Benet

projeter imaginairement une Agnès, un Horace, un Arnolphe sur la scène d’un théâtre, leur projection respective dépendra étroitement de celle des autres : un Arnolphe repoussant et un Horace charmeur ne raconteront pas la même histoire qu’un Horace benêt et un Arnolphe doté du charme de la maturité et empruntant le visage de Pierre Arditi dans la mise en scène de Didier

elle aimait ». La façon dont l'auteur nous décrit sa mère connote un fort amour maternel mais cet amour n'est peut-être pas exprimé de la bonne manière. Cette mère aime son fils et éprouve de la tendresse envers lui « elle prenait sa main ». Le mot « benêt » n'est pas considéré ici comme insultant mais plutôt comme affectif. Ensuite nous pouvons voir cette mère sur-protectrice. En effet la mère est bien contente que son fils soit petit, ainsi elle peut le garder avec égoïsme sous son aile, sans qu'il

habituel pour laisser place au « ton le plus sombre », ligne 1. Employant des mots qui appartiennent au registre lyrique, Figaro se dit désabusé d'avoir été trompé par le comte, qu'il qualifie de « perfide », ligne 5, se considérant lui-même comme un « benêt ». Puis c'est à la fin du texte, grâce à cette composition circulaire du monologue (à partir de la ligne 71), que Figaro revient à ses amours «Oh Suzon ! Suzon !», pour finalement dresser de lui-même, une description tout à fait lucide. Il apparaît

qu'il allait changer et qu'il ne «comprend pas comment le Ciel n'a pas vingt fois sur ma {sa} vie sa justice redoutable» Son père, heureux, le croit et dit qu'il n'a «plus rien désormais à demander au Ciel». Scène 2:DL parti,DJ le traite de «peste», «benêt». Sg avait cru aussi aux paroles de DJ qui dit que «l'hypocrisie est un vice à la mode et tous les vices à la mode passent pour vertu». Face à cela, il supplie DJ de changer de vie. Scène 3:DC menace DJ et lui demande comment il compte changer sa

Andy Degroat (1982) Une version très dissidente en 1982, celle de l'américain De Groat sur une musique disco et rock avec une structure en rois mouvements. → Mat's Ek (1987)En 1987, Mats Ek procède à une relecture radicale, faisant du prince un benêt victime de l’autorité de sa mère qui l’infantilise. La version décalée de ce suédois met l'accent sur l'indifférenciation sexuelle avec des crânes chauves postiches : les cygnes hommes et femmes ont le crâne lisse et un chignon de chair sur la nuque

cas présent, il s'agit évidemment de Thomas, le fils de Diafoirus. 1) Le comique de caractère Le comique de caractère permet de dénoncer les comportements ridicules d'un personnage type. Thomas Diafoirus est directement présenté comme un « grand benêt ». Peu sûr de lui, il demande à son père à qui il doit s'adresser en premier. Il entame alors son discours en s'adressant à Argan, comme son père le lui a ordonné. Les belles paroles sont récitées bêtement par Thomas Diafoirus qui lui même ne semble

visage avec des yeux inquiets et perçants » (p29) « mains petites et fortes ». Son rêve est d'avoir sa petite maison à lui et Lennie afin de pouvoir vivre comme un « rentier ». Lennie Small, description faite a la page 29. C'est un géant naïf et benêt mais auquel on s’attache. Il est touchant par son idiotie. Il possède une force surhumaine cependant il aime caresser les choses douces (souris, lapins, chiens, cheveux). C'est lui aussi un journalier. Son rêve est de pouvoir s'occuper des lapins dans

ville et sorte de super-maires régnant sur toute les affaires, sous la domination pesante de la doyenne Catherine Packard Peggy Haplin. Le shérif est un chouette type a moustache, et son fils un père de famille exemplaire a tête de nounours et air benêt. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si un certain Bob « Magic Man » ne faisait pas completement disparaitre régulièrement quelques habitants, femmes et enfants principalement, évaporés en pleine foule sans laisser de trace. Un hibou

question autour de Suzanne et Figaro en montrant la douleur et la colère de celui-ci. Notons également le parallélisme soulignant une antithèse entre le substantif «  le perfide » et le substantif « le benêt ». Perfide qualifiant le comte : rusé et benêt qualifiant Figaro : quelqu’un simple d’esprit, un sot. Le second mouvement de « Non, Monsieur le Comte…….jouter » Figaro va imaginer un dialogue vif désormais avec le comte avec toutes les marques de l’oral dénonçant les privilèges des nobles

deuxième acte contient une vaste de comique. Rien que le comportement de Thomas est très amusante, sa maladresse on laisse sourire de lui, mais aussi le fait que Monsieur Diafoirus n’a de cesse de multiplier les hyperboles pour valoriser son « grand benêt » de fils : « Optime », « il n’y a point de candidat qui ait fait plus de bruit que lui », « fort comme un Turc », « poursuit un raisonnement jusque dans les derniers recoins de la logique » souligne dans ce cas-là le comique de mot. En plus ce