Blason Sourcil

dans l’antiquité soutenait les monuments et elle semble brisée a 6 endroits. Le personnage est nu sous un voilage qui cache la partie basse de son corps. Elle a des clous disposés partout dans son corps, précisément 56. Le duvet noir et les mono sourcils donnent un côté masculin à Frida, mais mettent aussi en valeur les larmes qui inondent son visage. En arrière-plan est composé d’un désert et du ciel. Les couleurs sont sombres et se confondent presque. Il y a un champ dans les tons jaune-vert

tenait entre ses mains usées et crispées une lettre. La lettre semblait usée, mais incroyablement bien conservée. Les bords de l'enveloppe avaient légèrement jauni avec le temps. Elle fixait la lettre, la scruta dans les moindres détails. Ses minces sourcils qui avaient disparu avec le temps rendaient son visage plus doux. Ses joues tombante lui marquaient ses traits, des rides cernaient son front, ses yeux, sa fine bouche. Ses yeux noisettes créaient, un contraste avec son tein blanchatre. Visiblement

qui est selon moi, devant le compte rendu de moi-même, un photographe débutant mais cependant, un bon photoshopeur. Ca n’est pas possible que ca soit moi, mon visage n’est pas aussi sombre, ovale et déformé. Constatez-le par vous même ! Mes sourcils sont très épais, mes cils sont moins longs que ce que je vois tous les jours devant mon mirroir, ma bouche à un air sévère alors que je suis quelqu’un qui sourit beaucoup. Je ne peux pas admettre que je suis la personne représentée sur cette photo

sombres et vides, sans expression. Elle ne sourit pas et ses mainssont posées en dessous de la table sur ses genoux. Elle se tient de façon un peu voûté mais semble assez grande. Homme : L’homme assis à gauche de la femme a des yeux foncés, les sourcils en X et aune barbe foncée qui lui recouvre les joues. Il a également un duvet entre le nez et la bouche. Il est en train de fumer une pipe. Son coude droit est posé sur la table et sa main droite semble tenirson coude gauche également posé sur la

perdus toutes sensibilités autant du goût que des femmes. Par la suite La Bruyère, accuse encore une fois un excès des courtisans, cette fois il rapporte la démesure des artifices : "leur coutume est de peindre leurs lèvres, leurs joues, leurs sourcils et leurs épaules qu'elles étalent avec leur gorge, leurs bras et leurs oreilles". Il utilise une accumulation , qui représente l’œil qui découvre le maquillage et s’étonne de découvrir de nouveaux endroits recouverts par ce maquillage. Cette énumération

dominante de lignes droites formant des figures géométriques: _ des triangles pour représenter le pouce, un sourcil, la fleur du chapeau, les lèvres ou bien encore le mouchoir… _ des carrés pour dessiner les dents… _ des rectangles pour le fond, les doigts de la main droite ou bien le nez… • De face ou de profil ? L’artiste peint la femme à la fois de face et de profil: _ de face : les yeux, les sourcils, le front… _ de profil : la bouche, le menton, la chevelure. Nous ne voyons que l’oreille droite, la

avant tout au long de l’extrait : « qui m’atteignait au front », « rideau de larmes », « mes yeux douloureux », etc. Il est surtout question du visage du protagoniste : « front » apparaît trois fois, « yeux » deux fois, « cils », « paupières » et « sourcil » une fois. La souffrance ressentie par le narrateur est symbolisée par des comparaisons avec des armes (« lame », « glaive », « épée »), qui certes renvoient au « couteau » de l’Arabe, mais qui sont en réalité les comparants de la lumière du soleil

repliant sur elle même ; elle accentue davantage sa vieillesse et sa lassitude qui pèsent sur ses épaules. Elle a un teint clair et pale à la lumière du soleil, et un gros nez large écrasé prend de l'ampleur sur son visage. On aperçoit a pêne ses minces sourcils qui ont disparu sur son visage avec le temp. Ses joues tombantes et blanchâtres lui marquent ses traits ridés. Elle porte des habits démodés et sobre. Une fine écharpe blanche illumine son visage , ce qui lui donne un visage de sérénité. Ses mains

pas me laver>> <<Pourquoi vous ne voulez pas vous laver ce matin ? >> <<Je veux rentrer chez moi >> A ce moment là , elle se mets sur le coté de la chaise , elle hausse le ton , son visage change d'expression ( les sourcils froncés , le regard noir ) , les poings serrés << vous ne vous plaisez pas ici >> << non ici, on me parle mal , on crie après moi , et maintenant laissez-moi tranquille avec toute vos questions .>> Madame <<B >>

vêtements sont boueux, mais pour un homme qui travaille dans les champs par ce temps, quoi de plus normal. La jeune femme craignait son regard perçant, qui lui donnait l'impression que le fermier la connaissait déjà comme si il l'avait élevée. Ses sourcils froncés lui donnait un air méchant, et ses bras, rendu fort par le travail du champ, lui donnaient quelques airs de violence. On lui voyait, dans son regard, la fatigue du travail, et la joie malicieuse de trouver quelqu'un à qui donner les tâches