Bipédie

remettre en question la définition même de l’homme. Par quoi l’homme se définit donc ? Par son patrimoine génétique ? Par son hérédité ? Un homme a avant tout une définition morphologique applicable à tous les hommes. Un homme se caractérise par une bipédie permanente, il a deux bras, deux jambes, les pouces des mains opposables… Dire qu’un homme est totalement étranger signifie que rien ne peut nous rapprocher de lui. Les racistes diront que, oui, un homme peut nous être totalement étranger. Prenons

les forces physiques du cheval. » De plus on remarque que le cavalier cherche à tendre vers un idéal proche de la bipédie. En effet « Le cheval re- dressé, oui, le cheval à l’encolure droite, à l’avant-main relevé, et donc à l’arrière-main ramenée sous lui, le cheval parvenu au sommet du dressage sans avoir perdu ses aises naturelles, le Cheval dressé est Homme ! ». Or, la bipédie apparait comme le meilleur moyen de développer l’autonomie et l’intelligence, le cavalier cherche donc à tendre vers

non Homo)/ famille des Hominidés/ genre des Australopithèques. Pas un ancêtre direct des Humains mais est qualifiée de pré-humain par sa bipédie. - Vers 2M°5 est apparu le genre Homo avec l’homo habilis et l’homo rudolfensis. Sa capacité crânienne est + forte (>600 cm 3 ), + arrondie. Réduction de l’appareil masticateur, petites canines et surtout bipédie quasiment exclusive, ce qui va permettre à l’homo habilis de fabriquer des outils. Les deux disparaîtront vers 1,6 MA - Descendant d’Homo

osseux du crâne qui conserve des caractères juvéniles : trou occipital centré, face plate, mâchoire réduite… - maturation lente du cerveau : augmentation du volume, du nombre de neurones, complexification - modification du squelette adapté à la bipédie : bassin court et large, membres inférieurs très développés, fémurs inclinés… – Les différences anatomiques du squelette sont en rapport avec la différence du mode de locomotion : l'Homme est bipède, le Chimpanzé quadrupède pratique également la

technique est la pratique fondée sur le savoir scientifique. On parle de techno-science. La paléontologie nous apprend que la technique fait partie de la structure biologique de l’homme. Elle correspond à une organisation corporelle commençant par la bipédie. Celle-ci entraine la libération de la main, qui à son tour entraine la libération du cerveau. L’homme va donc utiliser sa main comme outil, et un outil à faire et à utiliser des outils. Il va multiplier les pouvoirs de sa main, la prolonger en

(langage) mais juste de la phone (la voix) comme les animaux qui peuvent crier de plaisir ou de douleur mais pas articuler des sons et donc articuler des mots et des idées et donc penser ou faire de la politique. Quel est le propre de l’homme ? La bipédie (pas le propre de l'homme certains singes marchent sur deux membres) et le rire (Henri Bergson => le rire et dc capacité à exprimer les émotions= le propre de l'homme). Nous marchons sur deux pieds et avons un langage articulé ; nous avons un larynx

d’équilibre. La bipédie, chez les pré-humains, a totalement libéré la main, encore dévolue en partie à des fonctions motrices chez les autres primates, l'organe de préhension le plus polyvalent et le plus agile dans tout le règne animal : le biologiste S. Pinker le qualifie plaisamment de « couteau suisse » biologique (plaisante réactualisation de l’intuition d’Aristote). En permettant le transfert à la main d’un certain nombre de fonctions faciales (saisir, se défendre…), la bipédie permet ensuite

lémuriens actuels et étaient probablement nocturnes. 3 différences entre les grands singes et l’humain : Le volume du cerveau Hommes : volume important et face réduite Grands singes : volume 4 fois plus faibles. Le langage Le mode de locomotion (bipédie) Le crâne d’un humain adulte ressemble à celui d’un bébé chimpanzé. L’évolution du crâne serait dû à des gènes permettant de conserver à l’état adulte des caractères physiques typiques de l’enfance (= néoténie). Tous les grands singes sont quadrupèdes

évolutionnisme, comment la non-spécialisation de la main (qui reste en fait un organe très primitif comparativement aux organes des autres espèces) permet le perfectionnement de l’espèce humaine. On sait aujourd’hui que l’acquisition de la bipédie chez les hominidés a eu pour conséquences la libération de la main ( jusqu’alors mobilisée par la locomotion) ainsi que la libération de la mâchoire pour le langage. Le passage la station debout a également conditionné la structure de la colonne

père/fils page 18) -le rire (la blague N/N ne fait plus rire Nell : échec p 34 + cf. pouffons ensemble : échec transition... -le langage / les paroles : rupture du rire avec le public + conversations répétitives -le déplacement -> la bipédie -les sens -> vue (aveugle + vue qui baisse p. 28), ouï (parler plus fort p. 29 + crier), touché (aucun contact + non aboutissement de se toucher N/N), odorat (Clov empeste + maison p63). -les croyances (cf. en attendant Godot + paix à nos