Blaise Pascal Les Deux Infinis

portant son nom. Jusqu’au 17e siècle la pensée philosophique et celle de la science sont très proches. Un autre exemple, Descartes, est le théoricien du diagramme cartésien et de la géométrie analytique. Et aussi Leibniz est le concepteur du calcul infini centésimale utilisé en mathématiques. Or tous ces grands noms étaient en même temps philosophes. Jusqu’aujourd’hui d’ailleurs la proximité entre philosophie et science demeure avec notamment la philosophie analytique ( mouvement philosophique qui

Situation du texte Ce texte du grand philosophe René DESCARTES du XVIIème siècle prend place au tout début de la première médiation métaphysique elle-même extraite d’un des trois plus célèbres ouvrages de l’auteur : « Les médiations métaphysiques », les deux autres s’intitulant : « Le Discours de la méthode » et « Les principes de la philosophie ». B) Détermination de l’idée directrice du texte : essai de formation concise La prise de conscience réflexive de l’incertitude du savoir fondé sur la

passions de Pascal dans La Princesse de Cléves de Mme de Lafayette JESÚS CAMARERO-ARRtBAS Universidad del País Vasco-Euskal Herriko Unibertsitatea In memoriam Isabel Herrero 1. INTRODUCTION A l’époque oú Mme de Lafayette écrivait son roman principal, La Princesse de Cléves (1678), elle avait déjá lu le Discours de la méthode (1637) et le Traité des passions de 1 ¿¿me (1649) de René Descartes, ainsi que le Disúours sur les possions de lomour (1653) et les Pensées (1670) de Blaise Pascal. La lecture

personnages imaginés par Voltaire, Micromégas est doté d’un nom fantaisiste, destiné à produire un effet comique. Précisément, l’étymologie du mot – un nom propre – induit adroitement le thème du conte philosophique ainsi titré, Micromégas. Il se compose de deux éléments d’origine grecque : micros qui signifie « petit » et mégas qui veut dire « grand » (oxymore). Leur association incite à une comparaison fondée sur la relativité des proportions ; il en résulte un nom propre aux connotations scientifiques dans

personnages imaginés par Voltaire, Micromégas est doté d’un nom fantaisiste, destiné à produire un effet comique. Précisément, l’étymologie du mot – un nom propre – induit adroitement le thème du conte philosophique ainsi titré, Micromégas. Il se compose de deux éléments d’origine grecque : micros qui signifie « petit » et mégas qui veut dire « grand » (oxymore). Leur association incite à une comparaison fondée sur la relativité des proportions ; il en résulte un nom propre aux connotations scientifiques dans

éprouvant d’abord peu de sympathie pour le personnage, se laisse peu à peu convaincre par sa force de caractère et par sa volonté inlassablement réaffirmée de s’opposer à la maison d’Autriche ; il ne tarde pas à en faire son principal ministre. Les deux hommes partagent une même conception de la grandeur de la France et des priorités qui s’imposent dans le domaine politique : à l’intérieur, pacifier le pays, depuis trop longtemps en butte à l’agitation de la noblesse et continuellement menacé par

tout hommes deux amours : l’amour de Dieu jusqu’au mépris de soi et l’amour de soi- même jusqu’au mépris de Dieu » • le deuxième amour est regrettable mais le plus courant et permet à l’homme d’avoir un place dans la société romaine et de respecter les lois / avoir une vie politique (ref Babylone) • le premier est idéal mais incompatible avec la vie politique ville allégorie d’un christianisme idéal : Jérusalem => IL FAUT ARTICULER CES DEUX AMOURS Chaque homme vit dans deux système politique

au sein même du classicisme. Le XVIIe siècle est représenté en France par le déclin de deux pouvoirs internes au pays : celui du protestantisme et celui des Grands du royaume.La religion s'affirme. Après la Réforme protestante de Luther, affaiblie, après le désir de libre interprétation du divin, essoufflé, revient en force la culture chrétienne et biblique. Le XVIIe siècle est le siècle de Bossuet, de Pascal, du cardinal de Bérulle, de saint Vincent de Paul… Les théologiens se réaffirment et des

ne devez pas le faire, et rédiger entièrement votre travail. I. Les martyrs de la vérité : la connaissance scientifique. 1) Au dix septième siècle a lieu un des derniers procès fait par L’Église à la science : Galilée est condamné à deux reprises, en 1616 et en 1633, pour avoir contredit la parole papiste, et affirmé que la terre tournait autour du soleil. Cela peut nous sembler de nos jours une histoire rocambolesque, mais il faut attirer l’attention sur 2 points : le scientifique

dissertation vous ne devez pas le faire, et rédiger entièrement votre travail. I. Les martyrs de la vérité : la connaissance scientifique. 1) Au dix septième siècle a lieu un des derniers procès fait par L’Église à la science : Galilée est condamné à deux reprises, en 1616 et en 1633, pour avoir contredit la parole papiste, et affirmé que la terre tournait autour du soleil. Cela peut nous sembler de nos jours une histoire rocambolesque, mais il faut attirer l’attention sur 2 points : le scientifique