Bipédie

singes étant habitués de vivre dans la savane ce sont retrouver sur des étendus de grandes herbes sans arbres et ils ont du parcourir de grandes distances afin de trouver a mangé suffisamment. Comme la route est longue et pleine de prédateurs, la bipédie est le moyen que les singes ont trouvé, afin de voir au loin les ennemis et de se déplacer plus vite. Depuis ce temps, l’anatomie du singe s’est transformée avec la sélection naturelle et l’adaptation au climat. Les membres antérieurs se sont raccourcis

l’homme et au chimpanzé, conduit à l’homme moderne.  Les caractères anatomiques  Les caractères révélateurs d’un psychisme humain 2. Les critères d’appartenance a la lignée humaine  Les caractères anatomiques:  Des caractères liés à la bipédie « exclusive »      La forme du bassin élargi avec les os orientés vers l’avant ce qui permet de prendre appui directement sur les membres inferieures. Les os du membre inférieur sont plus développés que ceux du membre supérieur.

transformer. Il permet d’améliorer l’homme mais en aucun cas nous change du tout au tout. Les nombreuses évolutions qui se poursuivent depuis des millénaires, on beaucoup fait évoluer le corps humain. L’exemple le plus flagrant est bien sûr celui de la bipédie. Mais on peut aussi voir cette évolution du corps humain par la technique dans la transformation de la face, et notamment dans le passage d’une mâchoire de taille important à notre mâchoire de taille réduite. Les techniques de cuisson et l’évolution

en médecine. La neuroscience, associée à l'observation des squelettes préhistoriques retrouvés a permis d'émettre des hypothèses sur le développement physique et anatomique de l'être humain. Des hypothèses scientifiques privilégient le fait que la bipédie ait favorisé le développement de l'encéphale, et donc de l'intelligence humaine. « Exogamie » : L'exogamie est le fait d'aller chercher son conjoint à l'extérieur du groupe dans lequel on vit. Ce terme est utilisé en anthropologie, mais également

de tous les éléments physiques pré-requis pour s’engager dans la marche. L’auteur explique : (p 43) « Le fait d’avoir été élevée en isolement sensoriel l’avait privé du modèle de la station debout : elle n’avait pas pensé à tenter l’aventure de la bipédie. » Boris Cyrulnik explique ensuite que dès lors qu’elle a été placée en famille d’accueil ou elle a reçue de l’affection, elle a réussi à se mettre debout et à marcher. Il étaye ses propos en expliquant que ce qui se passe dans la plupart des cas :

constitution biologique L’être humain est un être biologique. Il appartient à une espèce naturelle. En tant que membre d’une espèce naturelle, l’être humain a des caractéristiques psychophysiologiques irréductibles : Une anatomie (structure cérébrale, bipédie, main préhensile...) Des besoins élémentaires Des instincts rudimentaires Par « nature », on peut entendre toutes ces caractéristiques que nous possédons du simple fait de notre appartenance à une espèce déterminée. Elle serait à la fois innée

| | |Conclusion possible : | | |ossements fossilisés : évolution morphologique (bipédie, taille du crâne, migration) | | |Les outils : mode de vie (chasse, évolution, lieu de vie, déplacement) |

d’hominidés (du singe jusqu’à l’homo sapiens) est une simplification erronée. En effet, les découvertes récentes imposent la remise en cause du principe de causalité selon lequel l’évolution de l’homme se serait faite en grandes phases successives (bipédie, main, puis augmentation du cerveau). La théorie qu'on admet aujourd'hui est «l'évolution en mosaïque » : les espèces se côtoient plutôt qu’elles ne se succèdent. - Les recherches permettent d’élargir la famille des hominidés : -> 1974 : Lucy

qui il partage des caractères physiologiques similaires tels que l’ossature ou la musculature. Toutefois, nous remarquons que l’homme se distingue de ces autres animaux par son évolution. Il favorise une posture corporelle verticale nécessitant une bipédie quasi permanente tandis que les autres singes et mammifères favorisent les déplacements quadrupédiques. De même nous remarquons une pilosité moindre chez l’homme en comparaison avec les autres singes. Cependant, tous ces caractères de l’homo sapiens

ruisseau tout neuf et riant, et qui irrigue de vivifiantes prairies. Peinture exquise ! Je cours vers ma chambre, je veux me voir dans le miroir de ma coiffeuse. Je gambade avec la même joie, je pense, que les premiers hommes qui s’essayèrent à la bipédie. Mon pas est si sautillant, si léger ! La courette me découpe un carré de ciel qui m’est réservé et qui me couvre comme un dais3. La lune très grosse entre abondamment dans la pièce et l’éclaire comme en plein jour. Celui que je vois n’est pas fort