A une passante
Introduction :
Il s’agit ici d’une rencontre avec un thème romanesque plus que poétique puisqu’ici Baudelaire fait un thème poétique avec un coup de foudre, mais c’est surtout un poème Baudelairien qui finit par le Spleen.
La Femme dans ce poème utilise un place particulière c’est l’objet de l’amour du poète, mais il n’y a pas une vision romantique traditionnel que l’on peut avoir d’elle (femme fragile, adorée autour duquel l’auteur dépose ses vers, une poésie) chez Baudelaire la femme à une image tout à fait différente. Ses inspiratrices sont des femmes : ses maitresses qui ont compté dans sa vie : Jeanne Duval, Madame Sabatier et Marie Daubin. On pourrait être étonnés des visages féminins donnés par Baudelaire car l’image qu’il donne à la femme : tout en leur rendant hommage, il s’en méfie. L’envie d’un bonheur lié au lyrisme.
On est dans un Tableaux parisiens devenu très important. Lors de sa première édition en 1857 il y avait 8 tableaux lors de sa deuxième édition en 1861 il y avait 18 tableaux :
- Il y a une partie esthétique consacré aux spectacles de la ville.
- La ville est représentée sur les tableaux diurnes
- et sur les tableaux nocturnes.
La deuxième partie des Fleurs du mal. Baudelaire est en quête d’un idéal propulsé dans un Spleen et un spectacle de la capitale.
Ce poème est une rencontre qui arrive au hasard lorsqu’il croise une passante, ce poème fait partie des poèmes dédicaces « A une passante ». Il n’y a pas d’être féminin identifiable, elle reste dans l’anonymat complet de la rue. L’originalité est qu’on a à faire à une rencontre fortuite, brutale qui sera sans lendemain.
Le thème de la rencontre est plutôt romanesque car sans rencontre il n’y a plus d’histoire, c’est un moment fort du roman. Le thème de la rencontre est plutôt romanesque car sans rencontre, il n’y a pas d’histoire. Habituellement : une rencontre = à début d’une histoire sentimentale.
Plan :
I. Un thème