Bergson Radicale Est La Différence

distance où à l'écart de ce qui est. A l'écart du moi qui me défini et du monde : Néant ayant à être ou projet (p148 et 149). Comme tel, nous ne sommes déterminés par rien, autrement dit, pure liberté, pure indétermination. Tel est le point de vue radical de Sartre (contrepoint p522 et 528). Or, il se pourrait que le sujet, ainsi mit à l'écart de lui-même comme du monde, se manifeste comme désir. « Néant » et « Écart » qui caractérisent le mode d'être du sujet (et qui en fait un sujet libre)

est caché.”Quand le principe de la combustion chimique a été découvert (qui est la fixation d’atomes d’oxygène), peu importe qu’il y ait flamme ou non, d’où la distinction entre combustion vive et combustion lente. Il faut donc accepter la rupture radicale entre la perception spontanée et la savoir scientifique : Ainsi ce qui est immédiatement valorisé par l’observation naïve est généralement accessoire. La perception immédiate et vulgaire n’est en aucune manière le point de départ, encore moins la

jusqu’à la prolétarisation. 3) La recherche de solutions Les bourgeois étaient divisés sur les moyens de mettre un terme à la dépression. Certains restaient fidèles aux partis traditionnels (Parti radical), d’autres adhérèrent au socialisme ou, plus rarement, au communisme. L’alliance entre les radicaux, les socialistes et les communistes permit la victoire du Front Populaire en 1936. Certains basculèrent à l’extrême droite et adhérèrent à des ligues contestant le régime (anti républicanisme, antiparlementarisme

l’analyse hégélienne : la colonisation, les exterminations qui l’ont accompagnée, l’ethnocide, révèlent que « les autres » ne peuvent survivre qu’à la condition de perdre ce qui les rendait précisément différents. Le refus (ou la crainte) de la différence aboutit à supprimer l’autre en tant que tel, soit physiquement, soit culturellement. Repérer l’autre, sans y reconnaître la dimension particulière que lui confère sa signification comme « autrui », c’est, bien souvent, affirmer son altérité pour

- La raison et la croyance - L’expérience La liberté - La justice et la loi - Le bonheur Repères : Absolu/relatif - Abstrait/concret - Cause/fin - Contingent/nécessaire/possible - En fait/en droit Expliquer/comprendre - Identité/égalité/différence - Légal/légitime - Objectif/subjectif - Obligation/ contrainte - Persuader/convaincre - Principe/conséquence - En théorie/en pratique - Universel/général/particulier/singulier II.2 Auteurs L’étude de textes choisis dans les œuvres des auteurs

de l’Homme ), c’est la faculté des concepts et des principes.   Un concept : c’est une représentation mentale abstraite d'un objet, d'une idée conçue par l'esprit. Nous nous référons à des propriétés communes et nous faisons abstraction aux différences singulières Exemple : Concept d’arbre : un arbre représente tous les arbres. Concept de table : la table exerce une activité et à des propriétés communes telles qu’un plan. ·         Concept Empirique : table, arbre, … ·         Concept Abstrait :

hommes) : ainsi le vieux monsieur bouscule les épiciers «  ​ Le  Vieux Monsieur élégant venant de la gauche…se précipite…les  bouscule » ​ p.24.  différents éléments recouvrent une ​ dimension  de répétitions qui rythment la scène (on pourra  ici reprendre l'analyse de Bergson  ● ● comique​ , notamment  par  le mécanisme    i  pour lequel l'une des sources du comique est «  ​ de la mécanique  plaquée sur du  vivant ​ »,  in ​ Le Rire) ​ et par le  jeu des réactions simultanées (p. 26 : répétition de « Ca  alors ! »)

cette partie du programme. Il ne s'agit donc pas d'un retour complet au programme de 1840, même si les tenants de la nouvelle tendance philosophique ont pu faire alliance avec la tendance plus conservatrice. La partie morale laisse apparaître deux différences : d'une part, l'opposition entre "morale théorique et morale pratique", d'autre part l'introduction des "devoirs envers Dieu", posés à côté d'autres devoirs "les semblables, la famille, la société, l'État". On peut avancer l'idée que l'influence

d’interroger et de qualifier les formes de temporalité générées par les nouvelles technologies. Dans ce contexte, nous chercherons à éclairer le phénomène du temps et de la mémoire électronique en le mettant à l’épreuve de théories philosophiques (Bergson, Deleuze, Hans Ulrich Reck) susceptibles d’enrichir l’appréhension de ce phénomène complexe. De plus, l’hypothèse d’une analogie entre la mémoire humaine et la mémoire artificielle sera explorée afin de mieux cerner les processus mnésiques communs

apories . Il est difficile de dépasser une certaine vision simple selon laquelle l'écrivain est devant un réel, un univers stable, cohérent et déchiffrable, transposable directement en mots. Il y a, faut-il le rappeler, une solution de continuité radicale entre réel et écriture, entre réalité et imaginaire. Solution de continuité ne veut pas dire opposition ni rapport. L'imaginaire est ce qui donne forme, contenu et expression au réel. La proposition est loin d'être aussi évidente que certains veulent