Bilharziose

au chlorure de vinyle Hémochromatose Contraceptifs oraux Troubles métaboliques Infection à l'Opisthorchis viverrini Cholangite sclérosante primitive Stéatohépatite non alcoolique Obésité Exposition professionnelle au plutonium Diabète Bilharziose Infection au Clonorchissinensis Arsenic Exposition au trichloroéthylène Exposition aux diphényles polychlorés Chique de bétel *Les facteurs de risque sont habituellement classés du plus significatif au moins significatif. Dans la plupart

déterminer la liste des priorités de recherches. - offrir des moyens techniques a chaque pays en besoin. Ses actions : L’OMS prend des mesures pour arrêter les épidémies elle développe de nombreux vaccins notamment contre le paludisme et la bilharziose. Elle vise à ce que tous les pays vivent dans un environnement durable pour améliorer la qualité de vie (eau, l’air). De plus, elle veut combattre les maladies auxquels les travailleurs sont exposés, les familles mais aussi les enfants pour qu’ils

hydrique et chimique (saline). L’eau n’a pas que des effets bénéfiques mais est aussi transporteur de polluants et pathogènes et vecteur de grands fléaux comme le paludisme, la diarrhée (2 e maladie la plus meurtrière chez les enfants), la bilharziose et la schistosomiase. L’eau salubre et la mise à disposition de toilettes réduisent la mortalité infantile. À la campagne, l’eau pour la consommation humaine est stockée dans des canaris, favorisant le développement de certaines maladies hydriques

cycle comportant une phase aquatique obligatoire (water based) Ce sont des parasitoses pour lesquelles un hôte intermédiaire vivant dans l'eau est nécessaire pour la maturation du parasite. Cet hôte intermédiaire peut être un mollusque pour la bilharziose, un poisson pour le bothriocéphale ou par un petit crustacé pour le ver de Guinée. Maladies liées à l'eau 1. Infection dont l'agent est véhiculé passivement par l'eau, liée à la qualité de l'eau (Water borne). - Salmonelles, choléra, amibes

récolte mécanique doit alors être envisagée, bien que cela minimise la création d’emplois et nécessite des investissements importants. La récolte manuelle immergée dans l’eau pourrait aussi poser des problè-mes de santé, et plus particulièrement de Bilharziose. Figure 1: véhicule amphibie Pour la récolte mécanique il y des véhicules amphi-bies ou des bateaux aptes à l’exploitation du typha. Ce type de véhicule est composé d’une plate-forme de travail portée par 4 ou 6 roues à pneus ballons basse pression

et des zones d’humidité se déclenchent. La mousson déconnecte tous les systèmes d’assainissement de l’eau. Développement de nombreuses maladies : le choléra, le paludisme (pandémie des zones intertropicales transmises par les moustiques), la bilharziose (maladie parasitaire), et l’onchocercose (« cécité des rivières »). 7 millions de morts par an dans l’ensemble du monde. III. La gestion nécessaire et ses difficultés L’eau pour être utilisée doit être gérée. 1) Usages de l’eau et

(infection chronique de la peau par un bacille) concerne encore des millions de gens. L’eau non potable transmet de nombreuses maladies mortelles dont le choléra (selles très fréquentes, vomissements, crampes, déshydratation jusqu’à la mort) ou la bilharziose (petit vers qui se reproduit dans l’appareil circulatoire). Toutes ces maladies tuent ou handicapent des millions de personnes alors que les remèdes existent. 2 II) Au Nord dominent les maladies cardio-vasculaires et dégénératives Elles

se vers ce qui va provoquer une réaction auto-immune ce qui peut conduire à la cécité. 2) Plathelminthes parasites a) Parasitisme chez les trématodes Les trématodes sont des Schistosomes et des Douves. Les schistosomes provoquent la bilharziose (gonflement de la rate). La plus part des douves sont des douves du foie la petite douve du foie et la grande douve du foie. Exemple La grande douve du foie : C’est un cycle à 2 hôtes, un intermédiaire et un définitif. Le définitif sont

produits et la nature) la santé et le bien-être des populations quand elles ne sont pas gérées adéquatement. • L’eau stagnante des systèmes de retenue peut favoriser la prolifération de vecteurs de maladies hydriques comme le paludisme et la bilharziose entraînant des coûts sanitaires et économiques aux populations déjà pauvres ; • Les déchets des infrastructures sanitaires sont des sources potentielles d’infections et donc de maladies notamment quand les enfants des villages s’y amusent ou

tumeur ou lithiase urinaire) ; maladie responsable d'une vidange incomplète de la vessie par obstruction des voies urinaires (adénome ou cancer de la prostate, rétrécissement de l'urètre) ; maladie entraînant une réduction de la capacité vésicale (bilharziose, tuberculose vésicale, etc.). Suivant les caractéristiques chronologiques de son apparition, on parle de pollakiurie diurne, nocturne ou permanente. Elle peut être de gravité variable ; dans les cas les plus graves, le sujet doit uriner toutes les