Blason Sur La Femme

d'aimer et du partage amoureux. Le rêve et l’imaginaire y prennent une part importante. Nous allons étudier l'éloge de la femme fait à partir de la courbe de ses yeux, puis le bonheur de ce couple heureux et enfin l'ouverture sur le monde.  I) L'éloge des yeux a) Un blason (= poème qui fait l'éloge d'une femme par un détail physique): - métonymie: le poéte célébre les yeux de la femme aimée C'est un éloge insolite > courbe des yeux mais aussi courbe du regard On trouve un champ lexical très riche

centrale de « Désir », connotation sensorielle et sensuelle T3 :inscription immédiate écriture dans genre du blason + valeur emblématique de l’article défini T4 : connotation d’exotisme et référence au texte « source » 3°-Spleen : images ambiguës de la créature féminine fascinante et maléfique , thématique de la rencontre maudite, des amours condamnées , nostalgie des lieux perdus Idéal : femme = muse ou semi divinité, Ailleurs fascinant révélé par rencontres et sensations, évasion possible du quotidien

LOUISE LABE EST FORTEMENT IMPLIQUE DANS LA POEME… Absence de pp. Sujet + Métonymie « Mon cœur tâtant » + pp. Complément à la 1°P + Métonymie « Luth plaintif » + Anaphore « O » ( A travers un renversement des codes amoureux, ici c’est la femme qui s’exprime, Louise Labé s’implique fortement dans ce poème, mais reste néanmoins passive et soumise face au désir. B. … ET S’ADRESSE A UNE PERSONNE EN PARTICULIER DEVENANT OBJET DU DESIR. Synecdoque « O beaux yeux bruns » + Pronom

romaine : - Sur le Forum, étaient exposées des tablettes annonçant des ventes ou des manifestations théâtrales. - Les marchands criaient leurs produits dans les rues, on racolait les passants. Les étendards et les armoiries, fanions et blasons dont déjà les formes dont dérivera l’enseigne, appelée à jouer un grand rôle dans la publicité. Au Moyen Âge : - Publicité commerciale orale : les crieurs publics formaient une corporation. - L’enseigne (XI et XIIs.) qui cherche à allécher

du mal, datant de 1857. Il aborde le thème sur un autre point de vue, plus physique, avec la notion de fuite du temps. Ensuite, il y a « Les yeux d’Elsa » de louis Aragon, premier poème du recueil de même titre parut en 1942. Ce texte est un blason de la femme aimé. « De cet amour je reste émerveillée », écrit par Andrée Chedid en 2007, présente une vision de l’amour et de sa beauté plus générale. Dans son recueil Alcool publié en 1913, Apolinaire écrit de nombreux poèmes sur ses amours passés

chacun des personnages. Il s’agit, de gauche à droite, de Barthélemy, Jacques le Mineur, André, Judas, Pierre, Jean ou bien Marie-Madeleine, Jésus, Thomas, Jacques le Majeur, Philippe, Matthieu, Thaddée et Simon. La fresque est surmontée des trois blasons de la dynastie des Sforza. Au centre celui de Ludovic Sforza et de son épouse, Béatrice d’Este, à gauche, celui de son fils aîné, Massimilo et à droite, celui de son autre fils, François. II- Publicité : Affiche publicitaire parodiant la Cène

moyen-âge à nos jours Objectifs : * découvrir des formes et des genres poétiques divers (sonnets, poèmes en prose, blason) * Comprendre les procédés utilisés par les poètes pour exprimer et exalter les sentiments amoureux Séance 1 : Le sonnet du XVIème siècle Support : Poème de Louise Labé Intro : Poétesse du XVIème siècle, Louise Labé assume son statut de femme écrivain en revendiquant sa place dans un domaine jusque-là réservé aux hommes. Celle-ci publie en 1555 une série de 24

accèdent à des métiers autrefois réservés aux hommes (médecins, cosmonautes, conducteurs de bus...) et exercent des fonctions politiques également réservées aux hommes jusqu’à peu. Le modèle de la femme au foyer, propre aux générations nées dans les années 1920-1930, a été remplacé par le modèle de la femme active pour les générations suivantes. De plus, les ambitions des parents pour leurs filles se sont rapprochées de celles qu'ils ont pour leurs garçons. Par conséquent, les enfants intériorisent

cuirasse, lance et bouclier avec des blasons. Ils vont engager bataille encouragé par musicien jouant de l'aulos (type sparte), d'autre file d'hoplites suivent beaucoup de détails incisés. -Militaire=Début de la suprématie de l'infanterie bien entrainé sur la cavalerie (apparition hoplite au 7eme siècle)puis sur équipement comme les cnémides (jambière), les lances, le casque mais aussi pas réaliste (pied et tête) pas de perspective du côté des gentils et blason doivent être connu +se protège mutuellement

inespérée. Les vers suggèrent la progression de l’apparition : simple silhouette au départ, elle semble se rapprocher. Son apparence et son expression sont d’abord esquissées dans dans la succession d'appositions au vers 2, puis elle apparaît (« une femme », v.3). Le regard du poète, irrémédiablement attiré par cet être dont il suit le mouvement, s'immobilise sur des détails (la main à la strophe 1, la jambe la strophe 2), comme pour faire durer l'apparition de l'être admiré. Son approche est comme