Benet

Document 1: Albert JACQUARD, Au Péril de la science, « Introduction », Éditions du Seuil, 1982. Document 2: Émile ZOLA, Le Docteur Pascal, 1893. Document 3: Bruno ESCOUBÈS, L'État des sciences, La Découverte, 1991. Document 4: Illustration de L. BENETT pour J. VERNE, Les 500 millions de la Begun, 1879. DEUXIÈME PARTIE: ÉCRITURE PERSONNELLE (/20 points) Pensez-vous que les hommes puissent contrôler les risques inhérents au progrès ? Vous appuierez votre réponse sur les éléments du corpus et sur

sont pas caractérisés dans l’anti-scène d’exposition. « Gogo » (l.16 et 27) semble être le surnom de Godot, c’est la seule marque d’identité. De plus, on peut dire que cela semble être un paronyme comme Godot, mais cela fait passer Estragon pour un benêt car un attribut du registre clownesque se retrouve dans le diminutif de « Gogo » (l.16 et 27). Ils n’ont pas de passé, et leur avenir semble lointain, voire inexistant. La construction dramatique de cette pièce diffère d’une œuvre classique puisqu’il

sonnantes et trébuchantes à des dévots peu habitués à faire fonctionner leur matière grise sous le prétexte de payer la rançon du pape retenu par les Ennemis de la Foi (entendez les socialistes-francs-maçons et autres suppôts de Satan sur terre). Benêts, gourdes, escrocs, prostituée au grand coeur, rien ne manque dans cette satire de la France catholique du début du siècle. Oui mais voilà, tout le problème tient à cela. L'intérêt sociologique de ce roman perd un peu de son intérêt lorsque presque

et à Tancredi, qui pourtant lui sont chers, car il les qualifie de « pleins de calculs, gros de visées secrètes ». Il éprouve un sentiment de supériorité sur cette société à laquelle il appartient pourtant : « ces petites guenons, vieux amis benêts », « femmes assez laides », « hommes sots ». C’est un intellectuel, un scientifique : il a une autre vision du monde qu’eux, d’autres aspirations, qu’ils considèrent comme moins superficielles Il porte un regard négatif en particulier sur don Calogero

cuvier = nom synonyme de sot. Première farces étaient de simple parades → mise en scène de 2 personnages qui se disputent et en viennent aux coups → scènes de ménages → sujets les + fréquemment traités dans la farce. → retrouve aussi personnage du benêt : « écolier » qui répond toujours de travers. Les mystères : (vient du latin médiéval misterium = « cérémonie ») : contribue à la constitution de la lointaine origine du drame. Les mystères relatent toute la vie du saint alors que « les miracles

personnage colossal à la figure déformée, affublée de multiples formes animalières et de traits grotesques. Hitler est caricaturé et son œuvre destructrice décrite avec rudesse mais lucidité. Ce portrait du Führer avec un visage déformé, apparaît comme un benêt hystérique et ridicule tandis que les inscriptions soigneusement ajoutées sont terribles alors que sa croix gammée inversée, du fumier qui vient se poser sur le brassard. Steib prévoit que justice sera faite, imagine la damnation du Führer, esquisse

dans le but de trouver du travail en tant que journaliers en se faisant passer pour des cousins, bien que les deux personnages ne se ressemblent pas du tout. George est petit, peu instruit mais futé, tandis que Lennie est grand, fort, mais un peu benêt. Leur amitié est pourtant très forte. George a pris Lennie sous son aile, car ce dernier souffre d’un retard mental et n’aurait pas été capable de survivre seul. Lennie, lui, écoute George au doigt et à l’œil, suit toutes ses consignes et tente de

jouée plusieurs fois provoque un comique que l’on nomme « comique de répétition », qui fonctionne sur une attente du spectateur, de revoir justement cette même scène se reproduire à plusieurs reprisesla complicité du public : Géronte apparaît comme le benêt dans cette scène, le seul qui ne comprend pas ce qu’il se passe, qui n’est au courant de rien, et qui reçoit les coups de bâton sans avoir le courage de s’interposer. Le public, lui, sait tout et comprend tout ce qui est en train de se passer. Le comique

victime Angélique relève du comique de situation : à la scène 5 du premier acte, son père lui vante les qualités de son futur mari en qui elle croit reconnaître Cléante, son amant, alors qu’il s’agit en réalité de Thomas Diafoirus, un jeune médecin benêt. Conclusion de l’argument : La richesse est la diversité des procédés comiques contribuent à inscrire la pièce dans le divertissement drôle. 3ème argument Argument :Avec la comédie-ballet du Malade imaginaire

En somme, aucune justice ne punit ces mœurs vicieuses qu’incarnent tous les personnages de la pièce, car la victoire est méritée par ceux qui sont fourbes et rusés, pendant que les « bonnes gens » comme Flamand sont qualifiés de « sots » et de « benêts ».