Benoît XII

religieux, c’est à dire en groupe de moines qui obéissent à la même règles. On peut notamment trouver : L’Ordre de Cîteaux : Armes de l'ordre de Cîteaux http://images2.photomania.com/227819/1/rad5BA44.png Développé par Bernard de Clervaux au XII° siècle, appelé également l’Ordre Cistercien, il impose à son ordre la pauvreté et le travail manuel et est contre la richesse du clergé. L’Ordre des Franciscains : Fondé au début du XIII° siècle par François d’Assise, fils d’un marchand d’Assise

a apellé « La Triade Antique », pour commencer à etudier la mythologie dans ce roman il faut remarquer d’abord les caracteristiques de ce type de roman inspiré dans la matière de Rome, une des grandes thematiques de la litterature du Mogen Âge. Le XII siecle en France, en matiere de litterature, fut en siecle de decouverte relative : le Moyen Âge ignore Homère ou les tragiques grecs, mais dispose d'adaptations latines. Les romans dits “antiques” s’inspirent de ces sources latines en les transposant

du peuple chrétien. >composantes politique et religieuse Louis le Pieux : réforme monastique [modifier] Benoît d'Aniane fils d'un aristocrate wisigoth, instaure une réforme religieuse en Aquitaine, puis unifie la liturgie (817). Il obtient de Charlemagne des lettres d'immunités et la reconnaissance de la liberté d'élection de l'abbé[69]. Il modifie et complète la règle de saint Benoît de Nursie avec celle de Colomban pour qu'elle puisse être appliquée uniformément et strictement à travers l'empire[70]

La réforme de Benoît d’Aniane a partir de documents Introduction et plan détaillé. *Échanson : grand officier du palais, chargé de l »intendance des denrées alimentaires et des boissons à l’époque carolingienne. Pépin le Bref entame pendant son règne une politique de réforme de l’Église. Il est très suivi par son fils Carloman qui dirige l’est de l’Austrasie et la Germanie. A son tour Charlemagne poursuit les réformes mais c’est sous le règne de Louis le Pieux que tous les monastères se

monastères ou prieuré et soucieux de réforme et de rigueur dans l’application de la règle de St Benoit. Il quitte Molesme (qu’il avait fondé en 1075) face une révolte des moines qui n’acceptent pas son souci d’austérité ; il obtient du légat du pape la possibilité de fonder dans une vallée appartenant à Eudes, duc de Bourg ogne, un nouveau monastère Cîteaux et d’y appliquer son interprétation de la règle de St Benoit - Qui était Bernard de Clairvaux ? Moine ayant vécu de 1091 à 1153, canonisé en 1174

moines : - Les moines convers : moines illetrés chargés de travaux agricoles. Les moines de choeur : restent au monastère pour prier et chanter les offices. Les moines consacrent une grande partie de leur temps (un tiers selon la Règle de saint Benoît) à prier pour les hommes. Leur journée est rythmée par des heures de prières et de travail manuel ou intellectuel (copie des manuscrits). A cette période, on choisit le célibat pour les prêtes. Contre cettre richesse des mines, au début du XIIIe

caractéristique par son dépouillement dans l'ornementation. Contrairement à la plupart de ses sœurs, Fontenay conserve dans son vallon sauvage au cœur de la forêt formant un cadre naturel plein de charme Les moines y suivent la règle de vie dictée par saint Benoît . Saint-Bernard y arrive vers 1113. Il s’oppose à la richesse de l’ordre clunisien et veut revenir à l’essentiel de la règle bénédictine: Ora et Labora, le travail et la prière. Avec ce grand homme l’ordre se développe rapidement . La journée d'un

Benoît de Nursie (né vers 480 ou 490 à Nursie – mort en 547 , plus connu sous le nom de « saint Benoît » pour les catholiques et les orthodoxes, est le fondateur de l'ordre bénédictin. Il est considéré par les catholiques et les orthodoxes comme le patriarche des moines d'Occident, à cause de sa Règle qui a eu un impact majeur sur le monachisme occidental et même sur la civilisation européenne médiévale. Saint Benoît est fêté le 11 juillet, date de la célébration de la translation de ses reliques

Au début du Xeme siècle, naît dans l'Église catholique la volonté de réformer l'ordre monastique. Cette restauration est due a la Règle de saint Benoît, un règlement qui régit dans ses moindres détails la vie monastique, pour respecter l'observance. Cette Règle initiée par saint Benoît connaît un important développement, notamment grâce à l'action de Benoît d'Anian trois siècles plus tard. Mais elle est limitée par les traditions qui se développent dans les abbayes, et par la méconnaissance de la Règle

Saint Benoît de Nursie, (v. 480-v. 547) Issu d'une famille noble de Nursie, dans le centre de l'Italie, Benoît passa sa jeunesse à étudier à Rome. Choqué par la vie dissolue qui s'y menait, il se retira dans une région déserte près de Subiaco et vécut dans une grotte (baptisée plus tard la grotte sainte) pendant trois ans. Durant toute cette époque, sa réputation de saint homme grandit et le peuple en foule accourut pour le voir. Sollicité pour devenir abbé dans un monastère du nord de l'Italie