Bicorne

 le personnage venait de la comedie italienne, il formait un couple avec  Colombine, que Marivaux utilise dans une seul piece (La Surprise de l’amour). Arlequin  est un type theatral, bondissant, acrobate meme, amateur de femmes et de vin, revetu  de son habit multicolore, coiffé d’un bicorne et voué a l’improvisation, aux plaisanteries  et souvent a la critique. Marivaux a conservé quelques­uns de ces traits, mais il a  adapté le personnage à la scène francaise.  3  8 scènes, 107 repliques      Trivelin est un personnage présent dans quatre des oeuvres de Marivaux :​

le chuintement de la vapeur, les cris des cormorans... Épaules rentrées, tête baissée, front plissé, ils font déjà le dos rond pour amortir les coups alors que les douaniers n'ont pas encore sorti leurs bâtons... Un froncement de sourcils sous le bicorne, et ils portent la main à leurs hauts-de-chausses où sont dissimulés vos trésors. Pas un mot n'a été prononcé, et pourtant tout est dit. Je vous avais mis en garde, on ne transforme pas du jour au lendemain des négociants en contrebandiers... Une

Versailles (inventaire MV 8550). Description[modifier | modifier le code] Les cinq versions du tableau sont de grande taille et de dimensions proches (2,6 sur 2,2 mètres). Y figure Bonaparte sur un cheval, en uniforme de général en chef, coiffé d’un bicorne galonné d’or, armé d’un sabre à la mamelouk et drapé d’un manteau gonflé par le vent qui s’engouffre dans ses plis. De sa main gauche, il agrippe la bride qui maîtrise sa monture en train de se cabrer. Tout en se tournant vers le spectateur, il indique

dot importante. * Sans son nez, le major Koliakov se sent vexé...mais au fond tout le nargue : * Les événements sont contre lui et l'obligent , sans son nez , à marcher à pied * Son nez le nargue est portant un uniforme et un bicorne de conseiller d'Etat, en roulant en calèche * Les mendiantes du Gostinny Dvor ont le nez caché par des bandeaux sur le visage * Et le nez dissimule son visage ! (« Le nez dissimulait son visage derrière son haut col » p.93)

Arrière plan: tenture en couleur du drapeau tricolore (bleu, blanc, rouge) avec l'écrite « Liberté et Ordre ». Objets: Main de la justice, charte de 1830,sceptre, couronne,épée, tenu de parade militaire de l'époque Napoléonienne (avec le chapeau: le bicorne) et la légion d'honneur. Personnage: Louis-Philippe Ier Louis-Philippe laisse un message dans son tableau en ne prenant pas le sceptre et le laisse de coté contrairement à son homologue Louis XVI mais prend la charte de 1830 et l'épée. Ce sera

qu'il a pris sur des cadavres de soldats du Roi car il n'est pas sensé en posséder. Il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Arrière-plan : Paris Au fond, les étudiants, dont le polytechnicien au bicorne bonapartiste. On voit aussi le paysage, les tours de Notre-Dame de Paris, symbole de la liberté et du romantisme comme chez Victor Hugo. Eugène Delacroix a signé son œuvre en rouge en utilisant un diminutif de son prénom : « Eug Delacroix »,

araignée géant du Japon - Macrocheira kaempferi[2] Crabe araignée du Panama - Maiopsis panamensis[2] Crabe araignée velours - Stenocionops ovata[2] Crabe balleresse - Callinectes rathbunae[2] Crabe à Barbe[réf. nécessaire] - Ucides cordatus Crabe bicorne - Callinectes amnicola[2] Crabe bleu - Callinectes sapidus[2] Crabe boxeur[réf. nécessaire] - Lybia tessellata Crabe caillou africain - Panopeus africanus[2] Crabe caillou guinéen - Menippe nodifrons[2] Crabe caillou noir - Menippe mercenaria[2]

blanc, rappel du drapeau tricolore. A l’arrière plan , les tours de Notre-Dame situent la scène a Paris. La lumière du soleil couchant se mêle a la fumée des canons. Sur la gauche, on aperçoit un étudiant de polytechnique reconnaissable à son bicorne bonapartiste et à l'extrême droite, au bas des immeubles, on devine un détachement de grenadiers. Le tableau est organisé selon une structure en pyramide, la base se forme grâce a l'alignement des cadavres, et remonte au sommet du tableau, le drapeau

Un homme portant un chapeau haut de forme, sûrement un bourgeois ou peut-être Delacroix lui-même. Il porte un pantalon large et une ceinture rouge (rappelle au couleur du drapeau). Il a une arme à la main. On aperçoit derrière lui le bicorne d’un polytechnicien. Cet homme est un ouvrier, on le reconnait grâce à son tablier de travail. Il brandit un sabre. A l’arrière-plan, les tours de Notre-Dame situent la scène à Paris. On distingue la lumière du soleil couchant se mêlant la fumée

l'assaut final, la foule converge vers les spectateurs. Dans ce mouvement on perçoit le souffle de la peinture romantique. Le peuple est largement représenté : ouvrier, artisan, paysan, jeunesse...et même un étudiant polytechnicien au chapeau bicorne en arrière plan (rappel aussi de l'époque napoléonienne sujet de nostalgie pour Delacroix) Les tours de la cathédrale Notre Dame (bien que mal orientée) permettent de placer l'action à Paris. Le personnage central reste cette figure allégorique