Blason Surréaliste

attribue aux yeux une importance majeur dans ce texte. Le poète ne manque pas de faire la métaphore de ceux-ci au vers 2-3 : « Un rond de dance et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne et sûr », ainsi ce poème pourrait être qualifié de blason puisqu’il fait l’éloge de la femme à travers l’une des ses caractéristiques. D’autre part, le champ lexical présent : « courbe, tour » vers 1, «  rond » vers 2 « berceau, auréole » vers 3, a une dénotation clair de la courbe, la courbe des yeux

maréchaussée, à la grande joie du narrateur. Hécatombe est la seule chanson de Brassens où se trouve le mot « anarchie ». La halle du marché de producteurs de Brive a été baptisée halle Georges Brassens en référence à la chanson. Séquence 2 Clément Marot: Blason du beau tétin Ce texte reprend les thèmes du pétrarquisme en les "pervertissant " quelque peu. (Le pétrarquisme est d'abord une poésie lyrique célébrant la femme aimée et idéalisée ainsi qu'un maniérisme de la forme.).Le texte magnifie la femme,idole

fastueuse». • Il l’identifie tout de suite, dès le V.3. Il s’agit d’une passante. • Détail davantage physique : la « main » puis la « jambe » v.5. • L’être aimé en poésie est suggéré : les blasons qui sont des textes qui évoquent un personnage féminin avec un seul détail ici ce n’est pas un blason mais la décrire revient à sa main et à sa jambe. Mis en valeur avec le singulier poétique car on a deux mains et deux jambes. Le singulier est beaucoup plus poétique comme dans un poète d’Arthur

les artistes peuvent créer dans le but d’égayer les gens, faire partager un bonheur utopique ou non pour s’évader de la tristesse du monde. « La courbe de tes yeux » de Paul Eluard en est un exemple flagrant : Eluard emploie l’écriture surréaliste dans un poème-blason qui introduit une femme allégorie du bonheur. Celle-ci inonde le monde et le poète de bonheur et repousse les aspects négatifs de l’existence. La souffrance n’est donc encore une fois pas la motivation de l’auteur.

une insistance hyperbolique sur les sentiments de Colin sur le portrait de Chloé. « … » Insiste sur l’idée que Colin ne dit pas tout, le reste du corps est mentionné « des seins nus » fait l’éloge de la beauté corporelle grâce à la succession de blason. « Corps » renvoie au désir, il y a un jeu de sonorité « r » « c » l.29 et le « ou » rend le texte poétique. L’amour de colin est manifesté dans son discours et dans les parties entremêlées au discours. II-Les actions de Colin, reflet de son

poèmes marquent une quête renouvelée indiquant la découverte et le désir de possession de l’univers. A. se lie avec Marie Laurencin et fréquente de plus en plus les peintres. On y découvre des images inspirées de rêves qui préfigurent la poésie surréaliste : « Le brasier » ; « Les fiançailles » ; « Vendémiaire » 5) 1911-1912C’est à cette époque des « poèmes de la santé » et ceux marquant son amour malheureux avec Marie : « Le Pont Mirabeau » ; « Marie » ; « Le voyageur » ;

de peintres. Il commence à se faire connaître à 24 ans en travaillant avec son père, artisan peintre à la cathédrale de Milan. Il réalise alors des cartons de vitraux. Rapidement, il se fait remarquer par Ferdinand de Bohème qui lui commande cinq blasons pour la cathédrale. Sa renommée commence à s’étendre. Il est appelé à Prague en 1562 au service de Ferdinand Ier du Saint-Empire pour être le portraitiste de la famille impériale. Il existe ainsi plusieurs tableaux classiques attribués au peintre

française commence au Moyen Age Poésie épique (= chanson de geste), genres narratifs (= lais, romans), ou poésie lyrique. Profusion de genres (rondeau, ballades) Trouvères (chanson de Roland avec une vielle), troubadours et trouvères = poèmes lyriques (blason) Clément Marot : poète fin du moyen-âge à la cours de François premier. Epigramme : Le dizain de neige  * XVI La pléiade  Souci de fonder une poésie nationale qui rivalise avec le prestige de l’antiquité ou de l’Italie. Formes à l’honneur :

nouvelles et de contes à la fois mythiques et autobiographiques), et il profite de sa convalescence pour mettre en scène en 1917 Les mamelles de Tirésias, drame farcesque, dans lequel le poète évoque pour la première fois dans la préface le terme « surréaliste ». En 1918, c’est la parution des Calligrammes, recueil de « poèmes-conversation » et d’ « idéogrammes lyriques » qui rendent compte de la passion du poète pour Lou, mais également de son expérience de la guerre. Il se marie alors avec la « jolie

moderne avec notamment l’exploitation de l’allusion et de la référence savante dans le principe de la « poésie de contrebande ». I. L’exploitation des éléments traditionnels. - Jusqu’à la seconde guerre, Aragon s’était consacré à la poésie surréaliste, en rupture radicale avec la tradition (rejet des genres et des règles poétiques traditionnels), puis avait écrit surtout en vers libres. Dans Les Yeux d’Elsa, il revient à des formes traditionnelles : vers pairs uniquement (l’alexandrin domine)