Bérénice

talent de la Marquise du Parc, débauchée de la troupe de Molière. 1670 => préface de Britannicus, où Racine insulte Corneille. Les rivaux choisiront les mêmes sujets (Britannicus, Bérénice, Mithridate ; sujets romains, familiers de Corneille). Molière monte Tite et Bérénice, de Corneille ; Racine donne sa Bérénice à la troupe rivale. On accuse Racine d’avoir empoisonné Melle du Parc. Après une carrière fulgurante de 13 ans, Racine se reconvertit es devenant historiographe du Roi => le passage

tel un tableau qui illustre à la fois l’image de l’honneur, du pouvoir et des contraintes. Racine rédige en 1670 Bérénice, pièce dans laquelle la tragédie nait de l’affrontement des deux héros : Titus et Bérénice. Le besoin d’une supériorité de l’un sur l’autre marque fort le lecteur très tôt, et le suspense crée dure jusqu’à la dernière réplique. La passion que lie Titus à Bérénice détruirait celle qu’il a pour Rome et ce dernier se retrouve face à une décision où l’Empire remporte la bataille

Racine Bérénice, IV 4, Le monologue de Titus. Bérénice= une tragédie en vers de Racine qui connaît un triomphe dès sa première représentation en 1670; elle se caractérise par “cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie”(cf Préface), mais aussi par une esthétique radicalement nouvelle défendue par Racine dans cette préface : esthétique reposant sur la simplicité extrême de l’intrigue. Mise en situation du passage: Malgré sa décision annoncée de renvoyer Bérénice, Titus

"Certes ... Mais" un peu différent. I. Certes le théâtre en Occident peut être défini comme un "théâtre de paroles". 1) L'importance des répliques Dans le théâtre en Occident, ce sont les répliques qui dominent et non la gestuelle/le décor. ex : Bérénice de Racine > quasi-absence de didascalies 2) Des paroles très codifiées/soignées On remarque que les répliques dans le théâtre occidentale sont très soignés. ex : Le Misanthrope de Molière > alexandrins, les rimes II. Mais la gestuelle/le

créer le personnage de Bérénice. Aragon avoue effectivement : « que Bérénice a été écrite, décrite à partir d’une femme réelle, je n’en disconviens pas ». A la lecture du roman, on apprend par ailleurs que Bérénice est mariée à un pharmacien, activité assez proche de celle du médecin. Nous pouvons encore trouver un lien ; en effet dans la vie réelle, il n’y a eu aucune aventure physique entre Aragon et Denise Lévy ainsi il n’y en aura pas non plus entre Aurélien et Bérénice. De la même manière,

repris tel quel, sans altération, sous forme de citation. Néanmoins l’emploi de modalisateurs peut trahir un jugement. Le propos est ainsi rapporté avec expressivité et vivacité. Aurélien déclara / affirma, un peu mufle / lâcha violemment : « Bérénice, la première fois, bein, je l’ai trouvé franchement laide ! » Le discours indirect : le discours d’autrui est retranscrit dans une proposition subordonnée (les guillemets disparaissent ; il y a concordance des temps : le présent devient imparfait

thèmes lyriques et tragiques de la solitude ( apostrophes, pronoms...), de l'enfermement et de l'écrasement( "accabler", "triste", "malheurs"= II- Les enjeux de la délibération: choisir et dire 1) L'amour et la cité * L'amour est désigné par "Bérénice" qui l'incarne et l'identifie en permanence dans l'arrière texte ( v2 puis v35) * Présence d'un lexique de l'univers sensuel de la préciosité: "yeux"(v7,9), "douce langueur"(v7) "coeur" (v6,8,13), "charmes" (v9) puis en écho "larmes" (v10), "adore

njhbcfsxdcfghn,k;l:pko,hufvtdefvgbj,k;lk,jhbgfdsxedfghj,k;;ljihgyftdrsrftvhnj,k;l,jnhfdsxedrcfgnk,;lwww.etudes-litteraires.com/.../topic42044-comment-ces-textes-represente...‎ 10 janv. 2014 - 2 messages - ‎2 auteurs "La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. Elle lui déplut, enfin. Il n'aima pas comment elle était habillée. Comment le théâtre invite-t-il à réfléchir sur le sens de ... 5 messages 4 janv. 2014 Comment les auteurs du corpus présentent-ils la vie de ..

un « homme des foules » qui « refuse d'être seul ». BERENICE Un homme, nommé Egaeus, se prépare à se marier à Bérénice, sa cousine. Il a tendance à sombrer dans des intenses fixations du vide et dans de profondes réflexions qui le séparent du monde extérieur. La santé de Bérénice se met à se dégrader à cause d'une maladie dont on ne sait rien et la seule partie saine en elle sont ses dents, qui commencent à obséder Egaeus. Bérénice meurt et Egaeus continue de contempler ses dents. Alors qu'il

face à lui. Cette analyse peut commencer par une oeuvre de théatre, telle que "Bérénice" du célèbre Jean Racine en 1671, en effet le personnage de Bérénice va littéralement changer du début en fin d'histoire. Cette dernière ne doute pas un seul instant que Titus puisse un jour préfèrer sa propre gloire et l'amour qu'elle lui porte, cependant, elle va très vite constater le refus de son bien aimé à unir leur amour. Bérénice se rend donc compte qu'il faut qu'elle pense autrement malgrès le fait qu'elle