Bilharziose

des molécules chimiques toxiques, soit des micro-organismes (vers intestinaux, virus, bactéries, protozoaires). Dans les établissements pénitentiaires, les maladies hydriques fréquentes sont : le choléra, la dysenterie, la fièvre typhoïde, la bilharziose (toutes ces maladies sont liées essentiellement aux micro-organismes) et le goître qui favorise l'hyperthyroïdie due à l'absence d'iode dans l'eau. Les diarrhées aigües sont presque toujours d'origine infectieuse. De plus, les fèces humaines

inflammatoire inexpliqué… Le diagnostic est le plus souvent posé par l’échographie et l’uroscanner qui vont apporter des détails concernant la nature, la taille, le siège les rapports de la tumeur. 7. autres : Glomérulonéphrite aigue. Bilharziose rénale. VIII. Prise en charge thérapeutique : 1. Buts : - Eradiquer les foyers infectieux ; - Préserver le mieux possible le rein/la fonction rénale par le traitement le moins agressif ; - Eviter les complications et les récidives ; -

la dysenterie. les virus (hépatite infectieuse, ...). les kystes (Giardia...) les parasites qui sont à l'origine de fièvres, diarrhée et entraînant des complications si l'infection n'est pas traitée rapidement. les vers parasites causant la bilharziose avec pour symptômes douleurs abdominales, éruptions cutanées, anémie, fatigue chronique. Ce sont les larves (nageant à la surface des eaux infestées) qui sont à l'origine de l'infection, elles peuvent aussi s'introduire par voie cutanée lors de

après plus de 2 décennies d'efforts dans la lutte contre cette maladie (c'est la première maladie de l’histoire à avoir été éradiquée par un effort humain). L’OMS est proche du succès dans le développement de vaccins contre le paludisme et la bilharziose, et a pour but d’éradiquer la poliomyélite dans les prochaines années. * Assistance aux PMA (Pays les moins avancés) : vaccination contre les grandes maladies infectieuses, approvisionnement en eau potable, élimination des déchets, protection

135 137 138 9. Programme National de Lutte Contre les Maladies Parasitaires • Répartition des examens et des cas de paludisme, de bilharziose et de leishmaniose par province préfecture………....……………….……………………………………………………………………………………….….….. • Evolution du dépistage du paludisme, période 2003-2011………………………………………………………..….…….. • Evolution du dépistage du bilharziose et de leishmaniose, période 2003-2011………………..………………………… 139 141 141 10. Production des hôpitaux publics • Indicateurs d’activité des

AUTRES PATHOLOGIES NON TUMORALES ............................................................................65 II.11.1.Mucoviscidose : suivi ............................................................................................65 II.11.2.Bilharziose compliquée : bilan initial......................................................................66 II.11.3.Conclusion pour les autres pathologies non tumorales .........................................66 II.12. PATHOLOGIES TUMORALES ...........

mains souillées (par les déjections) ou par les aliments crus et l'eau de boisson. Le médicament prescrit est le métronidazole, à prendre pendant les repas et en évitant la consommation d'alcool au cours du traitement. les anti-bilharziens : La bilharziose est une maladie parasitaire. La contamination se fait par pénétration du parasite à travers la peau de l'homme lors de baignades dans des eaux stagnantes. Les œufs du parasite sont éliminés dans les urines ou les selles, qui recontaminent alors

-Perturbation des activités agricoles ; -Existence des contrefacteurs d’or ; -Gaspillage d’argent effectué par des certains exploitants. SANTE ET SECURITE -Risques accrus d’accidents ; -Risque de maladie : respiratoire à cause des poussières ; bilharziose. -Risque d’emprisonnement III.6.2 Analyse des impacts III.6.2.1.Impacts sur les milieux biologiques a) Sur la flore Suite à la préparation des carrières et les infrastructures, les végétations sur les sites sont défrichées

eau permanente des terres agricoles a provoqué la prolifération de maladies graves comme les épidémies de paludisme, d’onchocercose (cécité des rivières) ou de bilharziose.[18] Ces catastrophes sanitaires ne sont pas nouvelles, et la première remonte à la construction du barrage d’Assouan en 1902, qui a provoqué une expansion de la bilharziose chez les riverains du barrage, entre 1934 et 1937, (progression du taux de 10 % à 70 %), puis une épidémie de paludisme en 1942-1943 faisant 130 000 morts. Pour

obligatoire laisse apparaitre deux grandes tendances : Une tendance vers la diminution voire même l’élimination pour certaines maladies cibles de la vaccination, la typhoïde, le trachome et la bilharziose par exemple. Fig.10: Morbidité en baisse 12 000 Rougeole 10 000 8 000 Coqueluche 6 000 Bilharziose 4 000 Typhoide 2 000 Hépatite Virale Trachome 0 2 001 2 002 2 003 2 004 2 005 2 006 2 007 2 008 2 009 2 010 Source : Ministère de la santé Les cas ayant connu les diminutions