Bismark Et Beveridge

C'est la part des revenus versée par des organismes sociaux (caisse de retraite, allocations familiale, chômage) Cette Etat providence a été développé à des dates différentes selon les auteurs En Allemagne = 1890 par Ottovon Bismark ; Au Royaume Uni = 1930 par William Beveridge ; En France en 1945 par Charles de Gaulle qui a suivi les décisions du CNR. N'y a t-il pas eu la naissance de la redistribution avant ? La redistribution est-elle efficace ? La redistribution en France l'histoire de

prélèvements, l’inverse de ce qu’on a en France, on a un prélèvement beaucoup + fiscal. En Estonie les cotisations sociales représentent quant à elle 80% des prélèvements. Les systèmes Bismarckien : système de financement par cotisations. Les systèmes Beveridge : financement plutôt fiscal. 3 grandes questions peuvent intéresser l’économiste et qui donnent lieu à des débats Question 1 : Débat sur la progressivité des prélèvements obligatoires en France Le financement de la PS peut être considéré comme

vie : « du berceau jusqu’à la tombe » disait Beveridge. I.1-1.2. Une couverture généralisée Empruntant des chemins différents et utilisant des techniques variées, les systèmes de protection sociale des pays développés convergent vers un même point de rencontre : couvrir l’ensemble de la population contre les risques sociaux. Un autre précurseur, dont le modèle deviendra une référence que l’on oppose généralement à celui de Bismark, Sir William Beveridge avait, dès le départ, bâti son dispositif sur

financement des prestations social Deux système à distinguer : 1. Le système BISMARKIEN Est un système ou le financement des prestations sociales est assuré essentiellement par les cotisations salariales et patronales. C'est e chancelier Allemand BISMARK qui l'a mis en place pour la première fois en Allemagne à partir de 1883. Il s'agit à l'époque de la première législation social mise en place en Europe en dehors de l'Allemagne ce système est suivi par la France, Les Pays-Bas, L'Espagne et l'Autriche

Continent africain et asiatique deviennent des réservoirs de colonies -> affrontements inter coloniaux et opposition locales. Fin 19°s avec notamment la guerre des Boers. L’Allemagne essaie de se faire une place dans cette guerre de colonisation. Bismark veut que l’Allemagne soit une grande nation au niveau international et une puissance coloniale. Mise en place, renforcement des relations commerciales extrêmement violentes : Unequal treates : traités inégaux = plutôt que de coloniser, s’installer

une activit€ professionnelle et … leurs proches. De caractƒre obligatoire, elle est essentiellement aliment€e par des cotisations perŒues sur des revenus professionnels. Inquiet des succƒs de la gauche et plus pr€cis€ment de la "Social-D€mocratie", BISMARK entend contrecarrer la mont€e en puissance des socialistes par la mise en place d’une politique sociale hardie : selon lui, l’Etat doit cesser de se consid€rer comme le simple gardien de l’ordre €tabli. Il formule une conception moderne de l’Etat

sociale: l'Etat n'est plus fondé à intervenir pour protéger les individus car trop d'effets pervers sur le marché. "le pauvre"= paria social Les dysfonctionnements de ce système vont délégitimer l'Etat pour longtemps. 2- la logique assurantielle (Bismark) les réformes de Bismarck consistent en une stratégie de consolidation de l'Empire après l'unification en 1970. C'est la fin de la guerre, il n'y a pas d'empire colonial, et la consolidation interne consiste à trouver un compromis social. Premier

guerre de l'opium permet au Royaume-Uni de poursuivre le fructueux commerce du stupéfiant et d'imposer des concessions étrangères, comme la ville de Shangaï. - Mais à partir des années 1880, tout le monde ne l'entend plus ainsi : l'Allemagne de Bismark exige à son tour une part du gâteau, la France se fait agressive outre-mer pour compenser sa cuisante défaite de 1870, enfin les Etats-Unis entament à leur tour la conquête (Philippines, Hawaï, Cuba, Porto Rico, ...) et doivent, pour ce faire, soumettre

modèle dit de BISMARK (1880) est un principe d’assurance, car les prestations de retraite octroyées par la sécurité sociale sont la contrepartie octroyée par la collectivité, de la création des richesses dont celle-ci est redevable au travailleur. Il y a une proportionnalité entre les revenus d’activité et les prestations de retraite octroyées. La retraite perçue par l’individu est la récompense pour avoir travaillé et cotisé durant toute sa vie. - Le deuxième modèle est celui de BEVERIDGE, les prestations