Bergson Le Rire Nous Ne Voyons Pas Les Choses Mêmes

est permanent" lettre à Jean Paulhan "La vie est de brûler des questions" l'ombilic des limbes Agrippa d'Aubigné : "L’homme est en proie à l'homme, un loup à son pareil" Stances Balzac : "La haine, comme l'amour se nourrit des plus petites choses, tout lui va" le contrat de mariage "L’illusion est une foi démesurée" les employés "La mission de l'art n'est pas de copier la nature mais de l'exprimer" le chef d'œuvre inconnu Bataille Georges : "Le cœur est humain dans la mesure où il se

l’exemple singulier est l’ennemi de l’exemple singulier. Il n’a donc pas indiqué ce qui est toujours beau, le beau en soi qui rend belles les choses où il se trouve: femme, jument ou marmite. Pour comprendre cette présence du beau dans les belles choses, il faut détacher sa pensée des choses sensibles par l’abstraction. - Le beau, c’est l’or: l’or rend belles les choses auxquelles il vient s’adjoindre. Hippias donne une interprétation matérielle de la cause recherchée par la fonction ornementale de l’or

capable de citer des pages entières de Platon et de Virgile et de distiller de brillantes étymologies, il est aussi prétentieux et lâche. Cottard est son pendant du côté de la médecine. Amateur de calembours ineptes, capable de se qualifier lui-même sans rire de " prince de la science " sans comprendre son ridicule, il ne peut se défaire d’un fétichisme primitif des formules toutes faites. Il n’en reste pas moins un savant, mais incomplet -- car, comme le dit le Narrateur, " cet imbécile était un grand

appel a l'imagination ? En quoi peut-on dire que l'art fait appel a l'imagination ? (Art) Comment l'artiste dépasse t-il les limites du langage et sa codification ? (Art) Peut-on voir la réalité directement telle quel est ? (a partir d'un texte de Bergson) (Art) Y a-t-il un progrès dans l'art ? (Art) L'artiste imite t-il le réel ? L'art nous permet-il de nous libérer du temps ? (L'art) En quoi la beauté artistique est-elle supérieure a la beauté naturelle? (L'Art) Que vaut un livre qui n'a pas même

de notre indignité; on se rappelait en le lisant qu'il y avait eu, autrefois, des œuvres qui prétendaient valoir par elles-mêmes et ne rien prouver. Mais, en contrepartie de cette gratuité, le roman demeurait assez ambigu: comment fallait-il comprendre ce personnage, qui, au lendemain de la mort de sa mère, « prenait des bains, commençait une liaison irrégulière et allait rire devant un film comique », qui tuait un Arabe « à cause du soleil » et qui, la veille de son exécution capitale, affirmant

répondre à des questions que les autres nous posent, ou que nous supposons qu'ils pourraient nous poser, et que d'ailleurs, pour y répondre, nous nous plaçons à leur point de vue, et nous nous envisageons comme faisant partie du même groupe ou des mêmes groupes qu'eux. Mais pourquoi ce qui est vrai d'un grand nombre de nos souvenirs ne le serait-il pas de tous ? Le plus souvent, si je me souviens, c'est que les autres m'incitent à me souvenir, que leur mémoire vient au secours de la mienne, que la

nature, s’organise selon des lois, des normes, d’après des habitudes et des représentations morales. A ce titre tout homme est cultivé ou presque pcq ils appartiennent tous ou presque à une société ? Le problème c’est que ca semble impliquer plusieurs choses : un relativisme des valeurs culturelles cad que si tout homme est cultivé, toutes les cultures se valent , où s’arrête le champ d’application de cette définition ? Cela implique que la culture s’applique a un groupe d’hommes (entreprise, famille

C'est donc cela une création qui fait intervenir le temps (cf Bergson) car, pour toute activité utilitaire, plus on la répète plus elle s'enchaîne répétitivement, moins on a besoin de temps pour la reproduire = Enchaînement rapide. Or l'art ne pourra jamais être réductible au temps, et c’est moins l’œuvre

animaux, une propriété ou une faculté qui l'en différencierait et l'aurait conduit ainsi à un dépassement irréversible de l'état animal. En ayant quelque chose de plus que les autres animaux, l'homme serait devenu autre qu'eux. Ainsi de la faculté de rire, de la faculté de penser ou de raisonner, de la faculté de s'associer, non sous la forme d'une bande, d'un groupe, ou d'une famille, mais dans celle d'une société politique. La liste est loin d'être close, chaque différence engendrant une infinité

indignité ; on se rappelait en le lisant qu’il y avait eu, autrefois, des œuvres qui 10 prétendaient valoir par elles-mêmes et ne rien prouver. Mais, en contrepartie de cette gratuité, le roman demeurait assez ambigu : comment fallait-il comprendre ce per- sonnage, qui, au lendemain de la mort de sa mère, « prenait des bains, commençait une liaison irrégulière et allait rire devant un film comique », qui tuait un arabe « à cause du soleil » et qui, la veille de son exécution capitale, affirmant