Bérénice

travers l’incompatibilité de la charge royale avec le droit au bonheur (Sertorius, Suréna). La comparaison avec Racine avait tourné à son désavantage lorsque les deux auteurs avaient produit, presque simultanément, sur le même sujet, Bérénice (Racine) et Tite et Bérénice (Corneille). À la fin de sa vie, la situation de Corneille est telle que Boileau demande pour lui une pension royale qu'il obtient de Louis XIV. Corneille meurt à Paris le 1er octobre 1684.

Corneille), Polyceute (tragédie) 1647 : Admission à l’Académie Française 1651 : Nicomède (tragédie) 1656 : Publication de la traduction en vers de l’Imitation de Jésus-Christ 1659 : Œdipe à la demande de Fouquet 1670 : Tite et Bérénice, défaite de Corneille face à Bérénice de Racine 1674 : L’échec de Suréna et Pulchérie poussent Corneille à cesser son activité d’auteur     dramatique. 1684 : Mort de Corneille Auteur : Corneille Titre : Fiche de lecture et résumé Époque : 17 ième Oeuvre dont

intrigues misent davantage sur le sentiment et apparaissent moins héroïques et plus humaines. La comparaison avec Racine tournera au désavantage de Corneille lorsque les deux auteurs produiront presque simultanément, sur le même sujet, Bérénice (Racine) et Tite et Bérénice (Corneille). En 1662, Pierre Corneille s’installe à Paris[4] avec son frère et sa femme chez son protecteur le duc de Guise, près de Molière qui, sous l'afflux des commandes, a besoin d'auteurs : ils écrivent notamment ensemble Le Dépit

1669, il se réconcilie avec les jansénistes et collabore au recueil des Poésies chrétiennes publié sous leur direction. Les chefs-d'œuvre se succèdent sur la scène de l'Hôtel de Bourgogne : Britannicus, en 1669, Bérénice, en 1670, sujet où il entre en rivalité avec Corneille (Tite et Bérénice, créé par la troupe de Molière), et où le public découvre le talent de la Champmeslé, désormais son interprète de prédilection, Bajazet, en 1672, Mithridate, en 1673, Iphigénie, créée à Versailles en 1674.

Guiraudie - Camille Claudel 1915, de Bruno Dumont - Elle s'en va, d'Emmanuelle Bercot - Jimmy P. (Psychothérapie d'un Indien des Plaines), d'Arnaud Desplechin - Mon âme par toi guérie, de François Dupeyron - Le Passé, d'Asghar Farhadi, qui a valu à Bérénice Bejo le prix d'interprétation du Festival de Cannes En 2012, le prix Louis-Delluc avait distingué Les Adieux à la reine, de Benoît Jacquot. Le lauréat 2013 sera dévoilé le 17 décembre. “La Vie d'Adèle”, “Jimmy P.”... Huit films en lice pour le

Philippe d'Orléans, demande à Jean Racine et Pierre Corneille d'écrire séparément des vers sur les amours de Bérénice. Malheureusement pour Corneille, la Princesse Henriette d'Angleterre préféra la tragédie de Racine intitulé « Bérénice » à la sienne, « Tite et Bérénice ». Malgré le grand succès de « Bérénice », composé par Racine, Molière, bon ami de Corneille, décida d'interpréter « Tite et Bérénice ». La notoriété et le succès de Racine augmentent de plus en plus, ce qui commence à faire de l'ombre à

Jésus-Christ. Il renoue avec la tragédie en 1659 avec Œdipe, puis La Conquête de la Toison d'Or (1660), tragédie à grand spectacle, et donne ensuite Sertorius (1662), Sophonisbe (1663), Othon (1664) et Agésilas (1666). Avec Attila (1667), puis Tite et Bérénice (1670), Corneille quitte l'Hôtel de Bourgogne et s'adresse à la troupe de Molière, qui a déjà interprété plusieurs de ses pièces. Pulchérie, jouée au Théâtre du Marais en 1672, puis Suréna en 1674, terminent la carrière dramatique de Corneille.En

créée à la fin de 1668. A partir de 1669, il collabore avec le recueil des poésies chrétiennes publié sous leur direction. Les chefs-d'oeuvre se succèdent sur la scène de l'hôtel de Bourgogne : Britannus en 1669, Bérénice, en 1670, sujet où il entre en rivalité avec Corneille (Tite et Bérénice, créé par la troupe de Molière), Bajazet, en 1672, Mithridate, en 1673, Iphigénie, créée à Versailles en 1674. Il est ami avec de Boileau et de La Fontaine et il a la protection de Mme de Montespan. En janvier

Andromaque, un triomphe qui n'est pas sans rappeler celui du Cid, trente ans plus tôt. En 1670, les deux auteurs se trouvent en concurrence frontale lorsqu'ils créent simultanément une pièce sur le même thème. Racine triomphe avec sa Bérénice, tandis que le Tite et Bérénice de Corneille ne rencontre qu'un succès mitigé. Enfin, en 1684, Corneille meurt le 1er octobre et son frère Thomas lui succède à l’académie et, comme pour oublier sa rivalité avec Pierre, Racine prononce une superbe éloge en l’honneur

intrigues misent davantage sur le sentiment et apparaissent moins héroïques et plus humaines. La comparaison avec Racine tournera au désavantage de Corneille lorsque les deux auteurs produiront presque simultanément, sur le même sujet, Bérénice (Racine) et Tite et Bérénice (Corneille). À la fin de sa vie, la situation de Corneille est telle que Boileau demande pour lui une pension royale qu'il obtient de Louis XIV. En 1789, Napoléon Bonaparte, doublant l'armée de Nelson et redoutant une ruse des Anglais