Bipédie

développement à plusieurs conséquences qui sont peut être à l’origine des différences phénotypiques entre singes et homme. - Augmentation du volume crânien chez l'homme - Position central du trou occipital chez l'homme favorisant la bipédie Ces modifications ont présenté un avantage, ce sont des innovations retenues par sélection naturelle. I- Diversification des êtres vivants sans modification du génome. A)- La symbiose Activité: des symbioses entre entres vivants Des êtres

dans l’espace (pp. 65-76). Marseille, Solal, 2002. [7] LOPEZ (C.), LACOUR (M.), BOREL (L.) : Perception de la vertica- lité et représentations spatiales dans les aires corticales vestibulaires. In M. Lacour, B. Weber (Éds), Posture et équilibre : bipédie, contrôle postu- ral et représentation corticale. Marseille, Solal, 2005. [8] MAGNE (P.), COELLO (Y.) : Quand l’action détermine ce que l’on voit : vers une conception paramétrique de la perception de l’espace. In Y. Coello, J. Honoré (Éds), Percevoir

temps passé et la condition ± nette d’isolement jouent-ils un rôle déterminant » (p.48) Des dominantes statistiques : Linné : 2 caractéristiques typiques de « l’homo ferus » : - Quadrupède, (beaucoup parvinrent à trouver ou retrouver la bipédie). - Sans parole (quelques exceptions mais globalement, presque tous n’ont jamais vraiment disposé de la parole, malgré efforts pédagogiques). Peu voire pas d’intérêt pour la sexualité. Sensorialité et sensibilité : - Vision nocturne

Chimpanzé, cet ancêtre commun n’étant ni un Chimpanzé, ni un Homme - la divergence de la lignée des Chimpanzés et de la lignée de l’Homme se situe entre 7 et 10 MA - les critères d’appartenance à la lignée humaine sont les caractères liés:  à la bipédie permanente: courbures de la colonne vertébrale (4 actuellement), l’avancée de la position du trou occipital, l’évasement de l’os iliaque (bassin), le rapprochement des genoux  au développement du volume crânien : disparition des crêtes et des bourrelets

point de vue il parait assez évident de définir l’humanité par l’ensemble des caractères propres à l’homme. Celui qui serait le dernier représentant du genre Homo, se distinguerait des autres hominidés, d’un point de vue physiologique, de part sa bipédie, son cerveau plus volumineux et une faible pilosité. Ainsi, en s’attachant aux simples conclusions appartenant aux biologistes, l’humanité serait facilement et logiquement définissable. Cependant, s’arrêter à ces simples hypothèses paraitrait complètement

la réponse à la sélection est : Egale à 0 : h² = 0 Positive : h² faible Très positive : h² fort Les mesures sont valables sur une population donnée. Attention : il ne faut pas confondre héritabilité et hérédité Exemple : trait = nombre de pieds, bipédie = caractère héréditaire, variation due à l’environnement donc h² = 0. On peut dire que h² dépend : Des fréquences alléliques Des relations de dominance Des variations dues à l’environnement (VE) Détermine l’efficacité de la sélection Inversement

myriapodes (mille-pattes) b-) Innovations affectant la chronologie du développement : La modification des étapes du développement embryonnaire et de leur durée explique par exemple le maintien du trou occipital chez les homininés (impliquant la bipédie) par un maintien de caractères qui était auparavant transitoire (chez les singes). Le développement important du cortex cérébral (cerveau plus volumineux avec plus de neurones) est expliqué par un ralentissement de la phase de développement au cours

prépondérante. Le Déplacement du Dahu Le mode de déplacement du dahu est sans nul doûte la caractéristique qui a fait de lui un animal mythique. Alors que d'autres animaux utilisent la bracchiation (déplacement dans les arbres), l'automobile, la bipédie ou encore la raptation pour ne citer qu'eux, le dahu a developpé un moyen de se déplacer tout à fait inédit. En effet, il possède deux pattes plus petites d'un côté que de l'autre, ce qui lui permet de s'adapter à la pente des milieux montagneux

d’être classée dans un certain groupe en fonction de ces mêmes critères. Nous pouvons de ce fait comprendre l’existence du groupe humain, désignant tous les êtres vivants appartenant à l’espèce Homo Sapiens, se distinguant physiologiquement par la bipédie, la pilosité beaucoup moins dense que celle des autres primates, le volume important du cerveau et bien d’autres critères encore. Or, chez l’homme, tout comme chez un grand nombre d’espèces végétales ou animales, le groupe se voit dans la possibilité

oublient que l’irruption technique va de pair avec l’hominisation ; la rébellion contre la nature constitue l’essence de la technique et celle de l’humanité. La technique va même jusqu’à constituer l’homme dans ses propres structures psychophysiques (bipédie, libération de la main, réduction de la face, expansion de la boîte crânienne…). Si l’homme s’est doté seul d’une technique dont les progrès sont saisissants depuis la préhistoire, la technique en retour a contribué à sculpter l’homme (cf. H.Leroi-Gourhan