Biofilm

est rendue propre en détruisant la majorité des germes encore présent grâce à l'action d'un désinfectant + ou – suivi d'un rinçage. Dans les établissements de santé ce terme regroupe souvent l'ensemble des opérations d'entretien des locaux. Le Biofilm : C'est une communauté de micro-organismes (bactéries, champignons......) adhérant entres eux, fixée à une surface et caractérisée par la sécrétion d'une matrice adhésive et protectrice. Ils sont naturellement résistants aux antibiotiques et sont

téichoïque, coagulase staphylococcies non suppuratives → différentes toxines: « superantigènes »: leucodine de Panton-Valentine Persistance des staphylocoques: - adhérence aux épithéliums et structures inertes - production exopolysaccharides → biofilm (slime) ASPECTS CLINIQUES LES STAPHYLOCOCCIES SUPPURATIVES STAPYLOCOCCIES CUTANEOMUQUEUSES Impétigo, onyxis et péri onyxis, furoncle, anthrax, orgelet ; sycosis Abcès sous cutanés chauds ou froids Cellulite ou adénite Hidrosadénite :

endommager, les déchets, souillures adhérentes ou non, dans le but de présenter une propreté macroscopique c’est-à-dire VISUELLE. BIO NETTOYAGE : responsable : IDE Nettoyage + application finale d’un désinfectant. Efficace si élimination régulière du biofilm, support de l’adhésion et de la croissance des micro-organismes. ZONE 1 Risques minimes ZONE 2 Risques moyens ZONE 3 Risques sévères ZONE 4 Très hauts risques Halls Bureaux Maison de retraite Résidence pour personnes âgées Salles d’attente Rééducation

protégeant du froid de la chaleur a la dessiccation (déshydratation), aux antibiotiques, antiseptiques, désinfectants. -Le biofilm : c’est une collection de microorganismes (vivant ou mort) et de leurs produits extracellulaires liés à une surface solide (vivante ou inanimée). C’est sous cette forme de biofilm qu’on les retrouve la majorité du temps. La formation du biofilm se fait en trois étapes : adhésion (formes végétatives, consolidation (forme adhérente), maturation-érosion (matrice exo polymérique…)

à l’infection une exceptionnelle résistance à l’antibiothérapie [2-4], notamment l’organisation d’un biofilm adhérent à l’implant contenant le "slime". Cette véritable matrice facilite l’adhérence bactérienne mais augmente également la résistance des microorganismes aux défenses de l’hôte par plusieurs phénomènes. Par ailleurs, la faible activité métabolique des bactéries à l’intérieur du biofilm (croissance ralentie) entraîne une diminution de l’activité bactéricide des antibiotiques. sence de

l'organisme à partir d'une analyse des différentes sources de pollution de l'air. Végétaux : La pluie acide est le phénomène le plus souvent évoqué, mais il se combine avec l'exposition aux embruns routiers salés, aux embruns marins pollués (cf. biofilm) et aux apports par l'air et les pluies d'autres polluants dont des désherbants, fongicides ou insecticides transportés par l'air puis lessivés par les pluies ou directement absorbés dans les cuticules cireuses. Ces polluants affectent les plantes

CONTAMINATION : processus entrainant la présence de micro-organismes sur le matériel ou la personne sans provoquer de signes cliniques ou biologiques. BIODEGRADABLE : Qui se dégrade naturellement en milieu acqueux grâce à des micr-organismes. BIOFILM : Ensemble de micro-organismes, adhérant entre eux par une substance qu'ils sécrètent, qui se fixe sur un support solide placé dans un milieu liquide (=milieu acqueux). Ex : app. d'hémodialyse, lumière des endoscopes VOCABULAIRE INFECTIEUX APYROGENE

minutes pour garantir un temps d’action efficace et complet. Je procède à un essuyage humide des surfaces, qui consiste à enlever des salissures (afin d’éviter la constitution d’un bio-film) en évitant de les remettre en suspension dans l’air. Un biofilm est une communauté de microorganismes, adhérant entre eux et à une surface. Avec une chiffonnette à usage unique (une par chambre) imprégnée de détergent-désinfectant (Bactilysine), j’essuie en un seul passage toutes les surfaces du plus haut au

(muqueuses et biomatériaux) • ubiquitaires : mannose, collagène, fibronectine, ganglioside M • spécifiques d ’un tissu ou d ’un organe : – duodénum et jéjunum pour E coli et choléra – iléon pour salmonelle • multiplication : colonisation formation d’un biofilm (biomatériaux) Dr FIACRE pénétration du tissu : est alors une porte d’entrée une invasine bactérienne entre en contact avec son récepteur, une intégrine cellulaire ex : shigella au niveau de la zone de contact, modification du cytosquelette==>

La phase stationnaire Ce n’est pas une mort cellulaire, c’est une condition normale pour les bactéries. Elles vont changer leur métabolisme car un métabolite indispensable est venu à manquer, ou alors il y a sécrétion d’un produit toxique par le biofilm bactérien qui va empecher les bactéries de croitre, ou encore une modification du pH qui va empecher la bactérie de croitre. Elles vont donc devoir résister à un milieu défavorable ! Chez certaines bactéries comme E.coli, la phase stationnaire peut