Bipédie

tête du bébé dont le volume a augmenté au cours de l’évolution de la lignée humaine. Le tableau montre que l’on est passé de 450 à 1 450 cm3 en un peu plus de trois millions d’années. Cependant l’apparition de la bipédie s’accompagne d’un rétrécissement du bassin. L’émergence de la bipédie a donc eu pour conséquence une augmentation des risques de mortalité lors de l’accouchement mais sans que cela soit préjudiciable à la survie des espèces. = COMPROMIS SELECTIF La présence de tétons chez l’homme

la locomotion au cours du temps -Les premiers pas de la locomotion -Apparition du mouvement musculaire -La colonne vertébrale : de nouvelles possibilités -Le membre chiridien et la sortie des eaux -Le vol, un nouveau type de locomotion -La bipédie des tétrapodes Conclusion  Sources Introduction Le terme « locomotion » est un mot qui peut prêter à confusion : il peut facilement être confondu avec « mouvement » ou « marche » par exemple ; de plus, il faut savoir faire la différence

conséquences relativement faibles au niveau du phénotype. Au cours de l’évolution, nous avons observé l’apparition de caractères dérivés entraînant des changements profonds dans l’organisme du vivant (apparition du membre tétrapode, de l’aile, de la bipédie). En seconde, on a démontré que le plan d’organisation des Vertébrés se met en place lors de l’embryogénèse sous le contrôle des gènes du développement Les gènes du développement sont des gènes qui s'expriment durant des périodes bien délimitées

Hominoïdés, Hominidés (coccyx, cortex et autres non détaillés car trop spécifiques. B. Comparaison Homme/Chimpanzé TP Logiciel lignée humaine + crânes C. Le portrait-robot du dernier ancêtre commun. Le DAC devait être arboricole, bipédie alternative, cerveau et taille moyenne (400 cm3, 1 m, 30-40 kg), vie en communauté. Il devait être omnivore, utiliser des outils, avoir les capacités d’imiter, d’apprendre. Conscience de soi ? Nous ne descendons pas du singe, mais avons un ancêtre

courte, aplatie Arcade dentaire forme de U parabolique Dents canines développées canines réduites, non di formisme sexuel A/ Critères d’appartenance a la lignée humaine : 1/ Caractères liés a la bipédie : Caractère a la lignée humaine : Chez l’Homme, la bipédie est exclusive. Ceci est permit par : - La forme particulière de la colonne vertébrale - Un bassin large et court - Le trou occipital qui est centré sous la calotte crânienne - La position du gros orteil qui est parallèle

COMMUN AVEC L’HOMME MAIS PAS LE CHIMPANZE) L'Homme se distingue du Chimpanzé - Volume crânien important (3 fois plus important, 1300 contre 300 cm3) - Trou occipital vers l’avant permettant une position verticale de la colonne vertébral (relatif à la bipédie) - Réduction de la face (absence de bourrelets SUSOrbitaires) - Col du fémur allongé alors qu’il est court et épais chez le chimpanzé (et formant un angle plus ouvert) - Prognatisme absent - Mâchoire parabolique et non en U - Canine réduite - Epaisseur

allons vous expliquer les principaux changements physiques que le pré-humain va subir afin de s’adapter à son environnement. La bipédie Introduction Aujourd’hui on peut remarquer chez l’Homme que celui-ci possède des membres inférieurs plus longs que ses membres supérieurs. Ceux-ci sont donc adaptés à la bipédie. Mais qu’est-ce-que la bipédie ? Définition La bipédie est la capacité à se mouvoir sur deux jambes , c’est-à-dire la faculté de marcher. Moins souffrir de la chaleur  Quand le pré-humain

développé et une bipédie certaine , il devait vraisemblablement utiliser des outils dont l'usage était transmis par l'apprentissage , et il vivait dans une communauté régie par des rapports hiérarchiques . C- Les critères d’appartenance à la lignée humaine On appelle lignée humaine toute l'histoire évolutive des homininés à partir du plus récent ancêtre commun à l'homme et au chimpanzé . Les critères d'appartenance à la lignée humaine ( Cf doc 5 ) : - Caractères liés à une bipédie exclusive

recherche des points communs entre l’Homme et les Chimpanzés, y compris sur le plan comportemental, permet de reconstituer le " portrait robot " de cet ancêtre. En plus des caractères hérités des Hominidés, il devait posséder une certaine part de bipédie* dans son répertoire locomoteur ; il savait utiliser des outils rudimentaires, dont il apprenait l’usage par un apprentissage au cours de l’enfance ; il vivait en communauté dans un milieu essentiellement arboricole ; c’était un animal de taille

sapiens et H. neanderthalensis) en en Asie (H. sapiens et H. denisovensis) Doc. 3 p246 La bipédie parfaite et la maîtrise du feu a permis au genre Homo de quitter l’Afrique (H. erectus et espèces plus récentes) et de conquérir le Moyen-Orient, l’Asie du Sud-Est et l’Europe du Sud. Seul Homo sapiens a gagné l’Amérique, et une partie de l’Océanie