par ses moines et décide alors d’étudier les règles monastiques. Il adopte celle de Benoît de Nursie. Aniane devient un monastère bénédictin. Charlemagne lui accorde une immunité et le droit pour les moines d’élire librement leur abbé. Le monastère d’Aniane acquière de l’importance et Benoît d’Aniane est invité à réformer de nombreux monastères. Il devient alors en quelque sorte le chef

règle de Saint-Benoît est une règle monastique écrite par Benoît de Nursie vers 540 pour guider ses disciples dans la vie monastique communautaire, elle deviens très importante au VIIème siècle lorsque le pape Grégoire le Grand impose la règle bénédictine aux monastères. A partir du VIIIème siècle apparaissent les premières déviances par rapport aux valeurs primitives. Une réforme sera tentée en vain à deux reprises au IXème siècle C'est dans ce cadre que naît l'abbaye de Cluny en 909, qui deviens

novembre pour fêter les morts. En 1098, robert de molesme veut remettre de l'ordre dans l'Eglise, face à l'enrichissement des clunisiens. Il créé à l'abbaye de Citeaux, l'ordre des bénédictins, respectant les règles de Saint Benoit (prière, travail manuel, vie fraternelle, obéissance et humilité). Les moines bénédictins sont vêtus d'habits écrus, dépouillent les églises de leurs ornementations, jeûnent tant qu'ils peuvent et promeuvent le culte de la vierge Marie. Enfin en 1112, Bernard quitte

et décide en 1720 de se réfugier chez les Bénédictins où il fera ses voeux en 1721. Il vit par la suite dans différents monastères qui sont pour la plupart de tendance janséniste. Prévost se consacre alors à lʼétude de la théologie, est ordonné prêtre et prononce des sermons. En 1727, il est envoyé au monastère parisien de Saint-Germain-des-Prés où il contribuera à la Gallia christiana, ouvrage historiographique collectif en plusieurs volumes des Bénédictins.
Cʼest au cours de cette période que Prévost

des langues grecques et latines. Il devint bénédictin ( 27 janvier 1524) et s’attache à Geoffroy d’Estissac puis devint son secrétaire. Il l’accompagne ainsi au cours des tournées d’inspection de ses terres et abbayes à travers le Poitou. Il se lie d’amitié avec jean Bouchet et rencontre le noble abbé Antoine Ardillon. Il ne se plis pas aux règles monascales et ne reste pas cloitré dans son monastère. Vers 1528, Rabelais quitte l’habit des bénédictins pour l’habit de prêtre séculier. De 1528 à

d'autres humanistes célèbres. Avec Pierre Amy, Rabelais fréquente l'hôtel du légiste fontenaisien André Tiraqueau où se réunissent de beaux esprits de la région. Il y rencontre notamment Amaury Bouchard et Geoffroy d'Estissac, prieur de l'abbaye bénédictine de Ligugé et évêque de Maillezais. En 1523, suite aux commentaires d'Érasme sur le texte grec des Évangiles, la Sorbonne tente d'empêcher l'étude du grec. À la fin de cette année, les supérieurs de Rabelais et de Pierre Lamy confisquent leurs