Bipédie

qu’hypothétique. Il devait posséder tous les caractères aujourd’hui commun à ces êtres vivants au niveau morphologique, anatomique, comportemental, et notamment au prédisposition de la bipédie. II – Les critères d’appartenance à la lignée humaines. Voir I2-TD3 1- Une bipédie exclusive. • Une bipédie exclusive qui s’accompagne d’adaptation anatomique au niveau du squelette : le bassin présente des ilions cours et larges permettant l’insertion de muscle fessier puissant,

conséquent la boîte crânienne s’est adapté à l'évolution. Nous avons aussi le trou occipital par rapport à la présence de la bipédie par rapport au prolongement de la colonne vertébrale. Ainsi toutes ces évolutions sont liées aux faits que l’espèce évolue intellectuellement par rapport à son environnement et son mode de vie mais aussi morphologiquement par rapport à sa bipédie. Cela est aussi dû à la néoténie, donc un ralentissement considérable du développement pour atteindre à l’âge

remonter entre 9 et 7 millions d’années pour percevoir la séparation du singe à l’homme. Il n’aura pas fallu 12 mois pour celui-ci à se redresser sur ses deux jambes mais bien 500.000 années. Il y a 3 500 000 ans c’est le début de la bipédie prouvée par des traces de pas découvertes à Laetoli

trouver !   * Il possédait l’ensemble des caractères partagés par les Homme et les Chimpanzés actuels :   - taille d’environ 1 m pour 30 à 40 kg, - capacité crânienne de 300 à 400 cm3, - arboricole mais répertoire locomoteur incluant la bipédie (20 % de bipédie chez le Bonobo), - omnivore, - vie en communauté avec des rapports hiérarchiques, - les femelles quittent leur famille pour se reproduire, - usage d’outils, - capacité de montrer et d’apprendre  - capacité d’imiter - conscience de

à son milieu naturel. C'est donc ici la nature qui domine. Les hommes ont évolués, les scientifiques ont pu en effet montrer qu'il existe d'autre "espèces" du genre humain qui présentaient donc des caractéristique spécifique à l'homme tel que la bipédie. Il y a donc eu une évolution biologique de l'homme. Si nous sommes comme cela aujourd'hui, c'est grâce à l'évolution du vivant, qui elle, n'a rien de culturel. J'ai fait mon introduction mais je ne sais pas vraiment comment développer mes parties

cet ancêtre commun regroupe l’ensemble des caractères à l’état dérivé partagés par les chimpanzés et les Hommes - il est daté de -10 à -7 Ma III / Les critères d’appartenance à la lignée humaine /2 1. Les critères squelettiques liés à la bipédie - trou occipital en position antérieure - colonne vertébrale à 4 courbures - membres ant. courts par rapport aux membres post. - bassin large et court - fémur rentrant … /1 2. Les critères squelettiques liés à l’évolution de la tête - volume

la lignée aboutira aux australopithèques (les pré-humains) puis aux humains. L’homme est donc né en Afrique il y a 7 millions d’années. La bipédie sera la source des principales évolutions de l’homme. En effet, la station debout a permis l’agrandissement de la boîte crânienne et par conséquent le développement du cerveau. Yves COPPENS précise que la bipédie, le cerveau qui se développe mais aussi l’alimentation omnivore et l’invention des outils sont une adaptation de l’homme à son milieu, la savane

Sans le travail, l'animal ne « devient pas » humain, et demeure fixé, englué dans son animalité première. Si la bipédie est à l'origine du développement de l'animal, c'est encore le travail seulement qui est responsable de son

passage est largement supérieur chez le chimpanzé pour permettre la naissance de petit, chez l’homme le passage est de 10 cm, tout juste suffisant au diamètre de la tête du bébé Tous ces caractères sont liés au mode de locomotion. Chez l’homme, la bipédie est un caractère dérivé. 2) Des caractères dérivés découlent indirectement du mode de locomotion : -le trou occipital centré chez l’homme ≠ déporté à l’arrière -volume cérébral 1400 cm3 chez l’homme ≠ 400 cm3 chez le chimpanzé -la face est

• Phénomène naturel réflexe mais réguler par le système nerveux (cervelet) • Est le support à l’activité motrice • Tonus de fond VS tonus d’action • Acquisition de la verticalité nécessaire à la bipédie • Hypertonie > eutonie > hypotonie – De la position fœtale à la bipédie 19 Domaines psychologiques | Psychomotricité Domaines psychologiques | Psychomotricité La motricité Psychomotricité • Capacité à déplacer son corps de façon globale ou partielle • Abordée