Bidonville

guide de ce livre serait que la pénurie est la base de l’innovation sociale et technique. « C’est la société du monde pauvre qui invente l’architecture de survie » p. 15 L’auteur dit lui-même que son intention n’était pas d’idéaliser le pauvre ou le bidonville mais plutôt de parler de rationnement. Pourtant dans le livre, il donne en modèle le pauvre et son ingéniosité. Il met alors en relation l’architecte et l’habitant en définissant tout d’abord leurs rôles actuels : l’architecte est un

La gone du chaaba est un roman autobiographique d’Azouz begag . Le Chaâba, c'est un bidonville sur les rives du Rhône, entre Villeurbanne et Lyon. Azouz est un enfant d'origine algérienne, mais aussi un « gone », c'est-à-dire un gamin de Lyon. Il vit au Chaâba avec sa famille, sa grande sœur Zohra et son grand frère Moustaf. Il y a aussi sa mère, Massaouda, et son père, Bouzid, le maître du Chaâba. C'est lui qui a fait venir d'autres familles d’El-Ouricia, près de Sétif en Algérie, dont celle de

Mc Enroe. A travers le film, en observant son comportement, on se demande si Gonzalo est vraiment à l’aise dans cette vie, dans ce milieu. Il se lie d’amitié avec Pedro Machuca, enfant des bidonvilles, qui est intégré dans son collège. A partir de là il se lance un défi intégrer les enfants des bidonvilles, montrer et encourager la tolérance et le respect entre les deux milieux sociaux. Bien que cette idée soir mal vu par son entourage il résiste et continue de jouer et de se rapprocher de Pedro

européens, venant essentiellement de Roumanie et de Bulgarie. Depuis une dizaine d’années, ce nombre est stable. Parmi tous les Roms présents en France, seuls les plus pauvres d’entre eux sont les plus visibles car vivant dans des squats et bidonvilles. Depuis 2010, l’État multiplie les discours stigmatisant à l’égard de ces  citoyens européens au point d’en faire les boucs émissaires d’une politique sécuritaire. 2 1 Rapport Les Roms, boucs-émissaires d’une politique sécuritaire qui cible

espaces agricoles déserts (manque d’eauaridité) Delta du Nil (Zones marécageuses ac risques de crues) et Zones archéologiques à protéger pour patrimoine mondial. Pour faire face à pop°Surélever maison + bidonvilles sur toits des maisons + Villes nouvelles autour du Caire pour remplacer bidonvilles résultat mitigé pas atteintseules villes proches Du Caire succès problème de transport. B- Les difficultés liées à la croissance urbaine Pollut° atmosphériqueGrande circulat° mais pas assez d’infrastructure

Mission du groupe: Mise en œuvre de la politique de l’Etat dans le secteur de l’habitat soit promotion de l’habitat social, réduction de la pression démographique, résorption des bidonvilles, de l’habitat insalubre et du déficit de logement ; à ce titre, participation active au programme national « villes sans bidonvilles (VSB) », Construction, aménagement et lotissement à ces fins, création de villes nouvelles et de zones nouvelles d’urbanisation. Partenaires économiques et techniques nationaux :

slums Les bidonvilles sont constitués de matériaux comme les tissus, les bâches… Ils sont bâtis dans des espaces délaissés par l’urbanisation traditionnelle (décharges, terrains vagues...), le plus souvent le long des axes. Les bidonvilles sont entassés. La gestion du problème Pour gérer ce problème, plusieurs solutions ont étés exploitées : _ Le blocage des loyers (mais plus d’investissement) _ Création de New Bombay, un nouveau centre _ Moyens de réhabilitation des bidonvilles avec maintien

est une grande puissance du Sud mais son développement difficile (inflation, endettement) est incomplet, les contrastes de développement étant très nombreux. On évoque un « mal développement ». Les zones de « mal développement » comme les bidonvilles échappent parfois totalement au contrôle des autorités. Dans les quartiers où le sous-emploi est massif (A Paraisonopolis, deuxième favela de Sao Paulo, 20% des habitants sont au chômage. Les sources de revenus proviennent du secteur informel, en

travails, ou d’emplois dans des ‘sweat shops’, qui le plus souvent revendent directement aux grands groupes, ce qui fait qu’ils ne produisent pas de richesse pour Bombay B. Le problème des bidonvilles - plus de la moitié de la population, soit environ 9M d’habitants, vit dans des bidonvilles - ceux-ci ne correspondent pas à une zone précise d’habitat en matériaux de récupération, mais s’infiltrent et s’étendent dans la ville entière, envahissant trottoirs, jardins, espaces publics

souffre d'un manque d'eau. On observe, au premier plan, un bidonville et, au second plan, un quartier avec des immeubles modernes. Le bidonville s'est constitué suite à une forte concentration de population dans les villes. Les plus pauvres vont alors dans une proche banlieue et construisent des habitats informels dans lesquels ils vont vivre. Ce sont donc souvent les habitants de la campagnes qui contruisent des bidonvilles. Les différentes infrastructures apparaissent dans les habitats