Bipédie

du rift africain : uniformément humide au niveau de l'équateur, le climat africain se serait asséché à l'est du rift qui arrête les nuages venant de l'Ouest. Les hominidés, s'adaptant à leur nouveau milieu formé d'une savane, auraient développé la bipédie pour échapper à leurs prédateurs. Encore de nos jours, les volcans participent à l'évacuation de la chaleur interne de la Terre et au cycle biogéochimique mondial en libérant les gaz, la vapeur d'eau et les minéraux engloutis

: les Australopithèques et les Homo. A. Les homininés les plus anciens : les Australopithèques ou "singes du sud" Les caractères dérivés des Australopithèques par rapport à leur ancêtre commun avec les chimpanzés concernent essentiellement la bipédie (Doc. 17). Ils présentent une mosaïque de caractères simiesques, ancestraux, et humains, dérivés : - la petite taille, le volume encéphalique de 350 cm3 des premières formes d’australopithèques, la présence d’un diastème sur une mâchoire en U

scolaire Au 17e s., le corps n’est entrevu que sous ses dimensions esthétiques. De plus, à cette époque, élégance est synonyme de rectitude : pour être un homme, il faut se tenir droit (idée philosophique : passer de la quadrupédie animale à la bipédie humaine). Au 18e s., l’anatomie se développe ; on commence à étudier le mouvement. ANDRY, en 1741, commence à parler d’orthopédie. L’idée de rectitude passe d’un souci esthétique à une préoccupation hygiénique.  Aux 17e et 18e siècles, bien que

2006 - 2007 I. Définitions 1. Tronc (lat : truncus) : corps (animal) sans la tête ni les membres 2. Homme : le tronc est parfois considéré comme distinct du cou 3. Squelette axial = a. – – – rachis De la base cu crâne au coccyx Rôle dans la bipédie Augmentation de charge, de taille des vertèbres b. côtes (12 paires) – sternum = thorax Anatomie PCEM 1 / 2006 - 2007 4. Les muscles a. Muscles paravertébraux, postérieurs = muscle érecteur du rachis nerf = branche dorsale des n. spinaux b

petit à petit rendu compte qu’une position debout était plus adaptée, non seulement pour voir de plus loin et pouvoir anticiper, pour parcourir de plus grandes distances, mais aussi pour pouvoir paraître plus grand et effrayer. C’est alors que la bipédie est apparue. C’était il y a plus ou moins 3 à 4 millions d’années. C’est à partir de ce moment-là qu’on peut vraiment commencer à parler du genre Homo, et donc des humains. Les oiseaux utilisent leurs pattes avant afin de pouvoir voler, ils sont donc

découverte de LUCY en 1974 laissa penser que l’on avait découvert le premier humain. Yves Coppens trouve en Ethiopie un squelette féminin, considérée comme le plus vieil hominidé. « Australopithèque ». Il y a 3.2 millions d’années et pratiquait la bipédie. Sur la base de cette découverte, Y. Coppens élabore, dans les années 80, la théorie de l’ « East Side Story » qui explique la différenciation il y a 8 millions d’années entre les hominidés et les singes. Depuis, des restes d’hominidés encore plus

objets du monde humain, mais comme des prolongements des fonctions biologiques apparaissant et disparaissant au grè d'un processus d'évolution « naturelle ». Le processus d'homonéisation commencerait par les pieds, et non pas par le cerveau. Cette bipédie libère les fonctions motrices de la main, organe de préhention, de manipulation, de fabrication d'objet technique. Cela permet, ensuite, de contribuer au développement du crâne et du cerveau et de faire évoluer les fonctions cognitives avancées. ●

cultivés à leurs manière. L’enfant sauvage : Pinel, psychiatre le considère comme idiot -> innéisme, la nature humaine ne s’acquiert pas, donc une erreur de la nature. Jean Itard, innéisme faux et que la nature s’apprend. L’enfant apprend la bipédie+règles élémentaires, mais n’acquiert pas la pensée. L’innéisme est faux. La nature humaine= fruit de l’éducation : on devient un hô. La distinction est facile mais ne rend pas compte de la complexité du réel. L’hô ne se réduit pas qu’à la nature

principe de la continuité évolutionniste, animal vers l’homme, représente des caractéristique différentielle majeurs. Toutefois, la préhension (manipulations expérimentales/ instrumentales) et la bipédie témoignent la causalité planchant la séparation évidente entre société humaine et groupe de primates. la " bipédie", "la faculté" et la "préhension" sont les principales causes obligatoires à mettre en lumière parce qu'elles révolutionnent cette différence entre humain et primates, tout en suivant l'évolution

grimpant encore dans les arbres pour trouver de la nourriture ou comme abris. En suite vient les Homo Habilis, ces derniers avaient des dents beaucoup plus petites mais un cerveau plus développé. Les Homo Habilis étaient des charognards et leurs bipédies leurs permétaient de de ne pas gaspiller d'énergie lors des déplacements . La viande est très importante pour le développement du cerveau avec ses protéines et autres bons éléments , mais malheureusement , les ridicules dents du premier représentant