Bétyle

biographie du prophète Doc2 : La Mecque, carrefour de grandes routes commerciales Les moines bédouins des déserts d’Arabie avaient une religion ; chaque clan, chaque tribu avait ses dieux. Ils se réunissaient autour de pierres et de rochers appelés bétyles près desquels on faisait des sacrifices, et qui représentaient les habitations ou les autels des dieux. On adorait essentiellement la lune ou la planète Vénus. Le sanctuaire de la Ka’ba, à la Mecque, était fréquenté par tous les Arabes. Il enfermait

est une divinité acceptée à Rome sous l'empereur Claude et constitua l'un des plus importants cultes à mystères  de l'Empire romain. Le culte de la Grande Mère des dieux, déesse de l’Ida, fut reçu officiellement à Rome vers 205 av. J.-C. quand le bétyle noir (aérolithe) symbolisant la déesse, fut transporté de Pessinonte à Rome en grande pompe et installée sur le Palatin. Auguste, pourtant hostile aux cultes orientaux, manifesta son attachement au culte de Cybèle dont il fit reconstruire le temple

spirituel, d'ailleurs, bien plutôt que centre géographique »1. Ainsi, l'Omphalos du temple de Delphes représentait le centre spirituel de la Grèce antique2. La représentation de l'Omphalos était généralement une pierre sacrée, ce qu'on appelle souvent un bétyle. http://fr.wikipedia.org/wiki/Omphalos Le sanctuaire panhellénique de Delphes où parlait l'oracle d'Apollon abritait l'Omphalos, « nombril du monde ». En harmonie avec une nature superbe, investie d'une signification sacrée, il était au VIe

Chroniques, 1,7). « Lorsque Salomon eut achevé de bâtir le temple de Yahvé... Yahvé lui apparut en songe une seconde fois comme il était apparu à Gabaôn » (1, Rois 9,2). De même, Jacob ayant passé à Bethel la nuit la tête appuyée sur une pierre sacrée ou bétyle, eut son rêve de l’échelle (Genèse, XXVIII, 10), etc. 8. Les Romains. Les Romains ont toujours été intrigués par les rêves dont parlent Cicéron ou Lucrèce. Mais c’est Saint Augustin qui dans une lettre de l’an 415 raconte le long rêve d’un médecin

population de nomades pratiquant l’élevage, les bédouins. On y avait aussi un peuplement de sédentaires vivant de la culture de dattes mais aussi de commerçants. Avant l’Islam, les arabes étaient polythéistes. Ils adoraient des « pierres sacrées » (bétyles) dont plus de 300 étaient regroupées autour et dans la Kaaba, alors véritable panthéon. Chaque année, ils y organisaient un pèlerinage qui était aussi une grande foire commerciale. Avant l’arrivée de l’Islam, les arabes étaient organisés en tribus

sacrés, qui sont à l’origine des fléaux naturels ou de la folie des hommes ; elles vénèrent aussi des dieux particuliers, l’ancêtre animal de chaque groupe. La tribu nomade a ses propres totems et transporte avec elle sa pierre sacrée, le bétyle dressé sur un chameau dont chaque chef tient tour à tour la bride. Les Chrétiens, la plupart nestoriens ou monophysites sont peu nombreux, sauf dans l’oasis de Nadjra, oasis dans le Sud. Les Juifs eux, forment des communautés beaucoup plus

8-12. (3) Schmidt, Cagnat et Dessau, Inscriptionum Mauritaniae latinarum supplementum, Berlin, 1904, in-fol., p. 2028. RECHERCHES SUR LA RELIGION DES BERBÈRES 21 S. Augustin (Ép. XVII, 2). Priscien (VII, 313) donnait le nom d’Abbadia au bétyle avalé par Saturne. Mais quel que soit le sens donné à Iddir, il ne parait pas qu’on puisse en faire un dieu suprême de l’Afrique septentrionale. Peut-être s’était-il produit, sous l’influence romaine et à son imitation, un mouvement qui dégagea un

appelée également la déesse Cybèle ou Mère de l’Ida (elle vient des côtes de la Turquie actuelle : La Phrygie. Le moNt Ida est une colline qui domine la cité de Troie). Les romains vont aller chercher cette déesse. Elle apparait sous la forme d’une betyle (pierre noire dans un sanctuaire en Phrygie, ramenée à Rome). Elle est disposée dans le temple de Victoria (victoire) en attendant de lui construire un temple. Economie : monétaire, financier… Cout financier important : conséquences notamment

l’habitat. La ‘Cabane des Réunions’, la plus vaste de tout le complexe, a probablement servi pour l’autorité qui gérait la vie publique (politique et religieuse) de la communauté ; elle contient des niches, des banquettes, une base circulaire près d’un bétyle tronconique et un siège en grès. L’habitat présente trois phases : 1 : 15-10ème s., 2 : 9ème s.; 3 : 9-8ème s., alors abandonné. ♦ Un des complexes nuragiques le plus imposant est celui de Su Nuraxi à Barumini [004148], composé d’une forteresse quadrilobée

bien sûr, juifs et témoins de Jéhovah, orthodoxes et anglicans, méthodistes et presbytériens, le catalogue ne connaît pas de fin... Les uns adorent les pierres – des tribus les plus primitives aux musulmans d’aujourd’hui tournant autour du bétyle de la Ka’aba –, d’autres la lune ou le soleil, certains un Dieu invisible, impossible à représenter sous peine d’idolâtrie, ou encore une figure anthropomorphe – blanche, mâle, aryenne évidemment... –, tel voit Dieu partout, en panthéiste accompli