Blasphème

Asia Bibi, 46 ans et mère de famille est une chrétienne du Pakistan, condamnée à mort pour blasphème. Asia Bibi, ouvrière agricole, ramassait des baies rouges, le 14 juin 2009 dans le village d'Ittan Wali, lorsqu'elle commit quelque chose de grave aux yeux de ses voisines : elle a bu de l'eau dans un puits « réservé » aux musulmans. Les femmes musulmanes de son village avec qui elle avait déjà eu des ennuis, l’accusaient d'avoir insulté le prophète Mahomet en faisant ce geste, et d’avoir Sali

aussi loin, Euripide défendant déjà la liberté d'expression au ive siècle av. J.-C.[réf. souhaitée]. Pour les religions monothéistes, la condamnation du blasphème est un thème central depuis l'un des premiers livres recueillis dans la Bible, le Lévitique : « Si un homme insulte son Dieu, il doit porter le poids de son péché ; ainsi celui qui blasphème le Nom du Seigneur sera mis à mort ». La naissance de l'Église orthodoxe (date ?), et son besoin de maintenir l'orthodoxie, développa largement la censure[réf

que le visage de Mahomet (entouré d'une aura de feu) est absent dans ce tableau d'origine perse, voilé par un tissu blanc (ou effacé ultérieurement à sa composition). Après sa mort la représentation de Mahomet est interdite et punie comme blasphème pour presque toutes les branches de l’islam . Il évite avec un soin extrême tout ce qui peut faire soupçonner en lui quelque goût pour le vice. À la Mecque, d'après les deux biographies (Sirat Ibn Hishem et Sirat Ibn kathir), Mahomet se distinguera

accusation de blasphème, et sa justification. Ils se demandent pourquoi Jésus « parle » ainsi. On retrouve le même verbe qu’au v.2, quand le narrateur dit que Jésus « parlait la parole » à la foule. Ce rapprochement suggère le caractère libérateur de l’enseignement de Jésus. Sa parole d’autorité, du v.10, démasque la puissance du péché qui asservit l’homme et le paralyse. A la fin du récit, on voit l’effet : le paralytique se lève. Mais pour les scribes, ces paroles sont autant de blasphèmes, puisque

2-Une scène de farce : (Atmosphère/tonalité , registre) -par le langage : comique lié au langage du corps, considéré comme bas : « Cornegidouille, merdre »; aux blasphèmes, impossibles chez un roi qui représente Dieu sur terre ; comique des redondances, hyperboles. -par le comique de situation, engendré par la vitesse d’enchaînement des actions : un paysan annonce l’arrivée imminente d’Ubu, et Ubu défonce la porte à la fin de sa phrase. Le ramassage des « finances » se fait aussitôt après un dialogue

en lui rappelant sa triste condition, il va l’achever en le privant de tout ce qui a un sens à ses yeux : il propose un « louis d’or » contre l’abjuration de sa foi. III) 3ème mouvement : La tentative de corruption : 1) La proposition : - blasphème contre de quoi manger. - sadisme de DJ : insistance, il répète « si » à deux reprises : « si tu veux », « si tu jures ». Il se fait tentateur. Système hypothétique qui met en place une condition sine qua non. On imagine la gestuelle de DJ et on

prendre comme exemple Donne Elvire, femme qu’il a retiré du couvant et qu’il a finalement délaissé) Son désir ,quels que soient ses moyens, est de désorganiser l’ordre du monde. Don Juan déshonore les femmes et blasphème contre Dieu. Ainsi il commet des sacrilège , des débauches , des blasphème et des infidélités. . Même si les objets de séduction ne sont pas toujours a la gloire de DJ , ce dernier cherche avant tout à atteindre Dieu. Dieu est appelé au combat, y compris à travers des conquêtes

dans sa pauvreté et qui peuvent en outre se donner bonne conscience grâce à la charité.  le blasphème comme acte, exercice libérateur On peut dès lors nuancer le jugement porté sur Don Juan et voir en lui un instituteur, impitoyable certes, qui, pensant avoir obtenu l'assentiment de son interlocuteur sur l'inutilité de la prière, passe enfin aux exercices d'application : si la prière est vaine, le blasphème peut rapporter, si Dieu ne donne absolument rien en échange de "dix ans" de retraite et de

raisonnement de Sganarelle pour prouver l’existence de Dieu, Dom Juan est matérialiste Dans la scène 2 => application pratique de ce qui a été débattu dans la scène 1 Idée générale : affrontement entre Dom Juan et un pauvre ermite. Dom Juan veut faire blasphémer le pauvre, qui préfère mourir de faim que d’avoir été tenté. I. La séduction 1) Deux visions contradictoires Cette scène permet d’opposer deux systèmes de valeurs et de les éprouver. Dans tout le début de la scène jusqu’à ce que Dom

Prier le ciel tout le jour pour la prospérité des gens de bien qui me donnent quelque chose. » . Le pauvre fait apparaitre la prière comme un mode de paiement. - Alors que Dom Juan joue avec lui est veut qu’il renonce à ses convictions et faire blasphémer le pauvre qui préfère« mourir de faim. » que d’avoir été tenté. Cette citation insiste sur la croyance du pauvre. S’il est vrai que cette scène nous présente deux visions du monde de deux personnages opposé, nous verrons également la progression