Bipolarisation

bordereau porte quelque ressemblance d'écriture avec la sienne, Alfred Dreyfus est accusé d'avoir livré des documents à l'Allemagne ; il proteste en vain de son innocence. Dreyfus condamné, la plupart des journaux s’engage. On assiste alors à une bipolarisation de la presse, entre Dreyfusards et Antidreyfusards. Un texte se distingue: « J’accuse » d’Emile Zola, paru dans L’Aurore en janvier 1898. Persuadé de l’innocence de Dreyfus et qu’il se trame là une injustice, il publie l’une des lettres politiques

Française, et contribuera, selon Marc Crapez, à généraliser l'utilisation du lexique gauche / droite pour qualifier cette bipolarisation de la France politique, en appliquant ce vocable aux écrivains et intellectuels de l'époque: sont dits de droite les amis de l'Action Française, sont dits de gauche les dreyfusards. L'affaire Dreyfus contribue donc grandement à stabiliser la bipolarisation de la vie politique française, à en faire à la fois un élément d'identité et de reconnaissance politique fondamental

un maximum De ce fait : le pacte de Bruxelle est signé: alliance défensive → le monde sovietique fait peur. Blocus de Berlin par les soviétiques → l'incapacité des soviétiques à rester « zen » 1949 : 8 mai : création de la RFA → Bipolarisation du monde et de l'allemagne 12 mai : Staline leve le blocus → faiblesse soviétiques 7 octobre : RDA naissance du conseil de l'Europe → on se monte contre l'URSS & on prone des valeurs occidentales comme la démocratie. Export

troisième république il n'y a pas toujours eu de majorité. Le scrutin majoritaire à un tour se traduit par le bipartisme (Républicain et Démocrate; Les travaillistes et les Conservateurs). Le scrutin majoritaire à 2 tours se caractérise par la bipolarisation (Bloc de droite, UMP, nouveau centre ou de gauche, PS + écolo) Scrutin proportionnel: répartition des sièges en fonction des voix obtenues par les listes. C'est un scrutin plus juste, il va permettre la représentation d'un très grand nombre

fort de la guerre froide. Elle traduit l'affrontement des blocs amorcé à Yalta et qui s'achève en 1989 et est emblématique de l'évolution des relations internationales. Séparé en deux Allemagne face à face, le pays représente le symbole de la bipolarisation de l'Europe et= du Monde pendant la guerre froide. Terrain d'affrontement entre deux idéologies opposées, la construction du mur de Berlin aboutira sur des répercussions immédiates en Allemagne. La chute de ce dernier et du modèle communistes

s’étend (par firmes transnationales) ; flux économiques explosent, multipliant les interdépendances. c. Organisations internationales (ONU, FMI…) ou régionales (UE, Alena…) réduit particularismes, multiplie échanges. d. Fin de la bipolarisation > extension su monde démocratique et Etats-Unis devient le seul « gendarme » du monde. II- Monde encore fragmenté a. Grandes aires culturelles aux caractères distincts b. Etats en nombre croissant et se différenciant de

1980, le rôle accru du Conseil constitution ne fait que refléter et tempérer les déséquilibres inscrits dans les institutions et la vie politique de la Ve République: hégémonie de l'exécutif, abaissement du parlement, phénomène majoritaire et bipolarisation. [...]

l’administration était forte. Ce qui a changé le mode de scrutin c’est l’instillation une forte dose de scrutin majoritaire. Désormais ¾ des sièges dans chacune des deux chambres sont pourvues au srutin majoritaire. Depuis 1993 l’Italie connaît une bipolarisation, a gauche il y a une coalition sociale démocrate. Le parti de Silvio Berlusconi, Forza Italia, arrive a constituer des majorités grace à l’appoint d’un parti extrémiste le MSI, ancien parti fasciste , qui a épuré son discours de tout ce qui est

bipartisme A. Le système électoral américain : un moteur du bipartisme 1. Le scrutin uninominal à un tour pour élire le Parlement, frein aux petits partis 2. Les électeurs poussés au vote stratégique : une bipolarisation du suffrageB. Les enjeux de l’élection dominant les intérêts de la nation1. Une réélection possible entraînant une soumission aux idées de la majorité2. Les intérêts des partis avant les intérêts collectifsII. Le bipartisme : une source majeure

vitesse et était de moins en moins compétitif avec l’Occident. Et malgré son incalculable puissance, le président des États-Unis annonce, en décembre 1989, la fin de l’affrontement entre les USA et l’URSS, soit la fin de la guerre froide et de la bipolarisation du monde. On peut dès lors se demander si la chute de l’URSS était-elle inévitable ? Dans un premier temps, nous allons parler des révoltes et du nationalisme qui persistaient dans les pays soviétiques. Ensuite, nous parlerons des acteurs susceptibles