Benvenuto Cellini

détail. Après Michel-Ange : Le mouvement maniériste, annoncé déjà par Baccio Bandinelli (1488-1560), est porté à son extrême par Tribolo (1500-1550) introduisant l'effet dynamique et la vision panoramique autour des volumes. C'est finalement Benvenuto Cellini (1500-1571) qui aboutit à toutes les recherches avec Persée (1553) tenant la tête de la Méduse. Il y a une « multifacité » dans la sculpture maniériste notamment au niveau des fontaines avec notamment la Fontaine de Neptune de Bartolomeo Ammanati

l’appartement. « Il était à demi couché sur un sofa, dans une pose visiblement étudiée, et vêtu d’un pantalon 110 de soie à pieds et d’une robe de chambre éclatante ; il roulait entre ses gros doigts un charmant petit flacon de Clackmann ou de Benvenuto Cellini. « – Ah ! que c’est bon et gracieux à vous d’être venu me voir, docteur ! dit-il en se soulevant à demi et me faisant signe de m’asseoir. Au reste, je ne vous ai pas menti ; je suis horriblement souffrant. « – Qu’avez-vous ? lui demandai-je ;

qu’il fait venir en France. Parmi ces artistes à la solde du roi des français, on peut citer Andrea del Sarto 5, Giovanni Battista di Jacopo6, le Primatice7, Sebastiano Serlio8, Benvenuto Cellini9 et Léonard de Vinci10. Devenu collectionneur, François premier rassemble des oeuvres de Léonard de Vinci, Raphaël 11, Cellini, del Sarto, Titien12, Bronzino13 au Château de Fontainebleau. La France de François Ier se dote de monuments et d’oeuvres d’art majeurs et parallèlement le roi parvient à constituer

besoins personnels. Au chapitre des pensions, l’ambassadeur de Venise parle de quelque 600 000 livres, mais pour être complet, à ces dons d’argent, il faut ajouter les dons d’office, prodigués quelquefois par centaines dans une seule année. Benvenuto Cellini dans ses Mémoires nous en fournit un bel exemple : « Donnez-lui donc la première abbaye vacante, et si elle ne rapporte pas deux mille écus de rente, donnez-lui en deux ou trois », s’exclame le roi, enthousiasmé par le travail d’orfèvrerie de

l’art de Benvenuto Cellini, ce chefd’œuvre ne surprendrait personne ; mais, en ce moment, une jeune fille experte en bijouterie dut rester ébahie en maniant ce cachet quand la cousine Bette le lui eut présenté en lui disant : - Tiens, comment trouves-tu cela ? Les figures, par leur dessin, par leurs draperies et par leur mouvement, appartenaient à l’école de Raphaël ; par l’exécution, elles rappelaient l’école des bronzier florentins que créèrent les Donatello, Brunelleschi, Ghiberti, Benvenuto Cellini

s’entre-déchiraient, et parmi lesquels s’agitait le serpent symbolique. En 1846, après le pas immense que mademoiselle de Fauveau, les Wagner, les Jeanest, les Froment-Meurice, et des sculpteurs en bois comme Liénard, ont fait faire à l’art de Benvenuto-Cellini, ce chef-d’œuvre ne surprendrait personne ; mais en ce moment, une jeune fille experte en bijouterie, dut rester ébahie en maniant ce cachet, quand la cousine Bette le lui eut présenté, en lui disant : « ― Tiens, comment trouves-tu cela ? » Les

l’art de Benvenuto Cellini, ce chef-d’œuvre ne surprendrait personne ; mais, en ce moment, une jeune fille experte en bijouterie dut rester ébahie en maniant ce cachet quand la cousine Bette le lui eut présenté en lui disant : - Tiens, comment trouves-tu cela ? Les figures, par leur dessin, par leurs draperies et par leur mouvement, appartenaient à l’école de Raphaël ; par l’exécution, elles rappelaient l’école des bronzier florentins que créèrent les Donatello, Brunelleschi, Ghiberti, Benvenuto Cellini

l’impulsion d’un schème, tend à se composer en récit. »5 Notezle au passage : il faut retenir, pour nos futures investigations littéraires, que toute allusion mythique est riche d’un récit implicite. De même que la fameuse statue de Persée (celle de Benvenuto Cellini à Florence), pétrifiée dans son geste alors qu’il brandit la tête de la Gorgone Méduse, suggère l’ensemble des événements qui précèdent cet acte héroïque, de 4 5 M. Eliade, Aspects du mythe, Paris, Gallimard, 1958, p. 15. G. Durand, Les

inexécutées ? D'ailleurs, l'auteur ne croit ni à la générosité ni à l'attention d'une époque lâche et voleuse qui va chercher pour deux sous de littérature au coin d'une rue, comme elle y prend un briquet phosphorique, qui bientôt voudra du Benvenuto Cellini à bon marché, du talent à prix fixe, et qui fait aux poètes la même guerre qu'elle a faite à Dieu, en les rayant du Code, en les dépouillant pendant qu'ils vivent et en déshéritant leurs familles quand ils sont morts. Puis, pendant longtemps

s'entre−déchiraient, et parmi lesquels s'agitait le serpent symbolique. En 1846, après le pas immense que mademoiselle de Fauveau, les Wagner, les Jeanest, les Froment−Meurice, et des sculpteurs en bois comme Liénard, ont fait faire à l'art de Benvenuto−Cellini, ce chef−d'oeuvre ne surprendrait personne ; mais en ce moment, une jeune fille experte en bijouterie, dut rester ébahie en maniant ce cachet, quand la cousine Bette le lui eut présenté, en lui disant : " − Tiens, comment trouves−tu cela ? "