Bergson Il Me Parait Vraisemblable Que La Conscience

un cercle ? Il fallait, en effet, expliquer alors comment les autres se souviennent, et le même problème semblait se poser de nouveau, dans les mêmes termes. Si le passé reparaît, il importe fort peu de savoir s'il reparaît dans ma conscience, ou dans d'autres consciences. Pourquoi reparaît-il ? Reparaîtrait-il, s'il ne se conservait pas ? Ce n'est point apparemment sans raison que, dans la théorie classique de la mémoire, après l'acquisition des souvenirs on étudie leur conservation, avant de rendre

(ce serait parce que survit en elle le souvenir de la plus célèbre « ruffiana » de la littérature italienne, la religieuse de Monza, d’ascendance ibérique, Soeur Virginia Maria de Leyva, qu’on trouve dans ‘’Les fiancés’’ de Manzoni) : « Ah, ça né mé paraît pas muy poli qué vosostros vous riiez dé migo, quand yo tâche dé hablar francès comé podo, senor ! » (page 95). Et le directeur, après s’être récrié, apprécie cet élément : « On ne pourrait même rien trouver de mieux pour rompre par une note comique

Fiches de révisions Philo LA CONSCIENCE Fiches de coursPhiloTle ESTle LTle SLa conscience 1 Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant

(ce serait parce que survit en elle le souvenir de la plus célèbre « ruffiana » de la littérature italienne, la religieuse de Monza, d’ascendance ibérique, Soeur Virginia Maria de Leyva, qu’on trouve dans ‘’Les fiancés’’ de Manzoni) : « Ah, ça né mé paraît pas muy poli qué vosostros vous riiez dé migo, quand yo tâche dé hablar francès comé podo, senor ! » (page 95). Et le directeur, après s’être récrié, apprécie cet élément : « On ne pourrait même rien trouver de mieux pour rompre par une note comique

quel est ? (a partir d'un texte de Bergson) (Art) Y a-t-il un progrès dans l'art ? (Art) L'artiste imite t-il le réel ? L'art nous permet-il de nous libérer du temps ? (L'art) En quoi la beauté artistique est-elle supérieure a la beauté naturelle? (L'Art) Que vaut un livre qui n'a pas même la vertu de nous emporter par delà tous les livres? (248-Le Gai Savoir-Nietzsche) On dit généralement que l'artiste créé et que le scientifique découvre. Cette opposition vous paraît-elle fondée ? (Art) Tout le monde

vie humaine, il n’y aurait pas de désir, car on ne désire vraiment que ce qu’on est pas certain d’obtenir à l’avance. Donc puisque ne désirer que le possible dans le sens absolu du terme ne veut rien dire, il faut ne désirer que le probable, le vraisemblable, ce qui a de grandes chances de se produire. (2)Il faut désirer le probable, ce qui arrive de manière normale et régulière, car il est étant donné nos limites, ce qui peut vraiment nous satisfaire. Le probable c’est ce qui arrive habituellement

80 3.2 La théorie des ensembles 86 4.1 La réflexion du virtuel sur l'actuel durant la perception 92 RÉSUMÉ Ce mémoire tente de clarifier la forme narrative de La Route des Flandres de Claude Simon en s'inspirant des théories d'Henri Bergson présentées dans Matière et mémoire et reprises par Gilles Deleuze dans Image-temps et Image-mouvement. Publié en 1960 dans la foulée du nouveau roman, La Route des Flandres relate les événements vécus par un jeune Français durant la Seconde Guerre

............................................................................................................. 201 > Quand nous percevons, sommes-nous purement passifs ? > ................................... 233 Étude d’un texte de Bergson sur le langage et la perception du monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

tenté de définir rapidement autrui comme « alter ego » (autre moi). Cela semble affirmer son égalité par rapport à ce que je suis, et garantir qu’il me ressemble : bien que son corps occupe dans l’espace un lieu différent du mien, je lui prête une conscience, une pensée, une affectivité de même nature que les miennes. Ainsi, Descartes admet que, lorsqu’il aperçoit dans la rue des silhouettes vêtues comme lui, ce sont bien des hommes, et non des automates. Mais ainsi convenir qu’il y a des hommes autres

éviter. ● Des citations, un résumé, et les définitions des notions à connaître, après chaque dialogue. ● Dans une seconde partie, des textes d’auteurs, associés aux différentes problématiques, pour approfondir la réflexion. Titres déjà parus : ● La conscience, l’inconscient et le sujetl ● L’art et le beau ● La raison et le sensible ● Liberté et déterminisme ISBN 2 09 184166-7 Liberté et déterminisme En prolongement du cours, ou pour préparer un devoir : L’Apprenti Philosophe, un outil original