Blanc Et Silence

Silence et lumière Louis KAHN En commençant par ce que l'on pourrait appeler une anecdote, la référence à la feuille blanche et au dessin fait sourire. C'est une sensation que nombreux apparenteront à une torture de l'esprit et c'est, il me semble, la peur de chaque élève lorsqu'un projet lui ai soumis. Pour en revenir au texte, lumière et musique sont deux choses auxquelles Kahn ne renoncera jamais. On ne peut s'en passer. Elles sont indissociables. Les sensations qu'elles génèrent résultent de

dans lequel le racisme est inversé. Un monde dans lequel les blancs seraient victimes de violences faites par les noirs. Imaginez vous devoir vous lever tous les matins et avoir la boule au ventre, craindre le moindre déplacement par peur d’être agressé de manière arbitraire. Imaginez vous avoir peur du moindre passant dans la rue, du moindre regard insistant, du moindre allé dans le métro ou de la moindre voiture de police. Le silence, c’est l’indifférence et c’est la principale cause de la permanence

tuer des enfants qui n'ont rien à voir dans ces conflits » pourrait on résumer à travers l'énonciation. Citations : « Another mother's breaking heart is taking over ... the violence causes silence » Ici, la douleur infinie d'une mère qui perd son enfant à cause des violences. La violence engendre le silence de ces civils qui ne sont pour rien dans les guerres, et qui, souvent, n'ont aucune voix ni de moyen d'agir. Construction de monde La construction des mondes est traitée de manière factuelle

Le Pavé Mosaïque 15 avril 2009 C’est la première fois que je m’exprime devant vous dans cette loge après plusieurs mois de silence et d’observations qui m’ont permis d’écouter et d’observer pour apprendre et cheminer intérieurement. Le chemin parcouru est-il suffisant pour quitter le grade d’Apprenti ? Peut-être est-il trop tôt ! Je suis bien consciente de n’être qu’au début de mon chantier sur la pierre brute. Il me faudra beaucoup travailler pour faire progresser mon état, et arrondir mes

lointain, la tragédie mythique solaire de l'aveuglement et celle moderne du langage impossible, dans un déroulement implacable. Sans crier gare, Hippolyte, le fils de Thésée, et Théramène son précepteur surgissent dans cet espace, forçant le public au silence. L'intensité prend place, la quête du père disparu est liée à la fuite de deux femmes : Phèdre " la fille de Minos et de Pasiphaé ", dernière épouse de Thésée et véritable marâtre de son beau-fils ; Aricie, le dernier membre, immaculé et innocent

I. Une tirade qui dévoile le personnage de Nawal, et la force de son amour pour Wahab. A. Le titre de la scène et la didascalie pour créer un cadre spatio-temporel symbolique et du suspense Scène 5 – Ce qui est là Aube. Forêt. Rocher. Arbres blancs. Nawal (14 ans). Wahab. - Le titre de la scène prépare l’aveu de Nawal, tout en conservant un réel suspense : on sait que « quelque chose » est présent, grâce au présent de vérité générale et au démonstratif « là », mais le pronom indéfini « ce

|« le silence tressaille au |Expression de la frustration |Mettre une main sur le | | | |cœur»V5, « l’innocence en paix|Un amour, une sexualité qui dort. Il y a une |cœur. Ouvrir ses bras. | | | |dort au bord de la vie » V16, |certaine contradiction dans les phrases. | | | | |« tord ses beaux bras nus dans|Silence : tressaille

oeuvre par la fin. 2-la 1ère didascalie Dynamique corporelle : Allé-retour contants Lignes qui se construisent Le spectateur est mis en condition dans l'espace Clov modèle de la mobilité opposé à Hamm immobile. Tout cela se fait dans le silence ac une lumière grisâtre Objets : intérieur sans meuble = l'auteur fixe déjà l'immobilité Hamm est couvert d'un drap comme s'il était un meuble = personnage objet escabeau sans arrêt pris et repris = suggère au spectateur un aspect d'importance

virtuose, Seta est une musique du silence, une musique mystérieuse et secrète, douce et lente - quasi immobile- , une musique sensuelle apaisée dans laquelle les sons vous caressent et vous effleurent avec une infinie légèreté, vous faisant flotter dans une sorte d'état d'apesanteur. Et l'auteur installe parfaitement cette atmosphère en prêtant une extrême attention à la progression rythmique de son récit, de ses chapitres et de ses phrases, aux répétitions et aux silences ainsi qu'aux sonorités des mots

Eugène Guillevic Bretagne Il y a beaucoup de vaisselle, Des morceaux blancs sur le bois cassé, Des morceaux de bol, des morceaux d'assiette Et quelques dents de mon enfant Sur un morceau de bol blanc Mon mari aussi a fini Vers la prairie, les bras levés, Il est parti, il a fini Il y a tant de morceaux blancs, De la vaisselle, de la cervelle Et quelques dents de mon enfant; Il y a beaucoup de bols blancs, Des yeux, des poings, des hurlements, Beaucoup de rire et tant de sang