Bidonville

urbaine augmente plus vite que les capacités d'accueil et les constructions d'infrastructures. La pauvreté est alors de plus en plus présente, la moitié de la population vit dans des conditions de pauvreté extrême. On voit de plus en plus de bidonvilles, et même aux pieds d'immeubles géants, faute d'équipements, de logements décents et du manque de travail. L'extension de la ville se fait parfois au détriment des réserves naturelles, défrichages de forêts, pollution de l'eau à cause des activités

groupe à l'autre, il regarde et il écoute. Il apporte au cœur de l'exil sa ferveur et son espérance. Peu à peu, les cortèges arrivent de plus en plus nombreux dans la vallée de Saguiet el Hamra. Les campements s'étendent, comme feront plus tard les bidonvilles autour des métropoles. Les hommes sont pleins de colère, ils veulent entreprendre derrière leur cheikh une guerre sainte contre l'envahisseur. Ils ont « le regard vide et brillant de fièvre et de folie ». En face d'eux, Nour fait l'apprentissage

des minorités ethniques du sud du pays. Similairement, pendant queles franais et autres européens  occupaient les villes et les meilleuresterres, disposaient d'écoles, de routes et de services publics efficaces,l'Algérie musulmane habitait les bidonvilles  et devaient se satisfairedes moins bonnes terres ainsi que de pires emplois au service de leurscolonisateurs. Nous savons ceci d'après les faits historiques, mais il estaussi vrais que certains colons traitèrent leurs ouvriers algériens dignementet

voir tous ainsi provoque en tout personnage doté d’une once d’humanité un pincement au cœur, qui va jusqu’à vous saisir à la gorge pour que les larmes vous montent aux yeux. Peut être ne vous baladez-vous pas souvent dans les quartiers peuplés de bidonville à l’Ouest de la ville. Ou peut-être, au contraire vous baladez vous très fréquemment dans ces endroits et n’avez-vous plus conscience de ce qui se passe autour de vous, pour que les faits pour paraissent normaux. Mais, il est tout de même étrange

  de   rien   cependant   nous   ne   pouvons   dire   qu’elle   soit     merveilleuse.   Les   conditions   de   vie   ne   sont   pas   très   différentes   des   autres   bidonvilles   et   la   crise   économique   et   la   situation   actuelle   du   Pérou   ne   fait   qu’accentué  les  conflits  et  la  pauvreté.   (1)    «  Villa  el  Salvador

vivant sous le seuil de pauvreté. [pic] Les personnes du quart monde se situent donc dans les pays développé en verre. Le pays le plus touché est les Etats-Unis. Le mouvement Aide à Toute Détresse qu'il avait créé en 1957 avec des familles du bidonville de Noisy-le-Grand et de quelques amis est devenu en 1966 le mouvement ATD Quart Monde. Lorsque, plus tard, vint le mot exclusion, on entendit de moins en moins parler de Quart-monde. Mais l’association continue d’en porter le nom à la mémoire

handicapées et à mobilité réduite. Alors que les fermes urbaines peuvent offrir aux citoyens français des aliments frais et nutritifs, à l'autre bout du monde des citadins innovants utilisent également l'agriculture urbaine. A Kibera, le plus grand bidonville de Nairobi, au Kenya, plus de 1 000 agriculteurs, la plupart des femmes, ont commencé à cultiver des légumes hors du sol avec des sacs rempli de terre. Ces jardins verticaux à Kibera sont un exemple de réussite durable et d'innovations agricoles

population totale. Cette très forte croissance est appelée explosion urbaine pour souligner l’aspect rapide et massif du phénomène. De ce fait, cela pose de graves problèmes que les municipalités n’arrivent pas à résoudre : logement (développement des bidonvilles), insécurité, manque d’équipements (de santé, scolaires...). L’explosion urbaine crée également des déséquilibres à l’échelle du pays, entre les villes et les campagnes, ou entre les villes elles-mêmes. L’urbanisation constitue un enjeu majeur

plus d’un million d’habitants. Pourquoi ces villes enflent-elles à une telle allure ? La question mérite d’être posée, tant un rapide survol de la plupart de ces mégapoles donne le frisson : autour d’un centre-ville saturé, des kilomètres de bidonvilles, de baraquements insalubres où des habitants sous-alimentés errent à la recherche de maigres moyens de subsistances, telles sont ces villes-champignons qui produisent chaque jour des milliards de tonnes de déchets et nourrissent, si l’on peut dire

villes. Comme il n'y | |a pas de logements disponibles, cette poulation rurale est obligée de s'installer dans des camps de fortune ... dans des bidonvilles,| |où les conditions de vie sont épouvantables; peut-être un seul robinet d'eau potable, pas d'installations sanitaires, pas de système | |d'évacuation des eaux. En raison de tout cela, ces bidonvilles que l'on trouve souvent aux lisières des villes deviennent souvent des| |foyers d'épidémie.