Biographie Robert Badinter

par 363 voix contre 117, l'Assemblée nationale adopte, après deux jours de débats, le projet de loi portant à l'abolition de la peine de mort. Au nom du Gouvernement et sous le président François Mitterand, le projet de loi est présenté par Robert Badinter, garde des Sceaux, ministre de la justice. Douze jours plus tard, le texte est voté dans les mêmes termes par le Sénat, par 160 voix contre 126. Le 9 octobre 1981, la loi est promulguée en France, le dernier pays de la communauté européenne

en mai. 22 mai 1981 Jean-Pierre DeClerck(violeur et assassin) et Patrick François(meurtrier) sont les 2 derniers condamnés à la peine de mort. 25 mai 1981 Philippe Maurice est le dernier condamné à mort gracié. Le 17 septembre 1981 Robert Badinter obtient enfin l’abolition de la peine de mort après beaucoup de tentatives. Le 30 septembre la loi entre en vigueur. Les bourreaux sont au chômage. 2 Quelques dates récentes -20 décembre 1985 : la France ne peut plus rétablir la peine

juristes et d’hommes politiques. Victor Hugo en est l’un des plus ardents représentants : il publie par exemple en 1829 Le dernier jour d’un condamné à mort, accompagné d’une préface prenant vivement position en faveur de l’abolition écrite par Robert Badinter qui aura par la suite une grande influence pour l’abolition en 1981 . Lamartine partage ce combat, publiant en 1830 un poème intitulé Contre la peine de mort, et usant de sa qualité de député pour convaincre ses collègues. Élu pair de France,

mort n'est pas un modèle à suivre. Robert Badinter : 1) Robert Badinter défend la thèse suivante : il dit que la peine de mort n'est pas dissuasive. 2) Robert Badinter utilise un argument faisant référence à des institutions du monde entier « ….... ». Puis, il utilise un autre argument : « ... ». Il les illustre à l'aide d'exemples : « ... » et « ... ». Ces deux argumentations présentent des points communs. En effet, Victor Hugo et Robert Badinter, sont tous les deux, contre la peine de

-Il y a aujourd'hui 33 ans, le 9 octobre 1981,une loi abolie la peine de mort en France. Son adoption a été l'aboutissement d'un long combat de près de 200 ans après la Révolution de 1789. -La loi porte ce nom en hommage à Robert Badinter. C'est le ministre de la justice, qui fit un discours à l'assemblée nationale le 17 septembre1981 pour abolir la peine de mort et qui a donc amené à l'abolition. Il est principalement connu pour son combat contre la peine de mort, dont il a obtenu l'abolition

même tué l'une d'entre elles. L'abolition de la peine de mort a donc nécessité un rude combat et de longs débats : des personnes comme Robert Badinter étaient pour l'abolition de la peine de mort, et d'autres comme Napoléon Bonaparte, contre. Elle fut enfin abolie en 1981 sous la présidence de François Mitterrand et de son ministre de la justice, Robert Badinter. Problématique : Quels sont les combats pour l'abolition de la peine de mort ? Dans un premier lieu, nous allons étudier le combat

nombreuses tentatives depuis la Révolution. Le vote de la loi Badinter par le Parlement le 9 mai remise définitivement la guillotine, tandis que le débat se focalise aujourd'hui sur la situation aux Etats-Unis. Le 9 octobre 1981, la peine de mort est abolie en France. Ce vote par le Parlement en septembre 1981 est l'aboutissement d'un long combat mené depuis le XVIIIème siècle par des écrivains, des juristes, des parlementaires. Lorsque Robert Badinter s'exprime à la tribune de l'Assemblée nationale le 17

la loi Badinter par le Parlement le 9 mai remise définitivement la guillotine, tandis que le débat se focalise aujourd'hui sur la situation aux États-Unis. Robert Badinter est un militant abolitionniste, s’est illustré comme avocat, de 1972 à 1980, dans des affaires criminelles où se posait la question de la peine de mort. Garde des Sceaux, ministre de la justice en 1981, il a présenté et soutenu devant le Parlement le projet de loi abolissant la peine de mort. Questions posées à Robert Badinter

la loi du 9 Octobre 1981. Celle-ci avait été votée le 17 Septembre 1981 à l'Assemblée Nationale suite à deux jours de débats où 363 voix étaient pour l’abolition de la peine de mort contre 117 voix qui étaient contre cette suppression. Ce fut Robert Badinter, garde des Sceaux, ministre de la justice et représentant du gouvernement qui prit la parole ce 18 Septembre afin de se battre pour que la peine capitale soit abolie. Douze jours plus tard, le texte était voté dans les mêmes termes par le Sénat

moyen d'exécution. b. L'abolition de la peine de mort L'abolition de la peine de mort en France a été un combat qui a duré sur près de deux siècles. Beaucoup de tentatives d'abolition de cette peine de mort ont eu lieu, principalement Robert Badinter qui est le principal pilié de ce combat contre la peine de mort. De 1972 jusqu'à 1980, il était avocat dans des affaires criminelles, il a toujours soutenu devant le Parlement le projet d'abolition de la peine de mort en France. Même après son