Benjamin Stora

positif. Il dit que ces algériens ont toujours souhaité avoir leur indépendance. Ce dernier vit avec l’Algérie d’aujourd’hui et a toujours été pour l’indépendance de ce territoire.6) Pourquoi d’après Benjamin Stora la commémoration du 19 mars 1962 n’est-elle pas consensuelle ?D'après Benjamin Stora, la commémoration du 19 mars 1962 n'est pas consensuelle car cette date a laissée place à un cessé le feu qui a laissé place à de nouvelles dynamiques pour l'indépendance de l'Algérie. Cependant, cela

de réconciliation alors que la réflexion n'intègre pas le point de vue algérien? Alors que ceux qui dirigent la Fondation sont des anciens de l'Algérie française? Résultat, plusieurs historiens de renom, spécialistes de cette période, comme Benjamin Stora, Gilbert Meynier et Jean-Pierre Rioux ont refusé de siéger au Conseil scientifique de la Fondation. [pic] [pic][pic] [pic] Une Fondation créée sur de mauvaises bases Les historiens à propos de la Fondation sur la mémoire de la guerre

guerre, En France, en revanche, pendant longtemps Les médias et notamment la presse écrite portaient un intérêt assez mineurs par rapports à la guerre et aux évènements qui s'y sont déroulés. Ainsi, l'historien et spécialiste de la question Benjamin STORA parle d'une véritable «amnésie» qui est tombées sur la classe politique et les milieux médiatiques au lendemain de la guerre. Sans doute que la violence du conflit ainsi que le déchirement de la société française entre les partisans de l'Algérie

n’enquête pas sur les crimes commis), on va même jusqu’à amnistier les généraux qui ont tenté un coup d’Etat contre De Gaulle. Tout cela dans le but d’oublier et de ne pas s’interroger sur cette guerre. C’est une « guerre ensevelie » (Citation de Benjamin Stora) B. En Algérie, l’écriture d’une histoire officielle falsifiée. Doc 3 page 35 On assiste en Algérie à une hyper commémoration (exemple : le flambeau des martyrs maqam al-chahîd), en réalité le pouvoir Algérien se base sur l’indépendance, et

et Mémoires / [sous la dir. scientifique de] Guy Pervillé[u.a.]. Bordeaux : SCEREN-CRDP Aquitaine, 2008 (Collection Histoire de notre temps). Savarese, Éric : Algérie, la guerre des mémoires. Paris : Éditions Non lieu, 2007. Stora, Benjamin: Le livre, mémoire de l’Histoire: réflexions sur le livre et la guerre d'Algérie. Paris : Le Préau des Collines, 2005. Sitographie http://www.algeria-watch.org(6.03.2010) http://www.algerie-dz.com/(6.03.2010)

d’Algérie, la déchirure tente de prendre au corps huit années de guerre, avec le dessein de représenter tous les visages, tous les lieux et les crimes, d’un camp à l’autre »[16] . Il est réalisé par Gabriel Le Bomin en collaboration avec l’historien Benjamin Stora à l’aide de la racontée de Kad Merad. « Guerre d’Algérie, la déchirure » commence par l’illustration de l’attentat de FLN le 1 novembre 1954 - début critiqué par le côté algérien car « il manque une étape importante et fondamentale pour comprendre

France aussi restreint l’accès aux archives après avoir amnistié presque tout le monde. 1972 La torture dans la République, P. Vidal-Naquet. ·        Les années 1990-2000 : On assiste à une « accélération de la mémoire » : grâce à l’impulsion de Benjamin Stora « La Gangrène et l’oubli » 1991 et d1 p63 => tous les acteurs mémoriels sont étudiés par les historiens, ex : Raphaëlle Branche (torture) ; ils aident comme « experts » à l’émergence de mémoire plus apaisées face aux revendications conflictuelles

encadré par l’état  contrôle la recherche scientifique (Centre Nationale d’Etudes Historiques qui encadre un travail de rassemblement d’archives écrites et orales). 1958  « L’Affaire Audin » Pierre Vidal-Naquet. 1961  « Français d’Algérie » Benjamin Stora. 1972  « La torture dans la République » Pierre Vidal-Naquet. Mohammed Harbi  Historien Algérien  1973 condamné pour sa contestation de l’Histoire officielle  réfugié en FRA. II/ a) Réveil des mémoires = vers la fin de l’amnésie. Mémoire

à la renaissance de l’Algérie, cependant, la France elle voit sa défaite lui peser, alors elle décide de la censurer. La multiplicité des vécus de guerre a été à l’origine de mémoires plurielles et caractérisées par un vécu souvent douloureux. Benjamin Stora, historien français estime par exemple à travers ses travaux que 5 à 6 millions de personnes sont encore aujourd’hui directement concernées par la Guerre, qui reste pour elle un marqueur d’identité, une période qui fabrique de l’identité personnelle

perpétrés par la colonisation était terminé». Pour Benjamin STORA, historien émérite, la forte signification de ces propos réside dans le fait que la France reconnaît officiellement sa responsabilité. L’ambassadeur a employé le terme «massacres», et a reconnu «la très lourde responsabilité des autorités françaises de l'époque dans ce déchaînement de folie meurtrière [qui a fait] des milliers de victimes innocentes, presque toutes algériennes». Benjamin STORA déplore toutefois que la France soit prête