Benet

(1999),psychologue allemande Il a aussi intégré dans son approche les travaux (entre autres) de : • Rhinesmith, (1971, 1993), spécialiste du management • Hall, (1959,1960), anthropologue • Kluckhorn&Strodbeck, (1961) • Steward&Benett, (1991) De nombreuses situations caractéristiques sont illustrées par des exemples tirés, en général, de l’expérience professionnelle de l’auteur. RESUME Le livre est articulé de la manière suivante : • Introduction (13 pages)

décor. 150 farces environ nous sont parvenues, créées entre 1440 et 1560. Le genre offre trois caractéristiques essentielles : - ~U action, simpliste, représente le plus souvent un mauvais tour joué à une dupe, cocu (ex. : La Farce du Cuvier) ou benêt (ex. ~. Maître ~Mimin étudiant). Elle n'est généralement pas divisée en scènes car, statique, elle ne progresse pas. - Les personnages, caricatures grossièrement ébauchées, sont si peu individualisés ~qu'ils sont désignés par un nom commun (ex

voilà, Madame. ARAMINTE. Arlequin, vous êtes à présent à Monsieur ; vous le servirez ; je vous donne à lui. ARLEQUIN. Comment, Madame, vous me donnez à lui ! Est-ce que je ne serai plus à moi ? Ma personne ne m'appartiendra donc plus ? MARTON. Quel benêt ! ARAMINTE. J'entends qu'au lieu de me servir, ce sera lui que tu serviras. ARLEQUIN, comme pleurant. Je ne sais pas pourquoi Madame me donne mon congé : je n'ai pas mérité ce traitement ; je l'ai toujours servie à faire plaisir. ARAMINTE. Je ne

marin qui joue au cerceau, avant la guerre de 14, ma fille de huit ans en cavalière, et un cliché de moi, en noir et blanc, pris sur un terrain de golf miniature. J’avais onze ans, des oreilles en chou-fleur et un air de bon élève un peu benêt, d’autant plus horripilant que j’étais déjà un cancre professionnel. J’achève mon office de barbier en aspergeant l’auteur de mes jours avec son eau de toilette préférée. Puis nous nous disons au revoir sans que, pour une fois, il ne me

1984. – 320 p. – (Poésie / Gallimard ; 194). L’Art d’être grand-père N037484 Première édition : 1877 L’Art d’être grand-père. – Calmann Lévy, [1877]. – 323 p. La première édition illustrée (notamment par Jean-Paul Laurens, Bayard, Bac, Gosselin, Benett, Chapuis, Méaulle, ...) est publiée en 1884 par la Société anonyme de publications périodiques (360 p.). Éditions récentes L’Art d’être grand-père / postf. de Philippe Di Meo. – Mille et une nuits, 1996. – 184 p. – (La Petite collection). L’Art d’être

qui est un bien joli enfant, je m'en vanter. BRID'OISON. Oui, C'est le plus jo-oli de tous. On dit que tu-u fais ici des tiennes ? FIGARO. Monsieur est bien bon. Ce n'est là qu'une misère. BRID'OISON. Une promesse de mariage ! A-ah ! le pauvre benêt ! FIGARO. Monsieur... BRID'OISON. A-t-il vu mon-on secrétaire, ce bon garçon ? FIGARO. N'est-ce pas Double-Main, le greffier ? BRID'OISON. Oui ; C'é-est qu'il mange à deux râteliers. FIGARO. Manger ! je suis garant qu'il dévore. Oh ! que oui

Monsieur ; vous le servirez ; je vous donne à lui. Arlequin. –  Comment, Madame, vous me donnez à lui ! Est-ce que je ne serai plus à moi ? Ma personne ne m’appar- tiendra donc plus ? 220 225 230 235 240 245 250 Les Fausses Confidences 17Marton. – Quel benêt ! Araminte. –  J’entends qu’au lieu de me servir, ce sera lui que tu serviras. Arlequin, comme pleurant. –  Je ne sais pas pourquoi Madame me donne mon congé1 : je n’ai pas mérité ce traite- ment ; je l’ai toujours servie à faire plaisir2. Araminte

1984. – 320 p. – (Poésie / Gallimard ; 194). L’Art d’être grand-père N037484 Première édition : 1877 L’Art d’être grand-père. – Calmann Lévy, [1877]. – 323 p. La première édition illustrée (notamment par Jean-Paul Laurens, Bayard, Bac, Gosselin, Benett, Chapuis, Méaulle, ...) est publiée en 1884 par la Société anonyme de publications périodiques (360 p.). Éditions récentes L’Art d’être grand-père / postf. de Philippe Di Meo. – Mille et une nuits, 1996. – 184 p. – (La Petite collection). L’Art

libertinage et de l’amour, du vice et de la vertu, du scepticisme à la mode et de l’ingénuïté. Il s’est représenté en Valentin, le petit maître qui nie la vertu des femmes. Les rôles secondaires (I'oncle bourgeois, vrai oncle de comédie, marchand d’étoffes benêt et pittoresque qui ne croit qu'aux vertus de l'argent et du commerce ; la mère aristocratique et évaporée) sont des créations pleines de fantaisie et d'esprit. C'est un de ses «proverbes» Ies plus fins et les plus réussis. Nous sommes dans la vie

Nous serons toujours prêts, monsieur... ARGAN Qu'il est tout à votre service. MONSIEUR DIAFOIRUS A vous témoigner notre zèle. (Il se retourne vers son fils et lui dit.) Allons, Thomas, avancez. Faites vos compliments. THOMAS DIAFOIRUS est un grand benêt nouvellement sorti des écoles, qui fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps.) N'est-ce pas par le père qu'il convient de commencer. MONSIEUR DIAFOIRUS Oui. THOMAS DIAFOIRUS Monsieur, je viens saluer, reconnaître, chérir et révérer