Blason Surréaliste

Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! » Il y a ici un adulte qui se revoit jeune, nous montrant sa nostalgie des années passées. André Breton, à travers le blason L’Union libre, nous livre un véritable éloge de sa femme. « Ma femme […] Aux pensées d’éclairs de chaleur _À la taille de sablier ». C’est un poème surréaliste composé de 60 vers décrivant la femme de Breton sous tous les angles. Il fait dans ce poème une déclaration d’amour à sa femme, nous livrant tous ses sentiments personnels

privilégié dans le recueil Man Ray, qui s’est imposé comme peintre du désir et comme génial photographe de la femme, privilégie le nu dans ce recueil : un dessin sur deux est un nu, trois femmes sur quatre sont dénudées. S’inspirant du genre du blason, il s’appesantit sur certains détails corporels dont la chevelure, les yeux et la main, emblèmes de la beauté et de la sensualité. - Ainsi le titre "Belle main" (p.69) associe le mot « main » non plus à l’adjectif « libre », mais à « belle »,

motif privilégié dans le recueil Man Ray, qui s’est imposé comme peintre du désir et comme génial photographe de la femme, privilégie le nu dans ce recueil : un dessin sur deux est un nu, trois femmes sur quatre sont dénudées. S’inspirant du genre du blason, il s’appesantit sur certains détails corporels dont la chevelure, les yeux et la main, emblèmes de la beauté et de la sensualité. - Ainsi le titre "Belle main" (p.69)  associe le mot « main » non plus à l’adjectif « libre », mais à « belle », sans

glissement a été à l’origine d’un autre, plus étonnant : le nom est devenu image. Cela se matérialise dans un bas relief que l’on peut voir dans une rue lisboète, où se trouve représenté un corbeau portant l’inscription « Sam Vecête », et, surtout, dans le blason de Lisbonne, sur lequel figurent deux de ces oiseaux assis sur une barque vide. Conclusion partielle : Dans les déambulations auxquelles il invite le lecteur, le narrateur insiste, parfois avec humour, sur certains aspects visuels de Lisbonne, dont

(affaire des placards), il connut l’exil, la prison et une mort solitaire. Il écrit des épigrammes (court poème qui se termine par un trait moqueur), des satires (moqueur), des épitres (petite lettre). Il crée un nouveau genre littéraire : Le blason. Le blason : petit poème qui fait la description détaillée, élogieuse ou satirique d’une personne, d’une partie du corps ou d’une chose. Il écrivit : « L’enfer », « L’adolescence Clémentine » 2. Le 17ème siècle et le classicisme Le classicisme

rubans et de plumes sur leurs costumes.Le style précieux se caractérise par: des exagerations avec l'emploi de superlatifs. Des métaphores et des périphrases parfois incompréhensibles. Des genres brefs comme le portrait, le maxime, le blason des romans fleuves multifpliant les intrigues amoureuses: héroine enlevée, lettres interceptées, chevalier déguisé. Le classicisme ou le règne de la raison L'âge classique est en fait la première partie du règne de Louis XIV (1661-1685)

le blason, poème destiné à magnifier une partie de la femme, c'est un genre souvent utilisé dans la poésie amoureuse, mais qui au XVIe a déjà connu critique avec le contre-blason de Marot ("Blason du laid tétin"). Il s'agit ici d'une certaine sorte de blason pour décrire le nez en montront qu'il est capable de faire de la littérature. Marot fait un contre-blason dans une perspective littéraire, renouveller un genre qui existe. Ici, une importation générique : Cyrano fait à la fois un blason et un

Né au sortir de la Première Guerre Mondiale, ce mouvement exprime avec radicalité une méfiance et un refus des valeurs traditionnelles et cherche l’exploration de l’inconscient de nouveaux repères. La poésie surréaliste recourt encore à des formes traditionnelles tel que le sonnet, le blason, l’alexandrin ou encore l’exaltation lyrique pour les subvertir ou les exalter. Ce mouvement est caractérisé par la liberté des mots, indépendance sujet : « les mots font l’amour » selon Breton, c'est-à-dire

Breton… (En peinture : Dali, Magritte, Chirico…). Reprend l’expression de Lautréamont ( ?) « belle rencontre d’un fer à repasser et d’une machine à coudre sur une table de dissection »   ð  « Le cadavre exquis boira le vin nouveau » : jeu surréaliste où chacun écrit un mot sans connaître le précédent. OU : on répond à une question sans la connaître (« Qu’est-ce que la mort ? C’est une femme qui crie dans la nuit) : la plupart du temps, il y a un rapport entre la question et la réponse. Dadaïsme

b) « cœur sur l'arbre » → fin relation amou. c) poème → chute au long du poème : lexique employé Une tonalité Elégiaque : a) Amour innacessible b) poème qui le rythme des saisons c) dernière strophe → mort La courbes de tes yeux Un blason moderne : a) description des yeux de gala (lexique) b) jeux de sons c) hymne à l'amour heureux La renaissance du poète : a) poème qui s'appararente a une berceuse : b) «  je «  du poète dépend de la femme aimée La femme une médiatrice