Biographe

Pianiste souverain et sévère, compositeur tragique, personnage mystérieux, austère, "puritain" diront même les critiques américaines, Rachmaninov, aux yeux d'une de ses biographes françaises, Catherine Poivre d'Arvor, reste essentiellement "un incompris". Le prélude du site constitue une rapide introduction à l'univers de Rachmaninov. Mais pour découvrir plus profondément sa personnalité et celle de sa musique, en somme son esthétique, nous vous proposons six Moments musicaux, des textes personnels

dessina des centaines de planches, fruit de ses dissections clandestines. Léonard de Vinci a consacré une grande partie de ses recherches ( de 1487 à 1516) à l'anatomie. Pourtant, son implication dans ce domaine reste assez peu documentée par les biographes, probablement parce que la pratique de la dissection était entourée d'interdits et de tabous. L'œuvre anatomique parvenue jusqu'à nous comprend une série impressionnante de dessins, soit 228 planches. Dont 215 à la Royal Library de Windsor. Cette

classe Atelier 1 : l’histoire de la découverte des sérums 1/ (RE) ouvre la page suivante dans Internet explorer : http://www.infoscience.fr/histoire/biograph/biograph.php3?Ref=113 2 / (CO) à l’aide des informations de cette page Internet, rédige un court texte (dans l’encadré ci-dessous) résumant l’histoire de la découverte des sérums. |Evaluation :

Phaéstis, était une sage-femme originaire de l'île d'Eubée. Il perdit à 11 ans son père, puis sa mère, et fut élevé par son beau-frère, Proxène d'Atarnée, à Atarnée, en Mysie, où il se lie d'amitié avec Hermias d'Atarnée, futur "tyran" de Mysie.Les biographes (surtout Diogène Laërce) décrivent Aristote avec un défaut : il bégaie ou bien il a un cheveu sur la langue. Il est petit, trapu, avec des jambes grêles, les yeux petits et enfoncés. Chose rare pour l'époque, il n'a pas la barbe. En revanche il

19 août 14 ap. JC Père biologique : Gaius Octavius Père adoptif : Julius Caesar Mère :Atia Balba Caesonia Description: Il mesurait 1,70 m, taille moyenne. Il avait des cheveux de couleur sable et des yeux clairs et pénétrants.De nombreux biographes se plaisent à dire qu'il était beau, et cela jusqu'à ses dernières heures, qu'il rayonnait naturellement et prenait plaisir à voir les gens baisser la tête devant lui. Le visage calme, il possédait une voix tranquille, légèrement aiguë. Il souffrait

anecdotes sélectionnés et relatés par son auteur de manière la plus sincère possible, de son propre point de vue et selon ses propres souvenirs, même imparfaits. Les omissions ou les inexactitudes pourront toujours être débusquées ou corrigées par les biographes ou les historiens par la suite, du moins si les données sont disponibles. Il n’est pas nécessaire dans une autobiographie de tomber dans le misérabilisme ou l’énumération exhaustive des actes manqués ou des omissions d’une vie entière, surtout

façon dont il maniait ses vers, mais parce qu’il faisait rire. Il est reconnu comme le symbole du théâtre français, même si à son époque il était souvent mal vu pour ses écrits satiriques. Sur le choix de ce nom de scène, Grimarest, son premier biographe épaissit le doute : « Jamais il n'en a voulu dire la raison, même à ses meilleurs amis ». Ses principales œuvres : - L'Étourdi - Le Dépit amoureux - Les Précieuses ridicules - Dom Garcie de Navarre - L'École des maris - L'Ecole des femmes - La

nombreux documentaires retracent, au cinéma ou à la télévision, la vie d'une personnalité. La biographie peut également prendre la forme d'une fiction. La forme sonore est également utilisée par des particuliers ; à leur demande, ceux-ci contactent des biographes utilisant la mémoire orale pour constituer l'écriture sonore d'un récit de vie ce sont des biographies sonores. III-Autoportrait L’autoportrait est un sous-genre du portrait. Faire un autoportrait c’est se représenter soi-même, de face, de profile

une heure[1]. » « Molière a réussi, Il est riche, fêté, adulé, contesté. Il est malade. Il meurt jeune, quasi sur la scène. Il a suscité les passions. C’est la première idole des temps modernes. Il en a eu la gloire et la fragilité », écrit son biographe Roger Duchêne[2]. Bibliographie : * * Hervé Baudry-Kruger, Molière par-derrière. Essai sur un motif du comique médical dans la tétralogie (L'Amour médecin, Le Médecin malgré lui, Monsieur de Pourceaugnac, Le Malade imaginaire), Soignies

régime nazi Visite d'Adolf Hitler à Paris en juin 1940, Breker est au premier plan, le 3e à partir de la gauche (tête levée). Au milieu des années 1930, son talent est apprécié par les idéologues du Parti national socialiste (selon l'un de ses biographes français, Breker serait retourné en Allemagne début 1935, à la demande de Max Lieberman, grand peintre allemand de l'époque mais interdit de peindre car Juif, qui mourra quelques semaines plus tard. Breker réalisera son masque mortuaire1). En 1937