Bioréacteur

biogaz (volume biogaz capté : 1,1-1,3 Mds m3, énergie primaire : 4,8 à 6 TWh [SINOE 2009])  Parc récent en forte croissance, orienté sur la valorisation électrique  TGAP  Probable croissance de la valorisation du biogaz  Nouvelle technique « bioréacteur » (collecte et réintroduction des lixiviats dans les massifs de déchets avec un contrôle des réactions) Source Observatoire de l’énergie (16-12-08) et Ademe (27-02-09), E&Y pour SINOE 2009 37 Annexes: État des lieux Stations d’épuration urbaines

pollution par l’intermédiaire de bactéries, c’est un traitement biologique. Les traitements biologiques principalement rencontrés sont : ✓ La boue activée, ✓ Les lits bactériens, ✓ Le lagunage (naturel ou aérée) ✓ Les bioréacteurs à membranes. La boue activée et les bioréacteurs à membranes sont les techniques les plus efficaces pour traiter les pollutions azotés, carbonées et phosphorée. • Traitement Tertiaire : le traitement tertiaire dont le but, ici, est d’obtenir une eau réutilisable pour

pur par reformage : cette réaction chimique casse les molécules d’hydrocarbure sous l’action de la chaleur pour en libérer l’hydrogène. Enfin, tout organisme vivant, animal ou végétal est composé d’hydrogène. On peut alors mettre en place des “bioréacteurs” permettant la production d’hydrogène à partir de biomasse. L’hydrogène est donc extrêmement abondant sur Terre. De plus il présente l’avantage d’être particulièrement énergétique. En effet, 1kg d’hydrogène libère environ 3 fois plus d’énergie

condition anaérobie. Le flux de la matière est représenté sur la figure 1. Schéma d’écoulement typique du procédé de méthanisation développé par LIPP .1 Pompage de la biomasse liquide en haut du bioréacteur 2. Bioréacteur anaérobie Komb. Pompage de la biomasse liquide en haut du bioréacteur 2. Bioréacteur anaérobie Kombio (silo), avec agitateur à la base (3); 3. Réservoir d’accumulation de biogaz intégré (4); 4. Cellule de stockage de la biomasse après digestion (5); 5. Séparateur mécanique à vis

l'épuration biologique consiste à favoriser la prolifération de ces micro-organismes pour utiliser leurs propriétés remarquables dans les conditions les mieux adaptées au résultat désiré. Suivant l'emplacement des bactéries épuratrices dans le bioréacteur, on distingue deux dispositifs [12,7] : • Le procédé à cultures fixes : Les micro-organismes sont fixés sur des supports. Le contact entre les eaux à traiter et les cellules épuratrices est assuré soit par arrosage des supports avec l’eau usée

décoloration et la vérification de la non toxicité des résidus par test sur cellules eucaryotes. Les effluents liquides traités pourront alors être évacués comme déchets ménagés après autoclavage au lieu de devoir suivre la filière déchets chimiques. Un bioréacteur pourrait être utilisé pour effectuer ce traitement. Le projet technologique accompagné en biotechnologies PNF biotechno 2/12/2011 6 4.3. Les biofilms dans les différents domaines des biotechnologies - Fabrication « in vitro » - Etude de la procédure

interactions entre les cellules et les agents induisant des maladies, 3) les effets des médicaments sur les cellules, 4) le processus et le déclenchement du vieillissement et 5) les études nutritionnelles. Tests de toxicité Le système de bioréacteur CellCube® de Corning est idéal pour la production de masse de cellules adhérentes. Les cellules en culture sont largement utilisées seules ou en conjonction avec des tests sur les animaux pour étudier les effets de nouveaux médicaments

réaction, la zone psychrophile pour des températures inférieures à 20°C, la zone mésophile de 20 à 45°C et la zone thermophile de 45 à 65°C. La digestion des boues comporte quatre phases de fermentation qui se déroulent simultanément dans le bioréacteur : * Hydrolyse : certains micro-organismes libèrent dans le milieu des enzymes capables d’hydrolyser les macromolécules ou polymères en molécules simples ou monomères. Cette hydrolyse permet de rendre bio-disponible la matière organique nécessaire

très pratique que ça soit en industrie agroalimentaire ou pharmaceutique. L’immobilisation permet donc de rendre la molécule enzymatique plus efficace plus stable et d’une durée de vie plus longue. Conditions optimales de fonctionnement de bioréacteur : Le débit du passage du substrat dans les billes d’alginate doit être constant et adéquat. Les billes d’alginate doivent être d’une taille moyen qui n’influence pas le passage de saccharose dans la seringue. Les applications de l’immobilisation

un deuxième tri est fait pour éliminer les déchets indésirables. Une fois cette étape de tri passée, les déchets vont continuer leur chemin, toujours sur deux lignes séparées. Pour les ordures ménagères résiduelles, elles vont passer dans des bioréacteurs qui ont pour but d’accélérer la dégradation des matières organiques et de séparer les matières plastiques de ces déchets. Ensuite, ces déchets sont acheminés dans des trémies d’approvisionnement de digesteurs. Les déchets vont passer 20 jours dans