Billet de banque

et un savoir-faire uniques au Maroc dans les domaines de la conception des billets de banque et des documents sécurisés, l’impression de sécurité, la frappe des pièces de monnaie, le traitement et le conditionnement de la monnaie fiduciaire et le transport des fonds. La direction de Dar As-Sikkah contient plusieurs services de production, et parmi ces services on trouve un service de production des billets de banque. Ce service est équipé par des machines d’impression, de découpe, de contrôle

LES BANQUES Les banques sont les établissements ou entreprises qui font profession habituelle de recevoir du public, sous différentes formes, des fonds qu'ils emploient ensuite pour leur propre compte, en opérations d'escompte, en opérations de crédit ou en opérations financières. Les banques jouent donc le rôle d'intermédiaire entre les détenteurs de capitaux et les personnes qui ont besoin de fonds. Les ressources des banques proviennent de leurs capitaux propres et des fonds déposés par

n’est donc pas obligé de la dépenser immédiatement. Enfin la monnaie est un instrument de mesure de la valeur, il s’agit de sa fonction d’unité de compte. Il existe plusieurs formes de la monnaie comme la monnaie fiduciaire qui correspond aux billets de banque et aux pièces, la monnaie scripturale qui correspond aux monnaies immatérielles et la monnaie métallique qui correspond aux pièces métalliques. La masse monétaire ne constitue pas d’une quantité fixe. Elle représente la quantité de monnaie en

pourtant, la monnaie s'est dématérialisée, prenant la forme de reçus sur papier émis et gérés par les banques (la Chine a inventé une forme de papier-monnaie au ixe siècle, près de cinq cents ans avant l'Occident). Ces reçus étaient parfois appelés « lettres de change ». Un particulier, par exemple, pouvait déposer des pièces d'or dans une banque, obtenir des reçus signés signifiant que cette banque détenait bien à ce nom un certain poids d'or. Ainsi, le commerçant payé par un tel reçu savait qu'il

à l’expédition, hypothèse qui ne concerne que des transactions faibles envergure. Quels sont donc les techniques de paiement pratiqués par les banques centrales ?telle est la question que nous allons examiner tout au long de ce dossier. DEVELOPPEMENT I- NOTION DES MOYENS DE PAIEMENT Notion des espèces numéraires (les pièces et les billets de banque). Pour satisfaire ces besoins, un agent économique doit pouvoir se procurer les biens ou les services qui ne produisent pas lui-même, donc les espèces

catégories de liquidités : Les liquidités primaires : ce sont les actifs parfaitement liquides (on peut les récupérer tout de suite et acheter qqchose avec) Ce sont : la monnaie divisionnaire : les pièces de monnaie, la monnaie fiduciaire : les billets et la monnaie scripturale : CB et virements. Les liquidités secondaires : ce sont les actifs qui ne sont pas immédiatement liquides mais qui peuvent être rapidement liquides, sans risque de perte de capital, ex : épargne liquide (à court terme)

et ceux du Currency school. Malgré l’espèce d’évidence selon laquelle « les crédits font les dépôts », il y a encore ici ou là, des auteurs, des commentateurs qui énoncent l’inverse. Une banque, lit-on dans un article, ne peut pas prêter au-delà des dépôts qu’elle a reçus du public. Ou encore, les banques disposent de l’argent de leurs clients pour leurs opérations de crédit. Etc.… Reconnaissons qu’énoncer aussi simplement que ce sont les crédits qui font les dépôts et non pas l’inverse,

Règlements Banque d’Algérie 1990-1994 ( Volume I ). 39 4 – Règlements Banque d’Algérie 1995 ( Volume II ). 114 5 – Règlements Banque d’Algérie 1996 ( Volume III ). 127 6 – Règlements Banque d’Algérie 1997 ( Volume IV ). 142 7 – Règlements Banque d’Algérie 1998 ( Volume V ). 158 8 – Règlements Banque d’Algérie 1999 ( Volume VI ) –NEANT-. 165 9 – Règlements Banque d’Algérie 2000 ( Volume VII ) Non Complétés sur site Web. 165 III - LES INSTRUCTIONS ET NOTES AUX BANQUES. 170

toujours une créance de somme d’argent. Ils doivent donner droit à la perception d’une somme d’argent. Certains titres donnent la possibilité au porteur d’exiger la remise d’un objet et non sa contre valeur en argent. Par exemple, la warrant est un billet à ordre souscrit par un commerçant qui donne en garantie de sa signature des marchandises déposées dans un magasin général ou conservées dans ses entrepôts. Les marchandises déposées donnent lieu à la délivrance d’un récépissé warrant. Mais le récépissé

les chèques de voyage et les billets de banque étrangers qu’ils seront amenés à délivrer à leur clientèle. Art.3.- Les agréés de changes manuel fixent librement les cours d’achat et de vente des monnaies étrangères, à l’exception du franc français qui doit être négocié contre francs CFA à la parité officielle. Ils devront se conformer aux dispositions en vigueur, relatives aux conditions financières d’exécution des opérations de change manuel portant sur les billets francs français et délivrer un