Bioéthique

et organisée des documents p.36, 37 et 40 : votre devoir comportera au minimum deux paragraphes] Texte 1 : ALDOUS HUXLEY « Le meilleur des mondes » Texte 2 : BERNARD DEBRE « Non à la frilosité » Texte 4 : ANNE CHEMIN « Les grands débats de la bioéthique » Les textes 1, 2 et 4 s’intéressent à la recherche scientifique, plus particulièrement aux embryons et au clonage. Dans le texte 1, l’auteur nous dévoile une société fondée sur la sélection génétique, différente de la nôtre. Un œuf primitif

en référence aux atrocités perpétrées. Le problème s’est ouvert avec la médecine et la science qui rendent nécessaires la définition de règles protectrices (lois bioéthiques) → Toujours pas de règles universelles contraignantes concernant la protection de la personne humaine et de son corps. Une déclaration universelle sur la bioéthique et les DH (2005 : Unesco) Convention d’Oviedo (Conseil de l’Europe : 1997) → non ratifié par la France. En droit interne, loi de 1994 relative au respect du

de place dans le cadre légal, vu que les articles 16 et suivants du Code Civil déclarent le corps comme élément extrapatrimonial, et sur lequel le possesseur n’aurait pas de propriété. II. Les arguments contre l’euthanasie * Lors du Forum de Bioéthique[2], Marie de Hennezel soulignait que si aujourd’hui nous avons affaire à de plus en plus de demande d’euthanasie c’est parce que la population en âge avancé est de plus en plus nombreuse. Cette population vieille est abandonnée, car les gens ne

morale déguisée et étriquée, qui existe souvent au sein d'une entreprise ou d'une profession. L'émergence de l’éthique professionnelle est flagrante dans le domaine médical (déontologie médicale). On le voit parfaitement dans les lois sur la Bioéthique de 1994 et 2004 (inviolabilité et non patrimonialité du corps humain: pas de possibilité de brevet pour un gène par exemple). B-La règle de droit est irriguée par la morale. Comme le disait Ripert, professeur de droit et homme politique français

Commentaire de l’article 16 du Code civil : Cet article 16 du code civil, a été crée par la loi du 29 juillet 1994 n°94-653 dite "loi bioéthique", texte d'ordre public (art 16 -9 du même code), qui reprend la formule  de l'article 1er de la loi du 17 janvier 1975 sur l'interruption de grossesse et qui consacre les principes d'inviolabilité et d'indisponibilité du corps humain consacrés par la jurisprudence antérieure et théorisés par la doctrine, et figurant dans les conventions internationales

encadrent de telles conventions. Citons pour mémoire les Etats-Unis (certains Etats à l’instar de la Californie), le Royaume-Uni par une loi du 1er novembre 1990 ou encore récemment la Grèce par une loi du 19 décembre 2002. En France, depuis les lois bioéthiques de 1994, tous les cinq ans des révisions interviennent en principe. L’année 2009 fut riche en discussion sur différents thèmes tels que l’ouverture de l’assistance médicale à la procréation (AMP) aux couples 6 de même sexe, ou encore de l’interrogation

il n'est pas à même de consentir. Les principes d’inviolabilité et d’indisponibilité du corps humain. Les principes sont posés à l’article 16-1 du Code civil, l’article pose en l’alinéa 1 et 2 le premier principe selon lequel les lois de la bioéthique ont pour objectif de protéger le corps humain contre toutes atteintes qu’elle soit dû à un tiers ou causé par la personne concerné elle-même. L’alinéa 3 pose un principe selon lequel les éléments tel que les organes et les cellules, ainsi que les

cette méthode, ne pensent pas forcement à la revendication des enfants plus tard qui sera de connaître leur père par exemple. L’assistance médicale à la procréation est encadrée par la loi bioéthique du 6 aout 2004 et définie par l’article L.2141-1 du Code la Santé Publique en France. Les lois bioéthiques sont actuellement en révision pour prendre en compte l’évolution de la science, du droit et de la société. L’objectif de ces lois est d’arriver à un consensus sur des sujets très complexe. Des

corps humains notamment ont longtemps porté à grandes controverses : l’évolution des techniques scientifiques et thérapeutiques y étant pour beaucoup. C’est ainsi qu’en 1994 une première fois, le législateur est intervenu dans le cadre des lois bioéthiques pour déterminer le positionnement du droit au sujet des droits relatifs au corps humain et au respect de ce dernier. Le législateur est intervenu une 2nd fois en 2004 puis en 2008 pour affiner les dispositions de 1994. Ainsi nous avons aujourd’hui

vérités scientifiques ou des seules convictions. Une analyse impartiale s’impose. Si a priori aucun obstacle ne semble se dresser contre l’utilisation des matériels biologiques que sont les cellules souches, leur origine induit un questionnement bioéthique inévitable : quelles sont les conséquences sociétales et juridiques de la participation de l’embryon à la recherche? La vision du scientifique rencontre ainsi le regard de l’éthicien, du philosophe, du religieux, du juriste et du citoyen. Les choix