Benjamin Stora

imprimé par les Editions Subervie, vraisemblablement en 1958. une 13 Exigence, Paris, n° 5, janvier 1957, pp. 26-46. 14 Claude Roy, Libération du 6 mars 1958. 15 René Lacôte, Les Lettres françaises, n° 714, 26 mars 1958. 16 Sur Kader Kalache, cf. Benjamin Stora, Dictionnaire biographique de militants nationalistes Algériens, Paris : l’ Harmattan, 1985, p. 209. 12 11 dans un entretien17, cette activité avec Sénac tandis que celui-ci l’ évoque dans une postface pour un projet inabouti de réédition

C’est donc la réaction non spécifique de l’organisme à un stimulus de nature variable (également appelé stresseur11 ou agent stressant), 4 STORA Jean-Benjamin. Le stress. 5e éd. Paris : Puf, 2002. (Que sais-je ?). p. 7 BOISSIERES Françoise, COUPUT Pierre. Les soignants face au stress. Rueil-Malmaison : Lamarre, 2003. (Pratiquer). p. 35 6 STORA Jean-Benjamin, op. cit., 7 7 Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Qu’est ce que le stress ? In Centre d’Etudes sur le Stress Humain [en ligne]

c'est-à-dire que nous avons rendu la société musulmane beaucoup plus misérable, plus désordonnée, plus ignorante et plus barbare qu'elle n'était avant de nous connaître." Extrait de Alexis De Tocqueville, Rapport sur l'Algérie, 1847 cité dans Benjamin Stora, "Histoire de l'Algérie coloniale, 1830-1954", Paris, édition La Découverte, 1994, p. 28 Les adversaires de l'expansion outre-mer critique les thèses impérialistes au nom d'autres conceptions de la morale et du nationalisme. Ce courant, puissant

Les harkis, algériens qui avaient combattu avec la France contre les indépendantistes demandent que leurs droits soient reconnus. Des débats ont lieu sur la torture pendant la guerre d’Algérie. Des livres sont publiés sur le sujet notamment par Benjamin Stora. Le Président Chirac s’est rendu en Algérie en 2000 pour une visite de réconciliation au cours de laquelle il a proposé des aides à la suite des inondations subies par ce pays, puis en 2005 où il a fait acte de repentance. Le terrorisme a débordé

être publiés, comme c’est le cas pour les Paravents et 250 autres ouvrages entre 1955 et 19624. De même les ouvrages critiquant la guerre sur le plan moral ou bien rendent compte du fait colonial de subissent pas de censure. Par contre, selon Benjamin Stora qui s’appuie sur les travaux de l’historien américain Martin Harrison, la censure dans ce début des années 60 interdit strictement « toute critique sur l’armée dans ses méthodes de ``pacification’’ »5. Ainsi cette censure thématique offre une

pas être soumis aux différents groupes qui veulent ne retenir, voire modifier que certains aspects de l'histoire. Il ne doit pas céder aux revendications de ces groupes, dont les objectifs sont les revendications présentes. En 2005, l'historien Benjamin Stora lancent une pétition pour dénoncer les lois mémorielles. Ce texte signé par plus de 600 personnes critique ces lois qui '' ont restreint la liberté de l'historien '' et indique que ce n'est pas le parlement ou l'autorité qui doit définir la vérité

racisme » a un écho considérable dans la jeunesse qui se mobilise. Les enfants français de familles immigrées issues d’anciens pays colonisés ont « le sentiment que la société porte sur elles le même regard que la France portait sur les colonisés » (B. Stora) L’Etat, les historiens et les relations franco-algériennes sont pris dans la « guerre des mémoires » qui débute dans les années 90 A partir de la fin des années 90, les choses s’accélèrent et une « guerre des mémoires », s'installe ouvertement

mort dans les jours suivants[118]. La répression de l’armée française est brutale. Officiellement, elle fait 1 500 morts parmi les Algériens, chiffre potentiellement sous-estimé et probablement plus proche des 20 000 à 30 000 selon l’historien Benjamin Stora. Le Parti du peuple algérien (PPA) estime qu'il y a eu 45 000 morts[119]. De par la radicalisation qu'ils ont engendrée dans les milieux nationalistes algériens, certains historiens considèrent ces massacres comme le véritable début de la guerre

avec La Barbarie (l’Afrique du Nord). En effet, la littérature, qu’elle soit romancée ou historique tourne avant tout autour de la période comprise entre 1954 et 1962, c'est-à-dire la guerre d’Algérie et l’indépendance. Des spécialistes comme Benjamin Stora et Jean-Jacques Jordi, s’intéressent avant tout à cette période. A travers mon travail, j’ai voulu comprendre ce qui a amené la France à coloniser l’Algérie en 1830. Les relations franco-algériennes, dont on parle peu, permettent de mieux

et qui à l'indépendance, abandonné par la France, se sont fait massacrés, ou s'ils sont parvenus à rejoindre le territoire métropolitain ont été traité bien plus mal que les Pieds-noirs. Bibliographie : La guerre d'Algérie, Mohammed Harbi, Benjamin Stora, Robert Laffont, 2004, Paris France et Algérie : journal d'une passion, J. Marseille, Larousse/Vief, 2002 1962: l'arrivée des Pieds-Noirs, Jean-Jacques Jordi, Editions Autrement- Série Monde/Français d'ailleurs, peuple d'ici, H.S. N°81, 1995